Faisons route vers la fin

Le chaos s'était bien encré dans ce bouchon : Des personne hurlaient à la mort, les morts-vivants déambulé vers leur proie. Dans toute cette cacophonie, Jimmy se faufila silencieusement entre les voitures, tel une ombre. Avec toutes les indications que lui avait donné Sterren, c'était un jeu d'enfant de semer ces créatures morbides.

Alors qu'il avait presque atteint l’extrémité du bouchon, un homme s'effondra à ses pied et une arme à feu roula sur le sol. Jimmy s'arrêta d'avancer et pris le poul du type, il était mort. Il se dirigea donc vers l'arme et le reconnue de suite. C'était un pistolet automatique HK USP, son pére s'en été procurait une pour, soi-disant, sa propre sécurité. En générale, c'est une arme de policier, le type mort devait en être. Il pris donc l'USP en main, le rangea dans sa poche et continua son chemin.

Ce que vous ne saviez pas, au moment de prendre votre arme, c’est qu’un homme d’environs votre âge et d’une carrure assez imposante vous surveillait du coin de l’œil. Seulement préoccupé par sa propre survie, il convoite l’arme qui est en votre possession et vous suit tranquillement et en silence, sans jamais céder à la panique. Pourtant, il a lui-même pas mal d’objets pratiques à sa disposition et les zombis, à sa rencontre, meurent les uns après les autres. Mais il convoite votre arme, celle qui lui sciera le mieux est celle que vous avez. D’ailleurs, plus il a d’armes plus son contentement grandit. Il en voudrait encore et encore, pour toujours, afin d’exterminer tout ce qui le menacerait un jour ou l’autre. Aussi, votre tête ne lui revient pas. Il n’a jamais aimé les hommes dans votre genre et vous prendre votre seul moyen de survie serait un vrai plaisir pour lui.
Alors, il vous suit dans l’ombre. Les montres, trop occupés, ne le remarque pas, tout comme vous. Ce n’est que lorsque vous empruntez une rue à proximité, pour vous éloignez de ce chaos, qu’il vous attrape par l’arrière du col et vous fait basculer. Vous maintenant allongé à l’aide d’un couteau sous votre gorge , il vous somme de lui remettre votre pistolet.
Consentez-vous ?

Jimmy continua son chemin sans se préoccuper de ce qu'il se passait autour de lui : des personnes hurlaient à la mort, des voitures cramé, les créatures déambulées lentement. Il voulait fuir au moins cet endroit pour avoir l'esprit tranquille. Au moment où il commençait à être à bonne distance de ce chaos, quelque chose (ou quelqu'un) le fit basculer vers l'avant, l'écorchant sérieusement au visage et aux mains.

Il se rendit compte que c'était une personne qui l'avait fait chuter quand cette dernière lui mit un couteau sous la gorge. C'était un couteau bien usé mais il devait encore bien couper. Le type lui ordonna de lui donner l'arme qui avait récupéré ultérieurement. Que pouvait-il faire? Si il refuser, le type l'égorgerait comme un cochon et si il accepter, non seulement il perdrait une arme importante pour la survit mais en plus, il n'était pas sur qu'il le relâcherait vivant. Quelque secondes passa pendant sa réflexion, le type ne lâché pas son étreinte et relancé ses menaces, c'est alors que Jimmy entendit des petits bruits de verre cassé, la bouteille de vodka qu'il portait à la main gauche était tombé lors de sa chute et le type le menaçant était tellement aveuglé par le fait d'obtenir l'arme à feu qu'il n'avait pas porté attention à la bouteille en verre.

Jimmy, en tâtant des doit, pu savoir qu'il resté encore un gros morceau de la bouteille (surement le haut) créant une arme plutôt pointue et tranchante. Mais l'opération sera délicate : Il faudra que le type lâche un peu de son étreinte. Il dis alors au type :

"- Très bien, je te la donne puisque tu la veux, mais comme tu est sur moi et que l'arme se trouve dans la poche avant, je ne vais pas pouvoir la retirer"

Quand le type relâchera un peu de son étreinte, Jimmy essaiera de prendre le tesson de bouteille pour planter son agresseur à la jambe gauche (voire plus haut si il peux), ainsi le type sera surpris et sera pris d'une douleur atroce, alors Jimmy pourras le finir avec l'arme à feu, mais seulement si son action pourra arriver à terme.

Le délinquant s’écarte légèrement de vous et vous empoignez le tesson que vous plantez de toutes vos forces dans sa jambe. L’arme prend un peu de temps à percer le jean et à pénétrez la chair, mais votre agresseur ne semble pas s’en soucier avant que cette attaque lui arrache un cri de surprise et de douleur.
Ainsi, et rapidement, vous dégainez votre arme et planter une balle dans le cou de votre agresseur à bout portant. Le sang vous éclabousse. Vous venez de le tuer.
Cependant, vous n’avez pas le temps de vous apitoyer. Déjà, les hordes de zombis les plus proches accourent de leur démarche lente et gauche vers vous, attirées par le cri de votre victime ainsi que par la détonation de votre arme à feu.
Faites attention, car la foule à votre droite sait maintenant que vous avez une arme à feu et il ne serait pas déroutant de croiser, par la suite, quelques lascars comme celui-ci qui voudront vous prendre votre nouveau compagnon. Aussi, si vous continuez votre chemin par les rues devenues plus ou moins calmes, il ne serait pas étonnant que vous vous retrouviez nez à nez avec des montres qui ont entendu le doux chant de votre dernier accrochage.

Jimmy planta de toute ses forces le tessons de bouteille dans la jambe de son agresseur, à un tel point qu'on aurait cru qu'il voulait l'encastrer dans sa chaire. La douleur ne se fit pas attendre et le type hurla de douleur en détachant sa prise de Jimmy. Jimmy en profita pour se relever aussitôt et dégaina l'arme à bout portant sur sa nouvelle victime :

- Mes amitiés à satan, pauvre con, dit-il d'un ton sarcastique.

Il ne laissa par répondre le pauvre quidam et lui décocha une balle en pleine nuque. La puissance du tir éclaboussa de sang Jimmy, ce qu'il le mit en pleine extase, il avait enfin retrouvé le goût du sang.

Aussitôt après, il rangea l'arme et regardât autour de lui et vît que beaucoup de monde l'avait à présent dans le collimateur. Il ressortit vivement son arme et défi quiconque de s'approcher. Il fit ensuite un tour vite fait de l'horizon et pris vivement une petite ruelle sombre plutôt bien dégagé, qui s'éloignait de ce chaos. Il n'avait plus rien à faire ici.