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 Lycéens versus zombis

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La Poupée

La Poupée


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MessageSujet: Lycéens versus zombis   Lycéens versus zombis I_icon_minitimeVen 4 Fév - 21:09

Hirado, jolie et paisible petite ville nipponne. Tellement verte, qu’en la regardant, on se croirait hors du temps. Cependant, par un frais et beau matin printanier, une tache vint souiller les vertes étendues. Puis deux, puis trois…Ces taches se multipliaient, se décuplaient, arrosant de sang les nombreux parcs publiques de la ville. On dit que les habitants, face à cette catastrophes, devinrent fous. Ils se levèrent, tous, comme un seul homme, et parcoururent la ville en quête d’une proie encore humaine à mordre. En effet, ils s’étaient transformés en zombis.

Ca avait tout l’air d’une mauvaise blague tirée d’un film, d’un récit ou d’un jeu vidéo, mais cette ‘plaisanterie’ était bien réelle.

A Hirado, ce matin de Printemps n’avait rien de normal. Des zombis avaient remplacé de nombreux habitants et ,foulant le béton, progressaient dans la ville. Les malheureux qui se trouvaient sur leur route n’avaient quasiment aucune chance. Mordus, ils se transformaient à leur tour et grossissaient leurs rangs. En quelques heures, les zombis furent devenus les maîtres d’Hirado.

Mais vous, vous avez peut-être une chance de rester fidèles à vous-même. Une toute petite chance, mais toujours une chance. On va jouer serrer; il va falloir ruser. Comptez sur votre instinct, ne réfléchissez que peu. Réfléchir pose des limites à l’imagination. Après tout, les plus astucieux survivront plus longtemps…
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Éléonore Nervansson

Éléonore Nervansson


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MessageSujet: Re: Lycéens versus zombis   Lycéens versus zombis I_icon_minitimeVen 4 Fév - 23:34

Hirado, jolie et paisible petite ville nippone... Oui en fait le problème pour Éléonore ici, c'est qu'elle est nippone et qu'elle soit jolie et paisible n'y changera pas beaucoup: le fait qu'elle déteste cette ville est belle et bien présent et la seule obligation qui l'empêche de repartir à New York est bien sa belle-mère où elle est sous tutelle. La fugue et coupé les ponts? Mauvaise idée, cette vielle vache n'attend que ça pour l'envoyer au tribunal et prouver qu'elle n'est pas capable de se géré soit même. C'est que son père a une petite fortune qu'Éléonore ne pourra pas toucher avant des années et si sa chère belle-mère ne l'a pas encore virer à coup de pompe dans le cul, c'est la principale raison. La seconde c'est qu'elle sert "accessoirement" de modèle mais après tout c'est un bon moyen pour recevoir de l'argent de poche. Foutu loi japonaise sur la majorité! Cela aux States c'est guère mieux...

Pour décompresser, rien de mieux que flâner et dépensé un max dans les magasins de mode hors de prix avec quelques copines. Enfin quelques copines c'est vite dit aussi parce que trainer avec cette saloperie qui ne perd pas une occasion pour écraser les autres quand elle traine avec Éléonore et qui prétexte que c'est l'américaine qui a mauvaise influence sur elle, on ne peut pas appeler ça une copine. Les deux autres? Un fan club des deux premières, des gourdasses qui ricanent même après une pique d'Elie alors que ce n'est pas censé être marrant. Des mômes qui espèrent la moindre reconnaissance de la part de la part de la coqueluche du bahut et de son "amie". Peu intéressant en somme... Comme la vendeuse de ce magasin qui a changer du ton m'enfoutiste au ton mielleux quand Ely a commencer à sortir sa "Gold" quand elle réfléchissait quoi prendre. Monde de merde, si il pouvait disparaitre comme ça en un claquement de doigts!

- De nos jours, les bourges ils ont la "Black", pauvre conne...

C'est d'un murmure qu'elle rentra dans la cabine d'essayage en prenant les quelques jeans de sortie dans le but de les essayer. Le pire dans cette histoire, ce murmure la vendeuse l'entendra facilement quand elle les prendra. Vous l'aurez deviner, elle a tout fait pour que la vendeuse l'entende. Ce regain d'énergie, Elie le connait et elle appelle ça le symptôme de la carte bancaire. Encore une qui n'est pas payé pour être aimable alors autant l'écraser et rappeler sa place dans la société.

En clair, rien ne lui plait, cette sortie entre amies étaient là seulement pour lui faire passé le temps, rien de plus. Le jean noir ou le jean bleu? Sachant qu'elle peut obtenir n'importe quoi après une séance photo elle serait bien tenter de répondre "rien du tout" ne serait ce que pour pourrir une bonne fois pour toute la journée de cette vendeuse au look rebelle. Au moins Elie se fera traiter de tous les noms pour une bonne raison. Peste un jour, peste toujours!

Une chose est sûr, c'est les cris de terreur et douleur qui la fera sortir de rêverie avant même d'essayer le premier jean. Entre-ouvrant le rideau pour y voir ce qui se passera, Eléonore changea net de couleur en y voyant le carnage. Une meute de détraqué venait de rentrer dans le magasin en sautant sur tout ce qui ressemble à des steaks à quatre pattes pour les dévorer. Alors oui c'est la crise mais au Japon on ne crève quand même pas la dalle à ce point là! Ou à moins que ça soit une mauvaise blague venant de la part de fan de Romero? Non, au dernière nouvelle il n'a pas sorti de film et puis ici on est Japon, les fans sont plus des Otakus à se travestir lors de séances de Cosplay que de faire un mauvais remix de La Nuit des Morts Vivants!

Cela dit, le carnage sera court et on pourra mettre ça sur le dos de la sélection Darwinienne. Pourquoi les gens se ruent-ils tous sur la sortie principale où se trouvent la plupart des zombies alors que dans ce genre d'établissement il y a toujours une sortie de secours à l'arrière boutique? La scène de massacre, Éléonore la regardera, la main devant la bouche ne serait ce que pour éviter de crier ou vomir. Un film d'horreur est une chose, on se marre devant mais ici c'est du Live! Heureusement, à part manger le cerveau des autres, ses zombies n'ont pas l'air d'avoir inventé l'eau chaude et tant que Elie restera cacher derrière le rideau, les quatre zombies ne semblent pas se préocupé d'elle mais plutôt de leur repas.

L'un d'eux partira, le regard vide et même si il en restait tant d'autres, Éléonore finira par sortir. Ou plutôt devra sortir si elle ne veut pas passer sa vie dans cette cabine d'essayage! Sortant doucement, les zombies ne semblaient pas trop être attirer par le bruit, surement plus occupé de manger la malheureuse vendeuse. La jeune fille optera pour passer par la pièce de stockage car après avoir jeter un oeil par la fenètre du magasin, des zombies dans la rue principale, ce n'est pas ce qui semblait manquer par ici! Ouvrant calmement la porte, elle rentrera avant de la refermé doucement et de le vérouiller.

Seulement là elle soufflera. C'est quoi tout ce cirque? Une mauvaise blague? Un mauvais rêve? C'est trop réel pour en être un! Allumant la lumière, elle cherchera tant bien que mal une arme ne serait ce que pour se défendre. A part un cintre, il n'y aura rien de bien interessant. Si, cette vieille étagère rempli de boites de conserves ou de pattes et ce sac à dos. Si elle pouvait se demander ce que cela pouvait faire dans l'arrière boutique du magasin, elle prendra tout de même la peine de remplir le sac à dos à ras bord. Pourquoi faire? Bonne question mais contrairement aux zombies, Elie n'est pas cannibales et n'a certainement pas envi de devenir comme eux.

Une fois le sac à dos... sur le dos, elle poussera la sortie de secours. Vu qu'il n'y aura personne, elle finira par s'y engager. Première chose à faire, rejoindre un lieu sécurisé pour ensuite réfléchir plus calmement, une fois la tête froide. A part le commissariat le plus proche, elle ne voyait pas grand chose d'autre pour le moment.
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Chiaki Kitai

Chiaki Kitai


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MessageSujet: Re: Lycéens versus zombis   Lycéens versus zombis I_icon_minitimeVen 11 Fév - 2:42

Spoiler:

Pas à pas, sur cette terre brune qui semblait mener si loin au devant de lui, il marchait sans même porter attention a ce qui l'entourait. Il ne voyait pas ces arbres qui avaient commencé à fleurir, l'herbe qui balançait tout doucement au gré du vent. Il ne voyait pas les oiseaux, mais il les entendaient crier leur chant, leurs paroles. Cette scène n'était pas si grande, elle était entourée de murs, un sorte de barrière qui empêchait les indiscrétions des voisin mais qui brisait en milles éclat le paysage qui pouvait être si beau...

Tout était si calme autour de lui. Les yeux fermés il ne voyait rien et ne pouvait entre que les bruits de la nature. Tout était si reposant, cela lui donnait de l'énergie pour pouvoir continuer à vivre, d'avancer dans les longs chemins que lui offrait la vie selon ses propres choix et ses dires. C'est alors qu'il finit par ouvrir les yeux. La lumière était intense. Il eu mal a cette partie du visage qui procurait la vue. Mais cela était endurable, pour le jeune homme. Le vent avait refroidit ses idées et les avaient éclaircies. Il était sortit de la maison pour pouvoir prendre l'air, et c'est ce qu'il avait prévu de faire. Rien ne pouvait gâcher cette journée qui semblait si belle.

Ses cheveux, qui possédaient des couleurs de brun un peu disparate, mais on y voyait surtout du pale, dansaient au vent. Chiaki avait beau les replacer, il n'y avait rien a faire, Ils regagnaient leurs anciennes positions aussitôt. C'était plutôt rare pour le jeune homme mais il portait des vêtements de ce qu'on appelle normal... Enfin surtout pour une fille, pas sur un homme. Il portait une veste bleu qui arborait des oreilles de lapin sur le dessus du capuchon, de plus il portait des pantalons court noir et des soulier de type '' converse '' du même bleu et du même noir que sa veste.

Ses pieds semblaient marcher seuls laissant sa tête ne pas réfléchir. C'était rare qu'il ne réfléchissait pas, en habitude, sa tête bourdonnait de données de toutes sortes ne lui laissant pas de repos. Mais parfois le silence, le simple silence si bien mental que physique lui fessait le plus grand bien. Plus il marchait plus il semblait s'approcher de l'intérieur de la ville. Les rues devenaient de plus en plus peuplées, de moins en moins belles. Les gens commençaient à peupler les endroits où passait le jeune homme. Puis, soudainement, reprenant conscience, il aperçu qu'il s'était retrouvé dans une rue marchande. Ce qui avait contribué à son réveil mental tait tout ces cris, cette détresse, et surtout le poids qu'il avait reçu sur le pied, rien de bien lourd mais cela l'avait surpris. Il se pencha, l'air de rien puis ramassa l'objet, il s'agissait d'une bouteille d'alcool, du Sake pour être plus précis. Puis, il commença a marcher en direction contraire des gens. Il voulait voir ce qui se passait, peut-être que cela se transformerais en film d'horreur, ces choses parfois si prévisible...

Puis, devant ses yeux, il vit quelqu'un s'acharner sur une femme, semblait vouloir la tuer, la dévorer. Son corps se figea. La peur coula le long de son dos prenant la forme d'une grande sueur froide. Mais, Cela ne lui prit que peu de temps avant de revenir a un état '' normal ''. Plus il regardait autour de lui, plus il voyait que le carnage était déjà d'une gigantesque étonnante. Les gens étaient affolé, on n'y voyait plus rien de réel. On aurait pu croire a un film d'horreur ou un cauchemar. Mais tout cela était bien réel, Chiaki le savait bien.

Son cerveau ne cessait pas d'analyser la foule et ce qui arrivait. Il avait de la misère a y croire, cela ne se pouvait pas, mais ils étaient bien là. Les zombis. Ils ne semblait pas encore très nombreux, mais cela ne devait pas tarder. Selon le jeune homme, ils contaminerais vite tout le monde, si ce que l'on voyait dans les films reflétaient bien cette nouvelle réalité. Il regarda dans les alentours, peut-être y aurait-il quelqu'un qu'il connaissait. Ce simple espoir, il le savait, pouvait le faire tenir et parvenir a bout de plusieurs de ces monstres. Puis il commença à courir. Il évitait bien les zombis qui marchaient si lentement se dirigeant vers la foule fuyante, se dirigeant vers une place ou la police pourrait les aider, sans aucun doute. Puis, il s'arrêta devant un magasin. Un magasin de vêtement. Puis il regarda autour de lui.

Il lança un juron. Les zombis commençaient à être nombreux et lui rendait la course impossible. Il s'en voulu d'avoir agit ainsi. Mais il était trop tard. puis, sans crier garde ils commençaient a s'en aller. Ils devaient être plus attiré par le grand buffet plutôt que le petit. il en fit soulagé, il était sauvé pour cette fois, mais il n'avait plus le droit a l'erreur. Cela pouvait lui être fatal. Il recommença a marcher, doucement cette fois. Puis, il vit soudain une jeune femme, elle devait être de son age, sortir du magasin en question. il regarda analysant très vite son comportement il devina qu'elle n'était pas un zombi. Puis il regarda mieux, il cru la reconnaitre. Elle, au japon. Cela troubla le jeune homme. Cela ne pouvait être ce à quoi il pensait. Ce ne pouvait être elle. Il cria a la jeune fille :

- Attend ! N'y va pas ! Les zombis sont tous par-là !!!

Même si ce n'était que de dos, elle lui ressemblait comme tout elle était son portrait craché, mais elle ne se déplaçait pas de la même manière, n'avait pas les même habitudes, à ce qu'il pouvait voir. Il repoussa donc cette idée au fond de sa tête et s'en voulu d'avoir interpellé cette fille, si il se trouvait elle deviendrait un boulet pour lui. Il ne fallait pas. C'est à ce moment même qu'il pensa a son seul ami en ce pays. Il se demandait bien où il pouvait bien être, il espérait pouvoir le revoir...
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Shyen Kusamura

Shyen Kusamura


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MessageSujet: Re: Lycéens versus zombis   Lycéens versus zombis I_icon_minitimeMer 16 Fév - 2:27

Spoiler:

Froc Froc. Le bruit retomba sourdement, comme enveloppé par une chose immense face à cette note futile, enfermant les sons entre ses entrailles. Froc froc. Même chose. Kusamura était du genre à être d’une facilité accrue à attirer les préjugés. Rien n’aidait en fait, son attitude lunatique, angoissée et colérique faisaient de lui un fou furieux. Ou juste un déficient mental. Ou un être venu d’une autre planète ayant acquis apparence humaine. Mais il y avait surtout son regard. Oui, bien joli, avec ses yeux bleus et ses longs cils noirs, mais vide comme une mer morte, sans vagues, sans vie, juste une belle étendue d’eau sans aucun plis. Lorsqu’on lui parlait, c’est comme si rien ne s’était passé, comme si, dans son esprit, un silence absolu régnait. Quelque chose pouvait passer devant ses yeux et il ne cillerait même pas, si la trajectoire du projectile ne le touchait pas. On pouvait le frapper aussi, oui, mais si la force du coup n’était pas assez forte, il ne cillait même pas. Réagir lorsque le but des autres est de provoquer, c’est répliquer, peu importe si on frappe ou si on parle, si on bouge ou si l’on soupire. C’est attiser le feu, éterniser le plaisir des autres au déni de soi. Kusamura n’était pas atteint d’une maladie mentale, il préférait juste se taire. Ou bien il n’était juste pas la, selon ma première théorie. D’ailleurs, il préférait davantage aller ailleurs. Mais sans corps, l’âme ne survivait pas, il devait rester sur terre. Et donc, son esprit ne faisait que vagabonder, indirectement dépendant du corps, d’air, de nourriture, du sang qui battait à ses tempes. Ainsi, Kusamura pouvait être dans son petit monde des heures durant. Mais, doté de la capacité d’analyser sans voir, ses pieds frôlaient des objets dangereusement susceptibles de le faire voler des mètres durant avant de se fracasser le crâne sur un autre objet non-identifié. On avait beau dormir, s’assoupir, il n’y avait jamais de fin. On finissait par se réveiller, bien sûr, mais que disait que le rêve était terminé ? Kusamura était donc dit heureux, a sa manière.

Son long manteau voleta derrière lui, manches retroussées, ouvert, longue balafre noire sur fond de neige. La chaleur ne lui faisait aucun effet, il n’y avait que son par-dessus qui était sombre, le reste était assez clair. Froc froc. Encore ce bruit, jolie symphonie, au travers de ses pensées sonores pour lui, silencieuses pour les autres. Tête penchée, oreille presque collée a un joli boitier, Kusamura semblait tout a son ouvrage, les yeux fixes, l’expression figée, dans un état dit calme. Effectivement, 80% du temps, Kusamura était angoissé, apeuré ou en pleine crise de nerfs (20% de son temps se résultait a vivre comme un humain, soit manger, dormir, s’occuper de son hygiène, communiquer avec les autres de son espèce ou bien, plus concrètement, respirer, pour la plupart du temps, étant assommé ou plongé dans une profonde transe suite a une frousse, un choc ou un intense manque de sommeil) et bon bref, pour le moment, il était dans son monde. Donc tout allait bien. Bien sûr, quelque fois, il secouait le boîtier puis ses yeux brillaient légèrement. Froc froc. C’était une petite boîte qui produisait ce bruit. Toute jolie, toute colorée, toute plastifiée, portant de petits objets que les humains appelaient « amusants ». D’ailleurs, c’était sa famille d’échange-étudiant qui l’avait conseillé d’aller acheter un « jouet » pour se « divertir ». Ils employaient souvent des mots qu'il n’avait jamais entendus et, ainsi, il avait de la difficulté à communiquer avec eux. Mais dans l’ensemble, il parlait bien le japonais. Bref, cette petite futilité, portant l’odeur toute fraîche d’un magasin, était le comble de ses pensées. Un tas de pensées, de questions existentielles, mais la question maîtresse qui occupait son esprit en entier depuis quelques minutes était : « Combien y a-t-il de fléchettes dans cette boîte ? » Bien sûr, le nombre était écrit en rouge sur le dessus, mais cela semblait tirer totalement hors de son attention. Mais parfois, il y avait d’autres songes encore plus importants et plus philosophiques tels que : « Pourquoi appelle-t-on cela un jeu de fléchettes, sachant que de si petites flèches ne peuvent être consommées ou utilisées a autre dépend que de jouet ? » ou bien « Quelles sont les chiffres de la racine carré de PI a la X lorsque X vaut 38475756 sur 3745757575ieme de Y, sachant que cette même variable vaut 38575746537475 sur 344677993 de PI ? » Ou bien, il était très probable qu'il ne faisait que semblant de se poser ce tas de questions et de compter le nombre de fléchettes par voie sonore. Il était sûrement en train de compter le nombre de pétales qui tombaient, évidement. Ou bien il n’était juste pas la, qu'il ne faisait que marcher dans une direction juste et logique, mais que son regard ne semblait pas déterminer. En très bref, Kusamura venait d’acheter un jeu de fléchettes et retournait dans son terrier.

Froid. Non, chaud. Ou bien froid. Comme s’il y avait le feu, Kusamura tâta ses hanches frénétiquement, comme si toute sa vie en dépendait. Ce qui aurait été normalement le cas, s’il avait trouvé cette chose, quelque chose de froid. Peut-être une glace a la vanille, ou bien de la neige, ou bien le portail de la troisième dimension qui ouvrait naturellement un vortex jusqu’au pôle Nord terrestre, ou bien une lame fondue d’argent renforcé, tout simplement. Normalement, Kusamura ne traînait pas sa lame d’argent en plein jour, sur lui, vu que ce moment précis de la journée était dit « immunisé contre les attaques féroces de loup-garous ». Et donc, sa main eut beau fouiller toutes les parcelles de ses vêtements, il n’eut qu’une bouffée de chaleur entre les doigts, car, bien sûr, il était un humain et donc, un être a sang chaud. Fausse note. Un grand cri d’agonie déchira la belle mélodie, tel un sifflement a la fois aigu et rauque, comme si son instinct avait pressentis le danger futur. Ou bien c’était de la chance d’avoir cherché une arme potentiellement dangereuse pour une offensive tout aussi bien qu'en défensive, au contraire d’un couteau normal qui servirait à couper des carottes. Comme si quelque chose l’avait piqué, Kusamura pivota rapidement sur lui-même et s’élança vers le cri, fouettant l’air de son poing. C’était ça, l’instinct. Foncer vers le danger, avant qu'il ne se rue vers soi, peu importe le danger et les circonstances, c’était agir. L’instinct sauvait, car la pensée évoquait la crainte et la crainte, le doute puis l’hésitation. Justement, l’hésitation était l’ennemi du genre humain, car plus que l’humain hésitait, plus ses chances de dite réussite s’émiettait, et lorsqu’il était trop tard, ce même humain réagissait, sous le poids de ce sablier invisible et silencieux, aussi faux et fatal soit ce geste qui s’imprimait, telle une tache d’encre sombre sur un ciel blanc.

Ah, soleil aveuglant, reste imprimé en mes prunelles. Kusamura se releva péniblement, fatigué de ce soubresaut, la respiration sifflante par une telle poussée d’énergie inattendue. Sa force guerrière étant partie, ses pupilles prirent leur taille dite normale pour un humain dont les nerfs n’étaient pas surmenés. D’un mouvement preste, Kusamura écarta son toupet de ses yeux pour voir ce même danger. Comme un enfant qui salut sa mère, sa main resta là, cacha la provenance du cri. Ses doigts s’écartèrent enfin et l’image s’imprima en son regard enfantin. Ah, quelle belle couleur, quelle jolie femme. Un joli liquide rouge coulait de sa jolie gorge en une forme disparate, telle une chute de pétales de roses le long de sa peau délicate. Une note bien aigue s’échappait de sa nuque enserrée par les mâchoires de la bête, homme fort, pâle et mort. On aurait dit une pièce de théâtre, belle de surcroît, un peu dramatique, s’il n’y avait pas eu ces gargouillements écœurants et ces effluves de sang. Kusamura soupira, comme si toute l’air s’échappait de lui, une longue brise qui revint sur ses pas, tout aussi sifflante et épuisée, tel le soupir d’un dur travailleur revenant du boulot, le regard las. Les humains, ils étaient fous. Ils torturaient de bien des manières et de tous les genres humains, mais de cette manière, il n’avait jamais vu et de cette victime, c’était étrange. Une drôle de sensation, dans sa gorge.

« - A…Arrêtez ! J… je vous en prie… ! »

Leurs regards se croisèrent et une sensation glaciale caressa doucereusement son épine dorsale, émotion communément appelée « la peur ». Ils étaient vides, gorgés de sang, sombres, morts, en contraste avec sa peau gris pâle. Ce fut en fait une « chance » qu’il puisse sonder ainsi son regard, car celui-ci allait d’un bord puis d’un autre, ne semblant rien analyser, comme s’il n’avait jamais existé. Kusamura avait l’habitude, qu’on l’ignore. Les humains l’ignoraient tout le temps, continuaient leur action, aussi cruelles soient-elles, malgré tout ce qu’il pouvait dire. Mais il n’en était pas peiné, juste un peu terrifié. C’était ce qu’il aurait pu appeler une fatalité, mais il pouvait y changer quelque chose. Il ne suffisait qu’il ne s’avance et se sacrifie, qu’était-ce sa vie contre celle de la jeune femme, qui avait sûrement un mari et des enfants, des gens qui comptaient sur elle ? Mais son instinct lui criait de fuir, à cette masse grise qui s’avançait lentement vers lui. Il n'eut de temps pour rien. Il n'entendit qu'un triste soupir derrière lui.

Kusamura aimait sentir le vent contre sa peau. Ça lui faisait penser aux oiseaux et à leurs plumes bien lisses, aux voiles des bateaux puis à la mer. Oui, il avait déjà essayé d’avoir un oiseau bien à lui. Non, pas dans une cage, juste un oiseau qui vienne lui rendre visite de temps en temps, mais ça ne marchait jamais. Les humains étaient trop bruyants. Froc froc. Combien y en avait-il déjà ? Une dizaine ? Il ne savait pas trop, il était déjà trop occupé à compter le nombre de pas qu’il faisait. Tuer un homme est un péché, mais tuer un animal est pardonné. Pour sa part, il ne voyait pas la différence. Et puis, il y avait des meurtres plus cruels, moins facilement oubliables que celui-ci. Mais pourquoi courait-il déjà ? Kusamura aurait aimé manger autre chose aujourd’hui, il aurait pu acheter quelque chose en passant, à cette vitesse de course. Il s’arrêta, ayant oublié le pourquoi de sa panique générale. Des cris retentirent à l’unisson derrière lui, en symphonie, telle une longue orgie de mort. Ce fut à ce moment qu’il perdit la tête. C’était « Fuir le danger » ou bien, « l’instinct ». Kusamura se jeta en roulade effrénée au sol tel un grand chat puis se releva agilement une fois en « sécurité ». Il prit un peu de temps à comprendre la situation, réacquérir ses sens. Lentement, les notes du carnage lui parvinrent sourdement et une jolie odeur emplissait la pièce. Il frotta ses yeux qui semblaient humides, tout comme ses joues, mais ne remarqua pas. Un magasin de vêtements. Du moins… Il sortit des étalages comme un ivrogne, sans grand équilibre. Il voulait juste sortir, partir, il n’aimait pas les lieux publics. Bref, la chance le quitta d’un coup et il s’empêtra dans le tapis lorsqu’il voulut se ruer vers la sortie. Ses mâchoires claquèrent entre elles sous la force de sa chute et son cou se tordit. Il n’eut alors d’yeux que pour une paire de chaussures colorées. Les humains, ils étaient toujours là au mauvais moment et au mauvais endroit. Comme un mort, il se releva lentement et poussa un grognement. Sans même regarder le badaud, il le jeta au sol comme une nuisance puis gagna la sortie. Faiblesse. Il aurait du manger quelque chose avant de partir.
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La Poupée

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MessageSujet: Re: Lycéens versus zombis   Lycéens versus zombis I_icon_minitimeVen 18 Fév - 13:26

A proximité du magasin de vêtements, vous êtes dans le même secteur. Cependant, ce magasin a connu l’assaut des zombis, ce n’est plus un endroit très sûr. Vous vous en êtes donc éloignés.

Eleonore, ne voyant rien de plus qu’un commissariat _ apparemment contaminé puisqu’un zombi venait d’en sortir _ décide de contourner prudemment l’épicerie jumelée avec le magasin de vêtements. Elle aperçoit alors un jeune homme aux cheveux châtains, Chiaki. Or, à quelques pas d’eux se trouve un homme d’une quarantaine d’année ensanglanté. Il ne tardera pas à se transformer en zombi et, soudainement, il crie à la mort alors que les regards des deux jeunes gens se croisent.

De son côté, Kusamura a quitté le magasin et souffre d’une légère faim. Cependant, il devrait laisser celle-ci de côté puisque son environnement est infesté de zombis et de panique. Il devrait fuir afin de rejoindre un endroit un peu plus calme. Pourquoi ne pas contourner le magasin de vêtements avant de trouver la petite épicerie qui sent si bon les bonnes épices ?
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Éléonore Nervansson

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MessageSujet: Re: Lycéens versus zombis   Lycéens versus zombis I_icon_minitimeSam 19 Fév - 22:57

Certains disent que l'humanité se situe au sommet de l'échelle alimentaire grâce sa capacité de s'adapter et son intelligence mais ce point est totalement faux. Au fond, un humain, c'est bête, ça panique, ça ne sait pas quoi faire, ça finit par courir partout en hurlant comme un demeuré et ce n'est surement pas la tonne de film de zombies et de morts vivant qui l'auront préparer à survivre. Même si Elie ne fait pas exception à la règle, c'est bien parce qu'elle a regarder par le passé plusieurs de ses films en compagnie de popcorn et si elle a survécu, c'est qu'elle n'a pas hurler bêtement pendant qu'elle se cachait dans la cabine d'essayage. Mais à part ce point là, elle est comme le jeune avec qui elle venait de tomber nez à nez, bien vivant celui-là, il a pensé à la même chose sauf que le commissariat a été pris d'assaut on dirait. En gros, un paumé comme elle et ce n'est pas parce qu'elle est plus âgée de deux trois années que cela changera quelques choses. Parce qu'à part trouver refuge dans un commissariat, elle n'a vraiment pas d'autres idées.

Elle finira par répondre d'un ton non pas paniqué mais plutôt agressif, car c'est bien là le problème. Une Eléonore ne savant pas quoi faire a tendance à plus s'énerver qu'à paniquer. Parfait pour un mannequin qui est censé être parfait et claquer des niaiseries à longueur de journée pour ne serait ce qu'éviter de se retrouver à la une des journaux à scandales. C'est que les journaleux ne savent pas quoi raconté de nos jours.


- Ouai ce n'est pas mieux par l'entrée de la boutique!

Elle se massa l'arcade. Mais pourquoi elle s'énerve comme ça? Comme si c'était le meilleur moment! La meilleure chose à faire, c'est examiner la situation. Le commissariat est à une cinquantaine de mètres mais un zombie en est sorti. Cela veut dire qu'il a été pris d'assaut. A bien y réfléchir, c'est logique, le premier réflexe d'une personne lambda est de foncé vers un commissariat, un hopital et tout cela de façon désordonné. Eléonore rajouterait même les autoroutes et le métro à la liste car le second réflexe est de fuir. Un zombie, c'est con c'est ainsi et c'est universel pour ainsi dire, ça se contentera d'aller là où il y a du raffuts. Ces lieux sont donc à proscrire. En fait, le mieux serait de trouver un endroit sécurisé pour réfléchir de la situation. Car pour le moment, personne ne sait rien de cette menace et encore moins comment se comporte un zombie.

El' soupira, légèrement calmé. Ce n'est pas en montrant sa mauvaise humeur que tout s'arrangera.

- Faut que je me calme moi... Bon, le commissariat, c'est à oublier et en plus ce n'est qu'un petit poste... Tu connais un endroit où il y a peu de monde en temps normal. Il devrait y avoir moins de zombies ou je ne sais quoi logiquement.

Au moins elle pourra se remettre les idées en place. Car là où il y a moins de monde quotidiennement, il y aura logiquement moins de zombies. Sur quelle source Eléonore se base? Dernier film de Romero et vive la culture américaine soit disant en passant...

Pourquoi Eléonore pose la question? Bien sûr l'idée de rejoindre les grands appartements de "belle maman" ou de "l'autre vieille peau" (au choix) est tentant. C'est typé, c'est chic et donc pas grand monde mais c'est à l'autre bout de la ville donc l'idée est à mettre de côté. Le problème, Elie a part les endroits très en vogue pour trainer ne s'est jamais pris la tête de visité une ville dont elle déteste. Au moins, ce jeune peut au moins l'aidé pour le moment, en espérant qu'il ne représente pas un boulet qui diminue grandement ses chances de survie.
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MessageSujet: Re: Lycéens versus zombis   Lycéens versus zombis I_icon_minitimeMer 9 Mar - 20:27

Vous et votre nouvel « ami » n’avez pas prêté attention à l’homme qui hurlait à la mort. C’est un zombi à présent, il ère de sa démarche gauche et sa peau est devenue grise. Et il passe doucement à côté de vous. Heureusement, vous êtes discrète et ne parlez pas beaucoup. D’ailleurs, la créature par chance, est passée toute proche de vous alors que vous vous teniez là, silencieuse, à regarder le jeune homme qui vous faisait face.
Cependant, d’autres zombis rodent. C’est à présent toute une armée qui déambule dans la ville, et si vous restez dans la rue ,ainsi, à papoter, je ne donnerais pas cher de vos peaux. Vous n’allez pas me dire que vous restez de marbre, ici, si ? Vous ne remarquez donc pas les zombis qui , doucement, progressent sous vos yeux ? Remarquez, un détail peut soudainement attirer votre attention. Les zombis sont aveugles et, par cet heureux miracle, ne semblent pas prêter attention à vous.
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Éléonore Nervansson

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MessageSujet: Re: Lycéens versus zombis   Lycéens versus zombis I_icon_minitimeDim 13 Mar - 12:53

*Qu'est ce qu'il a me regarder bouche bé celui là?*

Logique, il a repéré le zombie et le jeune homme qu'elle a côté d'elle est donc tétanisée. Quoi de plus normal quand on n'a jamais vu de zombies hors du petit écran? Ravalant sa salive, Élie se contentera de reculer d'un pas pour ne serait ce que le laisser passer. Ces zombies sont visiblement bigleux, voir tout simplement aveugle. Rajoutons à cela qu'ils doivent avoir l'ouïe fine, celui-là à dû se fier aux murmures d'Éléonore avant qu'elle ne se taise. Du moins ce point semble logique sinon ils auraient plus la gueule contre un mur au lieu de courir après les gens. Au fond, ça ne change pas beaucoup des films de zombies, la fille ayant au moins une bonne culture hollywoodienne. Comme quoi ce genre de savoir peut être utile mais malgré tout, ce n'est pas cela qui l'empêcherait de faire ses tests elle même. Après avoir vu le carnage au magasin, elle peut d'hors et déjà dire qu'ils n'ont plus rien d'humains et dans ce cas là, mieux vaut connaitre son ennemi pour survivre.

Le jeune étudiant semble apeuré au point de ne plus bouger. Heureusement qu'Élie a un minimum de conscience avant de penser à elle même sinon c'est un grand coup pieds aux fesses pour qu'il fasse diversion. D'ailleurs vaut mieux pas qu'elle reste là, dorénavant un humain promet d'être imprévisible. Rien ne dit qu'il pourrait se mettre à hurler ici et maintenant. Gardant son sang froid, Éléonore commença à marcher mais de vive allure. Ils sont aveugles mais ne sont pas sourds, paniqué et courir serait qu'augmenté les chances de se faire mordre. Et puis ça lui permet de réfléchir à la situation, même si elle préférerait le faire une fois en sécurité. Au moins, réfléchir lui permet de ne pas perdre les pédales.


*Trouver un lieu sécurisé? C'est à dire où il y a personne habituellement... Le quartier où habite la vieille? Y a quelques gardes et la population n'est pas importante dans ce quartier... Comment y aller? Un deux roues, moteur ou non n'y change pas grand chose... Après, appeler de l'aide où quitter la ville... D'ailleurs c'est partout pareil ou non? Je passerais quelques coups de téléphones dès que j'en aurais l'occasion...*

Elle passera la main dans sa poche. Il est où ? Elle ne l'a pas laisser dans son sac à main dans le magasin? Avec ses conneries on pense toujours à garder sur sois le portefeuille mais on ne pense rarement au téléphone portable de peur de le perdre dès que l'on essaye des vêtements.

C'est arrivé au coin de rue qu'elle recula nettement, surprise d'être sorti aussi soudainement de ses pensées. Elle venait de tomber nez à nez avec un jeune inconnu de son âge. De son bahut peut être? D'un côté elle se moque bien de connaitre les autres élèves alors qu'elle, en revanche est pas mal connu. Une chose est sûr, il semble être vivant celui là, et après tout c'est tout ce qui compte pour le moment.

C'est donc en le regardant de la têtes au pieds mais surtout de la tête qu'Elie lui posera une question toute simple.


- Vivant?

Vivant? Bonne question, c'est facile à différencier un mort d'un vivant. Lui n'est pas pâle, n'a pas de sang qui sort de la bouche et ne semble pas avoir de trace de sang tout simplement, et donc pas de morsures. Car oui, il y a surement une histoire d'infection derrière tout ça!
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Zelgadis Gildwin

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MessageSujet: Re: Lycéens versus zombis   Lycéens versus zombis I_icon_minitimeMar 15 Mar - 19:09

C'était un beau jour de printemps. Le soleil était présent et Zelga, qui était à Hirado depuis maintenant trois mois grâce aux parents de Misa envoyés pour le travail, en profita pour aller se promener dans le parc car il n'arrivait pas à suivre les cours en japonais et avait donc décidé de les sécher. Il se dirigea vers le parc de la charmante petite ville avec son sac-à-dos sur le dos. Il avait à sa disposition un baladeur MP4, un téléphone portable, un livre de médecine et une trousse de premiers soins. Mais que fait donc un étudiant de seize ans avec un livre de médecine et un kit de premiers soins sur lui alors qu'il va simplement prendre l'air au parc ? Il existe une réponse toute simple à cette question: Zelgadis est passionné de médecine et rêve d'en faire son métier. De plus, comme il apprend en autodidacte la médecine pendant les cours auxquels il ne comprend rien, il possède des connaissances nécessaires pour pratiquer une opération légère avec sa trousse de secours. Il arriva dans le parc et s'allongeait au pied d'un arbre, à l'ombre. Il étudiait son livre avant de le ranger pour faire la sieste. Zelgadis adore dormir et se laisse aller à la flânerie dès qu'il en a l'occasion. Il sombrait petit à petit dans les bras de Morphée quand un cri de terreur mêlée à un cri de douleur déchira les tympans de Zelgadis. Il ouvrit les yeux et vit une foule s'enfuir. Une fois le rideau de gens passé, Zelgadis vit une femme se faire mordre au cou par un homme au teint grisâtre, aux yeux livides dans lesquels flottent deux pupilles blanches distillées et , à la limite de la fiction, l'homme semblait avoir des chaires en décompositions.Zelgadis se releva d'un bond et observa la scène.

*Mais c'est quoi cette merde ?*

Zelgadis se précipita vers la femme pour lui porter secours. Il donna un coup de poing très violent dans la figure de l'individu ce qui a eut pour conséquence de le faire tomber. Zelga vit la femme s'écrouler. Il tenta de prendre son pouls.

*Elle...Elle est morte !*

Zelgadis regarda l'homme et fut étonné de le voir se relever aussi vite après ce coup de poing. Il Prit un pas de recul quand soudain il sentit quelque chose lui prendre la cheville. Le cadavre de la femme précédemment morte lui saisissait maintenant la cheville. Elle avait le même teint que l'homme qui se tenait de nouveau debout.

*Mais c'est quoi ce délire bordel ?!*

Zelgadis, prit de panique, eut le réflexe de donner un coup de pied dans la main de cette femme, de lui écraser la figure et de s'écarter tout en pensant à prendre son sac. Il relevait à peine la tête qu'il aperçut que le parc commençait à se remplir de ces *créatures*. Zelgadis, sorti du parc par la direction opposé à ces tas de chaires en décomposition.Il était égaré. Il n'avait pas encore pu observer ce phénomène de façon réfléchie et de cette façon, ne savait pas comment se transmettaient ces symptômes. Il savait seulement qu'il fallait éviter d'être mordu comme la femme qui faisait désormais route avec les "infectés". Alors qu'il jetait un œil derrière lui, il vit que les gens aux teint grisâtre faisaient demi tour. Il en profita donc pour appeler Misa pour prendre de ses nouvelles.

Tonalités*Décroche Misa...*
Tonalités interrompuesALLO...MISA, REPONDS !
Vous êtes bien sur le portable de: Mimi. Veuillez laisser un message après le bip sonore. BIP

Messagerie de merde !

Zelga entendit un grognement à proximité de lui. Quand il leva le tête, il vit une dizaine d'infectés devant lui ce qui eut pour conséquence de le faire réagir à la quatrième vitesse. Zelgadis se mit à courir à toute allure vers un point élevé. Une fois perché sur un arbre, Zelgadis sentit son portable vibrer. Alors qu'il décrochait, il entendit la voix de Misa.

Zelga...Au secours, mes parents ont été mordus par des restaurateurs et d'autres gens dans le restaurant aussi. Ils me cherchent. AU SECOURS...Tonalités

*Misa... NON!*

Zelgadis se mit à pleurer. Il sortit du faux fond de son sac un couteau possédant une lame aussi longue que sa main. Ce couteau est le couteau familial depuis une dizaine de génération. Il a permis à son premier possesseur de protéger sa famille contre toutes les personnes qui leurs voulaient du mal. Aujourd'hui, Zelgadis avait décidé de s'en servir pour sauver sa peau ainsi que celles des personnes qui n'étaient pas encore infectées. Oui, Zelgadis pensait qu'il n'était pas le seul à être encore en vie malgré que du haut de son arbre, il ne voyait que des hommes et des femmes morts qui avaient néanmoins reprirent vie. Zelgadis attacha le couteau à sa ceinture puis il décida de descendre car la faim commençait à se faire sentir. Zelgadis glissa donc de son arbre puis il se mit à courir à travers la ville à la recherche d'un endroit tranquille où les "infectés" n'étaient pas encore présents. Il courut quand soudain il percuta une fille à vive allure. Ils se relevèrent quand soudain la fille laissa échapper une parole qui fit sourire Zelgadis malgré la gravité de la situation.

- Vivant?

Je dirais plutôt sain.

Zelgadis observa la fille qui avait l'air tout aussi troublée que lui.

Je m'appelle Zelgadis Gildwin, j'ai 16 ans et j'ai pour priorité d'aller trouver ma meilleure amie. Et toi, comment t'appelles-tu? Que veux-tu faire en premier lieu?
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MessageSujet: Re: Lycéens versus zombis   Lycéens versus zombis I_icon_minitimeJeu 17 Mar - 21:36

Après cette rencontre fracassante, vous vous relevez sains et saufs, et vous vous apprêtez à vous présenter l’un à l’autre. Cependant, un homme d’une trentaine d’année fonce sur vous et vous pousse violement. Il est aussitôt happé par une créature qui passait par là et sous vos yeux, à quelques pas de vous. Il ne s’agit pas de discuter ici, dans ce monde agité et paniqué sous la menace de l’envahisseur. Il vous faut trouver un abris le plus vite possible, vous pourrez ensuite discuter de vos impressions et de vos craintes ainsi que de la pluie et du beau temps.
Seulement, ici, toutes les boutiques accueillantes ont été emportées par une vague de zombis. Mais ces zombis sont les plus maladroites des créatures. Ils n’ont donc pas pu atteindre cette petite boutique si discrète. Oui, celle-ci, dont les escaliers creusant jusqu’au sous-sol mènent à la porte d’entrée. On aurait du mal à la reconnaître tant elle se fond si bien dans son terrier. En s’approchant un peu, on pourrait voir qu’il s’agissait d’une petite boutique de jeux vidéos.
Pourquoi ne pas y aller ?
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Éléonore Nervansson

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MessageSujet: Re: Lycéens versus zombis   Lycéens versus zombis I_icon_minitimeDim 20 Mar - 13:54

Gildwin, Gildwin... Du côté d'Elie, ça ne lui dit rien et d'un autre côté, au vu de la situation, ce n'est guère surprenant. Autre chose qui n'est pas surprenant non plus, Zelgadis a une tête de quelqu'un qui vient de pleurer, comportement très normal, surement bien que quelqu'un qui se calme avec des sots d'humeurs avec un inconnu pour se calmer les nerfs.

- Eléonore Nervansson et-

Elle aura eu tout juste le temps de se présenter avant qu'elle ne se fasse bousculer. Inutile de lui en vouloir, celui-là aurait garder un minimum de sang-froid qu'il aurait survécu un peu plus longtemps. Éléonore n'a même pas eu le temps de dire sa priorité mais la sienne ne se limite qu'à sauver sa petite vie et éventuellement se barrer de cette ville de fou quand elle aura analysé la situation comme elle se doit. La situation est critique, un humain ça panique très facilement et le mieux pour l'instant est de se cacher le temps que la situation se calme. Calmer c'est vite, disons plutôt que les trois quart des humains se fassent bouffer et le quart restant se planquent chez soit. Un avantage: il n'y aura plus chaos et donc plus personne pour attirer les zombies avec des cris à briser des carreaux. L'inconvénient: il y a aura logiquement plus de zombies... C'est connu, la population de zombies, c'est selon la densité de la population, moins il y a de monde, moins il y a de zombies. C'est comme les cons dirait fièrement Éléonore si la situation était moins dramatique.

En fonctionnant ainsi, Eléonore aura les yeux rivés sur une petite boutique de jeux vidéo. Une petite boutique de particulier visiblement et qui n'a aucun rapport avec une grande enseigne. La jeune fille va aller se planquer dans une boutique où elle aurait jurer quelques heures plus tôt de ne jamais y mettre les pieds. C'est connu, avec son point de vue étroit, les jeux vidéos c'est pour les otakus!

- Ce n'est pas le moment de discuter... ni de brailler d'ailleurs...

Sans un autre mot elle se dirigea à grande enjambé vers la boutique et commença à y descendre les marches. Inutile de courir bêtement, ça ne serait qu'attirer du zombies en pagaille. Inutile de marcher doucement et silencieusement, le zombie présent est occupé à déguster son repas et tant que la petite bourgeoise ne s'amuse pas à taper dans une poubelle, il ne la dérangera pas.

Vu de là où elle est, elle ne pouvait pas voir grand chose mais au moins permettrait d'y réfléchir. Et réfléchir, elle le fera après avoir vérifier si il n'y a pas de zombies caché entre les rayons. Autant en profiter, l'électricité est toujours là et un zombie, la lumière dans la figure ou non ne changera pas grand chose car aveugle. Par contre un vivant, c'est important, ne serait ce que pas pour se faire mordre!

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MessageSujet: Re: Lycéens versus zombis   Lycéens versus zombis I_icon_minitimeMar 5 Avr - 19:31

Vous êtes entrée dans la boutique de jeux vidéos. Celle-ci ne contient, apparemment, aucune trace de contamination d’outre-tombe. La seule contamination ,qui demeure en ce lieu, est une passion dévorante pour les jeux vidéos. D’ailleurs, trois hommes dont le vendeur sont autour d’une console à essayer un nouveau jeu. Derrières des lunettes aux verres ronds et quelques mèches de cheveux noires et grasses, leurs regards sont rivés sur l’écran. Ils sont et demeurent complètement absorbés par leur jeu et vous ignorent complètement.
La pièce, quant à elle, est silencieuse, sombre et peu accueillante. Quelques jeux en vente prennent la poussières sur les étalages. Il n’y a pas un chat à part les trois hommes restés adolescents. Cet endroit ressemble donc plus à un petit club déserté qu’à une boutique à proprement parler. Soudain, des protestations s’élèvent, brisant le silence apaisant. Un des joueurs vient de perdre sa partie. Tous trois vous remarquent subitement et vous considèrent avec des yeux ronds. Ils ne doivent pas avoir l’habitude de voir une fille mettre les pieds dans leur terrier. Et, bien sûr, ils n’ont pas remarqué la panique extérieure.

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MessageSujet: Re: Lycéens versus zombis   Lycéens versus zombis I_icon_minitimeMer 6 Avr - 19:41

Oh que si ce lieu est contaminé jusqu'à la moelle! Des rayons de jeu partout, allant du plus stupide au... plus stupide? Il faut dire que le premier jeu en promotion est le dernier Pokemon, avec la jolie pancarte grande d'un mètre montrant un de ses mignons monstres que les enfants adorent! Et le dernier jeu est un de ses jeux de drague qu'adorent les japonais... Oui en fait, si Elie avait regarder ce qu'il y avait entre les premiers et les derniers jeux, elle aurait éviter traumatisme... Quoique les trois joueurs du fond représentent le parfait exemple de l'otaku boutonneux. Il ne manquerait plus que l'un d'eux la reconnaisse et se jettent dessus en la suppliant d'avoir une photo en sa compagnie sur son téléphone portable... Et vu les têtes qu’ils ont, ils n’ont pas dû voir beaucoup une fille autrement qu’en 3D.

- Si j’étais vous, je fermerais la boutique quelques temps et je resterais ici quelques temps même si j’ai l’impression que ça ne vous dérangerais pas tant que ça. Dehors, il y a comment dire… Une pandémie et ça provoquer une émeute et…

Comment éviter de passer pour une conne et se faire foutre de sa gueule ? Parce que l’attaque de zombies, c’est moyen-moyen… Si Elie n’avait pas vu toute un magasin de vêtements se faire bouffer tout cru par une vague de zombies, il est clair qu’elle se serait payé la tête du mec qui lui aurait dit ça. Ah ouai, si elle essayait de parler "le geek"?

Elle se tourna vers le rayon de jeu. C’était quoi la pub qu’elle a vu il y a quelques mois ? Elle l’a sur le bout de la langue pourtant ! Ah ben tient le voilà pile devant ses yeux. Elle le prendra pour leurs montrer avant de tenter de parler "leur langue".


- En gros dehors, il y a un remix de Dead Rising et y a un mort qui bouffe un mec à dix mètres des escaliers et c'est pareil dans toute la rue marchande.

C’est convaincant comme explication ? En s’écoutant, Eléonore finira par admettre que ce n’est pas du tout le cas. La boite de jeu finira par passer au-dessus son épaule avec un ton las.

- Oh et puis merde… Comment je suis censée expliquer une invasion de zombies moi ?!? Vous avez qu’à y jeter un coup d’œil mais éviter d’hurler comme trois cons, ils sont vachement sensibles aux bruits… Je ne tiens pas à me faire bouffer pendant que je barricade l'entrée... Y a pas un rideau de sécurité pour le soir ici?

Et barricader la porte si l'un de ses trois imbéciles se met à hurler en voyant la scène dehors, elle risque bien de le faire avec Zelgadis. Parce que dans le lot, il va bien en avoir un qui va aller vérifier pour jouer aux super-héros.
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MessageSujet: Re: Lycéens versus zombis   Lycéens versus zombis I_icon_minitimeLun 18 Avr - 20:36

Les otaku continuent de vous fixer, surpris. Apparemment, ils n’en croient pas leurs yeux malades. Un d’entre eux prend ses lunettes et les essuie à l’aide du tissus de son T-shirt avant de les replacer sur son nez. Comme vous êtes toujours là à peiner à raconter l’invasion de zombis, il vous détaille des pieds à la tête pour lancer à ses deux copains:

« Hey, mais c’est pas un modèle ?! »
A ces mots, la mâchoire inférieur du propriétaire lâche. Il bégaie:
« Une…Un modèle dans ma boutique ? UN MODELE DANS MA BOUTIQUE ?! »

Le récit que vous avez laborieusement raconté n’a apparemment pas atteint leurs oreilles, et le doux nom de « Dead Rising » ne semble pas les avoir stimuler. Leurs concentrations ne sont portées que sur vous et votre corps de femme, mais ne voulant aucunement se montrer pervers envers une si mignonne fille , aucun commentaire désobligeant ne vous est adressé. Comme ils sont des plus timides et animés de bonnes volontés ,avec un soupçon d’arrière-pensée cela dit, ils vous proposent de partager quelques parties de leur dernier jeu vidéos avec eux. Et le propriétaire, dans une extrême générosité, vous tend sa manette.

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MessageSujet: Re: Lycéens versus zombis   Lycéens versus zombis I_icon_minitimeMar 19 Avr - 11:09

Explication convaincante ? Le zéro absolu… Pour une fois Éléonore ne leur en voudront pas vraiment… On lui ferait même le coup qu’elle chercherait partout dans la pièce la caméra caché. Qui de normalement constitué pourrait croire cette version ? Même un otaku la regarderait de travers. Quoique la situation à la Dead Rising, ces derniers avaient l’air de s’en foutre pas mal et devait plus halluciner de voir une fille dans la boutique, une vraie !

L’un parmi eux semblait l’avoir déjà vu dans un magasine de mode. Encore un qui acheter le magasine non pas pour les vêtements mais plutôt pour les filles. Ah bien y réfléchir, Éléonore aurait ses consœurs auraient peu être dû passer un partenariat avec un boite de Cleanex, on dirait bien que ses mouchoirs servent à autres choses qu’à se moucher. La suite, elle se contenterait de bien dire que l’intention est bonne et gentille mais ce n’était pas la bonne situation. En fait, il va falloir ruser un petit peu car si elle fait un second essai avec cette excuse bidon que sont les zombies, ils vont surement croire qu’il y a une émission de canular derrière tout cela.


*Réfléchissons un peu…*

Elle se contenta de laisser Zelgadis près de la porte après lui avoir murmurer certains mots qui sonneront plus à un ordre qu’à des instructions. Ici, c’est le seul avec elle à connaitre l’ampleur de la situation.

-Tu laisse rentrer personne…

Ou essaye, mais peu importe, le seul adulte ici il va être occupé ailleurs et ce n’est surement pas deux otaku qui vont se frotter à un jeune comme Zelgadis. Élie a toujours aimé que l’on se plie à ses petits ordres, autant au lycée que dans la vie de tous les jours. Mais l’ordre ici est plus un instinct de survie et d’égoïsme qu’autres choses, peu importe si les personnes qui arrivent sont contaminée ou non.

Ici, il fallait qu’elle chope le propriétaire ou du moins le traine à l’étage pour le coller devant la fenêtre et voir la situation dehors. En gros elle mettre dans la poche le temps qu’elle le croit. A vrai dire, une bande d’otaku, il y a de fortes chances qu’elle se les mette dans la poche le temps de comprendre réellement la situation. Rien de plus simple, elle se contentera de refuser la partie


-C’est gentil mais je ne suis pas là pour ça. Peu être après? Je suis ici pour tâter le terrain pour le prochain jeu Capcom, une futur promotion plus exactement… Monsieur, si on pouvait en parler en privée à l’étage s’il vous plait ?

Elle n’a beau pas s’y connaitre grand-chose, elle pourra remercier le jeu de lui avoir fourni l’information sur un des éditeurs. Le sens de l’observation, Éléonore l’a toujours eu, une bonne chose dans un tel cas qui ne rendra la ruse plus crédible. Et puis promotion avec une manequin, c'est toujours bon à prendre, ça plait aux otakus dirait Elie.

De toute façon, même si la possibilité de refus existe car la boutique est trop petite pour les grosses ventes, il devait bien avoir des fournisseurs comme tout le monde donc en parler est la moindre des choses. Parler de cela, Élie s’en fout pour le moins du monde car arriver dans la pièce suivante, elle ne fera que lui montrer la réalité par la fenêtre, précisant qu’elle n’a pas déconner en se pointant ici et parlant de zombie. Cette petite rue n’a rien à voir avec la rue marchande mais il y a bien quelques zombies à l’extérieur qui erre et qui sont en train de bouffer un malheureux type. Une preuve largement suffisante pour qu’il ferme le magasin et mette le grillage de sécurité contre les vols.
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MessageSujet: Re: Lycéens versus zombis   Lycéens versus zombis I_icon_minitimeDim 1 Mai - 11:16

Après avoir poliment refusé la partie, vous demandez au propriétaire de vous conduire à l’étage pour discuter. Il vous y guide avec plaisir et ne vous quitte pas des yeux, jusqu’à ce que vous le forciez à regarder à la fenêtre. Comme touché en plein cœur, il recule nerveusement avant de dévaler les escaliers pour retrouver ses deux acolytes et leur hurler de baisser et verrouiller le rideau de fer. Seulement, celui-ci ne peut être verrouiller que depuis l’extérieur. Il est donc impossible de fermer complètement la boutique, à part en sacrifiant une valeureuse personne assez courageuse ,ou plutôt téméraire, pour errer seul et sans arme à travers une marée de zombis. D’ailleurs, ses deux copains le regardent de travers. C’est vrai qu’à le voir, on jurerait qu’il était devenu fou et qu’il fallait immédiatement appeler les secours. Remarquant que ses camarades de jeu le considèrent avec scepticisme, le propriétaire tente de leur expliquer la situation, mais aucun son ne sort de sa bouche, juste des syllabes inarticulées sans queue ni tête.
Vous devriez l’aider avant qu’il ne panique pour de bon .
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MessageSujet: Re: Lycéens versus zombis   Lycéens versus zombis I_icon_minitimeDim 1 Mai - 18:50

Rien de tel que montrer directement les faits met n'importe qui dans le bain. A bien y réfléchir, Éléonore a bien fait de ne pas réagir comme telle dans la boutique de mode sinon nul doute qu'elle aurait servi d'hors d'oeuvre. Et à ses yeux, sa petite vie ne coûte pas assez cher pour terminer ainsi.

Rejoignant le propriétaire en bas de la boutique, elle le verra paniquer. Qu'est ce qui dit? Aucune idée et même si ses "mots", si on peut appeler ça ainsi, voulait dire quelques choses, Elie n'est pas assez doué en japonais pour comprendre le jargon. Déjà que c'est un exploit qu'elle le parle correctement malgré un accent trop présent, comme quoi la mannequin est la preuve que l'on peut être blonde, belle et intelligente à la fois. Égoïste aussi parce que ça n'allait pas être elle qui se serait porté volontaire.

Sur le coup, il ne fait qu'empirer la situation. Dommage que son taser est resté chez elle, le problème aurait été résolu rapidement. Quand à l'assommé, vu le gabarits d'Eléonore la question ne se pose pas. Elle répondra d'un ton sec en espérant le calmer. Le ton sec étant assez naturel vu de la façon dont elle s'adresse au employé de sa belle-mère, la jeune fille n'aura pas trop besoin de se forcer.

- Je l'ai dit: ils sont aveugles mais surtout sensible au bruit. Alors calmez-vous immédiatement et surtout taisez-vous et donnez-moi plutôt ses foutus clefs.

Même si il n'est pas calmer, tout ce qui compte c'est le trousseau. Ceci fait, elle regardera rapidement les volontaires. Deux ici ignorent la situation mais poseront obligatoirement des questions si jamais ils ferment la grille eux même. Reste Zelgadis qui veut retrouver à tout prix retrouver sa meilleure amie comme il lui a dit il y a cinq minutes. Au fond, ça risque d'être un jeu d'enfant de le convaincre de fermer la grille derrière lui.

- Zelgadis-san, je sais que tu veux retrouvé ta meilleure amie mais nous on risque de rester cacher le temps d'examiner la situation. Nos chemins se séparent donc ici. Tu peux en profiter pour refermer la grille derrière toi et nous lancer les clefs?

Nous? En y réfléchissant, être enfermé dans la galerie des horreurs avec trois otakus, à bien y réfléchir Elie peut commencer à faire sa petite prière tous les soirs dans l'espoir de ne pas rester ici trop longtemps. Zombies ou Otakus? Le titre de ce sujet devrait plutôt s'appeler ainsi.
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MessageSujet: Re: Lycéens versus zombis   Lycéens versus zombis I_icon_minitimeMer 11 Mai - 19:47

Etes vous vraiment sûre de vouloir sacrifier Zelgadis ? Il n’aura certainement aucun moyen de survivre à l’extérieur. Aussi, avec le bruit du mur métallique, les zombis le cerneront certainement, à moins qu’il ne fuit à temps. Il croisera beaucoup de zombis, mais sa vigueur de jeune homme devrait l’aider à se débrouiller quelques jours, tout au plus.
Zelgadis, dont le destin est de voler au secours de sa meilleure amie, se dirige froidement et courageusement vers la porte, l’ouvre, sort et baisse la grille. Déjà, les zombis se dirigent vers lui, mollement et gauchement, mais sûrement. Après avoir verrouillé, il vous passe rapidement les clés à travers les trous de la grille avant de s’éloigner en courant vers un autre abris, quelque part… Vous refermez rapidement la porte et à travers la vitre, vous voyez la silhouette de Zelgadis qui rapetisse petit à petit. Vous ne le verrez peut-être plus jamais…
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Éléonore Nervansson

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MessageSujet: Re: Lycéens versus zombis   Lycéens versus zombis I_icon_minitimeVen 13 Mai - 18:23

Déjà que Titanic n'est pas le genre de films qui émut ne serait-ce qu'un peu Éléonore, alors le départ de Zelgadis il ne fallait pas s'attendre à des départs larmoyants. Enfin il faut dire qu'aussi, Titanic, tout le monde savait avant même de regarder le film que ce fichu bateau allait se taper un iceberg et qu'il y allait avoir son lot de morts à la clef. L'exemple est donc mauvais...

N'empêche qu'un détail titillait Élie et c'est en se retournant qu'elle reconnu l'évidence: enfermée avec trois geeks. Génial, déjà qu'elle n'ait pas tolérante pour un sou, il va falloir qu'en plus elle (re)explique la situation dehors. L'adulte, qui est censé montrer l'exemple est en plein stress et n'est pas capable de dire un mot de potable. En espérant qu'il ne se montre pas dangereux, dans la panique ça tendance à faire n'importe quoi. Et c'est bien là le problème... Si la mannequin sait manipuler, il faut avouer que jouer les psy n'ait pas sa grande spécialité et le seul conseil qu'elle pourrait donner, c'est de faire marcher l'industrie pharmaceutique à grand coup de calmants.


*Comment expliquer ça... On va faire comme l'autre.*

Eléonore referma la porte avant de regarder tout autour d'elle. Pas le genre de boutique qui a des fenêtres en masse, au moins l'invasion ne pénétra pas par la porte d'entrée par ici. Mais quand est-il des étages supérieurs? Si c'est pour réfléchir calmement, autant que ça soit dans une partie de l'immeuble où tout est "sain". Enfin sain médicalement surtout.

- Si vous voulez me suivre à l'étage, j'ai quelques choses à vous montrez.

De toute façon, l'adulte, à part une crise de nerfs qu'il est déjà en train de faire, il ne pourra pas faire grand choses. Les clefs, elles sont dans la poche d’Éléonore et il ne pourra pas courir comme un demeuré dehors et les attirés. Il finira par se calmer de lui-même (à savoir quand c'est autres choses) et finira surement par les rejoindre.

Montant les marches pour rejoindre la cuisine, elle en profitera pour se présenter.

- Je suis Éléonore Nervansson... Et euh... Oui en effet je me fais de l'argent de poche avec quelques magasines de mode mais ce n'est pas ça le sujet. Tout à l'heure, je n'ai pas raconter de bobards et j'aurais préféré que ça soit un canular avec caméra caché à la clef.

Elle montra de nouveaux la catastrophe dans la rue, digne d'un vieux film d'horreur de série B. Malheureusement ce n'est pas le cas. Pendant que les deux garçons regardent la scène avec leurs yeux exorbiter. Eléonore fouilla dans le frigo, pas à la recherche d'une arme mais plutôt d'un remontant. Parce qu'elle a beau être calme, ce n'est qu'une apparence. Oui elle a la tête froide mais ici, elle est comme tout le monde, elle panique et c'est seulement grâce à sa capacité de résonner et un bon sens de l'observation qu'elle ne s'est pas faite croquer à l'heure à l'actuel. C'est en mettant la main sur une de ses bières coupé à l'eau que l'on a toujours à moitié prix qu'elle continuera.

- C'est encore pire dans la rue marchande et je ne sais pas comment c'est ailleurs. Tout ce que je sais, ses... "choses" sont aveugles et sensibles au bruit. Ca m'a sauvé dans le magasin de fringues une rue plus loin.

Décapsulant la canette avant d'en boire quelques gorgées, elle finira par la poser sur la table. Purement infecte, rien ne vaut les bonnes bières allemandes mais au moins elle avait trouver sur quoi se venger sans pour autant faire part de sa mauvaise humeur lorsqu'elle est prise au dépourvu.

- J'espère seulement que vous allez mieux digérer les évènements que le propriétaire. Après, la question est de savoir si il y a une autre issu de sortie que la porte d'entrée, je n'aimerais pas voir ses choses débarqué ici avant l'arrivé des secours.

Car oui la jeune fille est comme tout le monde, elle ne sait pas encore à quel point la situation à dégénéré! Il ne manquerait plus que cette pandémie soit mondial...
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MessageSujet: Re: Lycéens versus zombis   Lycéens versus zombis I_icon_minitimeMer 29 Juin - 23:19

Les deux adolescents boutonneux tremblent comme des feuilles à la vue apocalyptique. Vous parlez, mais ils ne semblent pas s’en rendre compte, trop choqués par les zombis au teint grisâtre qu’ils voient déambuler de leur démarche gauche et aveugle. Soudainement, un bruit de bois craqué puis un hurlement de détresse retentissent. Il s’agit, pour le premier, de la seconde entrée, toujours verrouillée, se situant au premier étage et appartenant à un immeuble. Le second, quant à lui, est un groupe de proies cherchant désespérément à échapper aux bêtes monstrueuses qui parsèment maintenant les rues d’Hirado. Bien sûr, les victimes qui toquent si violement à la porte savent que cet appartement fait partie de la boutique de jeux vidéos et font un bruit d’enfer en attirant les monstres. Aussi, une parmi elles a été sauvagement mordue et saigne considérablement. Une fois que la porte craque, les victimes se débrouillent pour agrandir leur sublime œuvre et passer dedans. Elles sont au nombre de quatre. Quatre futur zombis, si on anticipe un peu les morsures de la contaminée. Vous devriez filer les empêcher de rentrer dans la boutique, et vite.
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MessageSujet: Re: Lycéens versus zombis   Lycéens versus zombis I_icon_minitimeVen 1 Juil - 20:59

En même temps, fallait-il s’attendre à autres choses quand on se rend compte du désastre dehors ? Même Ely peut comprendre que la situation néccessite un temps d’adaptation, ayant elle aussi failli vomir son petit déjeuner une demi-heure plus tôt, elle ne pouvait que comprendre leur réaction. Du moment qu’ils le font en silence c’est déjà une bonne chose ! Et qu’accessoirement ils ne mettent pas trop de temps à s’adapter car ils risquent d’être vite considéré comme des boulets par Eléonore. Et si la jeune fille veut bien comprendre que partager les réserves de nourriture aussi bien ici que dans son sac le temps de se remettre les idées en place, il faut savoir qu’elle ne le ferait pas indéfiniment. C’est que faire des emplettes à la superette du coin, ça risque d’être autrement plus risqué que « de sortir sa Gold » comme elle dit si bien ! La nourriture dans le quartier ne manque pas, du moins pour le moment mais tout de même !

Ceci dit, se reposer les méninges, les deux jeunes n’en auront pas le temps et Elie les laissera là, se contentant d’une brève remarque. Pour le moment ils ne servent à rien et pour ce qu’elle risque de faire, il ne vaut mieux pas les avoir sur le dos pour le moment.


-Mais quelle idée d’avoir une porte en bois qui mène sur la ruelle de nos jours… Vous me ferez signe quand vous aurez décidé de bouger… Je ne tiens pas à voir la porte défoncer par un ou deux personnes de mordu et de contaminer…

Pour Elie, la solution est simple : pour elle dehors, il n’y a que des zombies, ou du moins des futurs zombies et prendre le risque de faire rentrer un éventuel zombie est trop risqué. Si on lui laisse le choix entre elle et deux ou trois personnes qu’elle ne connait pas qui plus est, le choix est vite. Elle n’est pas toubib mais elle a compris une chose : vu la vitesse où sont sorti ses zombies, la propagation du virus (ou elle ne sait quoi) doit être sacrément rapide. Plusieurs heures ? Elle a du mal à croire, elle verrait bien entre un quart d’heure et une demi-heure. Voir moins si ça trouve… Tant qu’elle n’aura pas pris le temps montre en main, elle ne pourra pas le savoir. Un test… C’est malheureux à dire mais des tests, elle risque d’en faire pour savoir s’adapter rapidement.

Qu’est-ce qu’elle peut leur dire ? De dégager ? Il ne faut pas déconner, un humain paniqué, si il peut défoncer une porte à plusieurs quitte à y rester cinq minutes après, ils insisteront en sachant que derrière, il n’y a pas de zombies. De dire de laisser dehors la mordue ? Pas dit que ça se passe correctement car le résultat serait trop hasardeux. Pour le peu que les trois otakus décident d’aider le plus faibles ça dégénèrerait. Dire qu’il y a des zombies aussi et de dégager ? C’est possible que ça marche... Tenter de les raisonner et de se calmer ? Même pas la peine d’y songer même en rêve !

En bref : un humain quand ça panique, c’est atrocement con… Ca été prouvé scientifiquement à plusieurs reprises aujourd’hui : tout le monde dans le magasin de fringues est sorti par la grande porte en sachant pertinemment bien que d’autres zombies les attendaient. A partir d’aujourd’hui : ça va être « sélection Darwinienne » à longueur de journée. Seules les plus forts et les plus rusés survivront. A défaut de ne pas faire partie des plus forts, notre blonde est née avec un cerveau. Et puis merde chacun pour soi ! C’est dans ce cas que l’on se rend compte de l’égoïsme de l’être humain ! En particulier celui d’Eléonore quand il s’agit de sauver ses fesses en premier… Et tout cela ne l’empêchera pas de se regarder dans le miroir… Surtout si c’est pour se peigner et se maquiller !

Descendant les escaliers, elle était en train de réfléchir à la meilleure manière de s’y prendre. Il est clair que dès la première occasion, cette porte là sera renforcé. Mais pour le moment, le problème c’est les personnes derrière. Ses petites séance au théâtre lui auront été bien utile car elle va se mettre à berner tout le monde, surtout qu’à ce moment là, les deux otakus du haut ont deux de tension. Le propriétaire ? Il est pire que les jeunes et il doit surement paniquer caché derrière sous le comptoir. A vrai dire celui là il y aurait des zombies en face lui qu’il ne bougerait pas… Un futur problème vu qu’il pourrait faire n’importe quoi dans les heures à venir. Mais revenons à notre porte !

Elie se mettra à émiter la panique et à frapper des deux poings la porte, implorant que l’on vienne la aider. On remarquera aussi dans tout son élan de bonté qu’elle appuiera tout son poids pour renforcé la dites porte… Sachant que de son côté il n’y a pour le moment aucun zombie et que de l’autres les zombies arrivent, inutile de dire que ses gens ne vont pas venir la sauver… Et pas non plus vérifier si elle dit la vérité ou non !


-Aidez-moi ! Ils vont me dévorer ! Ils arrivent !

Bon d’un côté, le discours est digne d’un mauvais texte de série B pour une actrice tout aussi mauvaise mais Eléonore se fout bien de savoir si elle mérite un Oscar ou non. En plus ils sont de l’autre côté de la porte alors pour savoir si le niveau du jeu d’acteur est parfait ou non c’est encore plus compliqué. Tout ce qui compte, c’est de ne pas les faire rentrer et qu’ils décident de fuir rapidement.

Pourquoi rapidement ? Pour la simple et bonne raison que si elle peut jouer les filles mielleuses et manipuler les deux zigotos à l’étage et qui doivent être à l’heure actuel examiner la situation de dehors si par chance l’état de panique est passer, c’est encore mieux pour elle ! L’autre en bas ? Un futur problème mine de rien… Et puis le temps de trouver mieux pour survivre, ils feront l’affaire pour le moment.
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MessageSujet: Re: Lycéens versus zombis   Lycéens versus zombis I_icon_minitimeLun 11 Juil - 16:31

Votre petite improvisation hurlante provoque, chez les trois hommes, un redoublement de craintes et de peurs. Comme stimulés, ils ne tardent pas à s’abandonner à la panique. Tandis que les deux adolescents restés à l’étage fuient les victimes aux zombis et dévalent les escaliers, le propriétaire dégage violement quelques petites étagères pleines de jeux vidéo pour parvenir à une fenêtre poussiéreuse qui éclaire faiblement la pièce. Il l’ouvre alors précipitamment et l’escalade pour fuir dehors. Les deux adolescents le suivent et le rattrapent. Ils sont dehors, à présent, à la merci des zombis. On n’entendra certainement plus jamais parler d’eux.
Et, maintenant, les futurs zombis, qui se sont fait mordre en criant horriblement de douleurs, ont pénétré dans la boutique. Ils apportent avec eux une tripotée de monstres tous plus gris les uns que les autres. Pour l’instant, ils ne vous ont pas repéré, mais ca ne serait tardé, surtout que les futurs zombis souffrent atrocement mais ont encore une part d’humanité. Vous devriez vous mettre à l’abri, ou fuir tant qu’il est encore temps.
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MessageSujet: Re: Lycéens versus zombis   Lycéens versus zombis I_icon_minitimeJeu 14 Juil - 22:10

- Mais qu'est c'qui m'font là ces trois là?

Elle aura eu à peine eu le temps de dire ça que ses trois idiots étaient déjà dehors en laissant les issus grandes ouvertes derrière eux. Sélection Darwinienne, sélection Darwinienne... Éléonore aura touché le gros lot et ce n'est pas après cela que les otakus augmenteront dans son estime. Là, ils touchent même le fond. Pourtant ce n'est pas faute d'avoir dit qu'elle allait s'occuper des gêneurs en bas, certes en ne disant pas de quel façon mais en se retournant le cerveau, il était facile d'imaginer qu'elle allait tenter un coup bas pour s'en débarrasser. En fait, celui au première loge aurait été le propriétaire qui aurait pu se rendre compte de l’hypocrisie de la mannequin mais là, le mot "dévoré" lui a littéralement fait péter une durit: l donne une magnifique ouverture aux zombies... Et les cris qu'ils ont laisser derrière eux ont fait insister les trois nouveaux monstres.

Mais qu'est ce qu'il leurs a pris? Ils n'auraient pas bouger tout le monde ici aurait été en sécurité. Tout le monde aurait renforcé la porte dès qu'ils se seraient calmer et ce même tout le monde se serait portée pour le mieux. Maintenant ce n'est plus le cas. Seul bon côté de la chose? Au moins maintenant Elie sait que la contamination n'est qu'une question de minutes...

Pour ce que ça change... Parce que là maintenant la voilà dans une galère monstrueuse entouré dans quelques minutes de créatures toutes aussi monstrueuses. Si elle prend la nouvelle sortie, ça va finir en course poursuite, course poursuite qu'elle gagnera mais attirera d'avantage de zombies avec des bruits de pas et d'essoufflement. Si elle prend l'entrée, le grillage bloque. Si elle prends la porte de secours, elle tombera nez à nez avec trois nouveaux zombies... Il y a bien l'étage supérieur où elle peut se barricader mais à la longue ils l'auront car coincer à l'étage.

Il va falloir ruser et jouer sur les sens des zombies si elle veut sortir de là. Et ce point, il va falloir s'y habitué. Ils ont l'ouïe fines? Eléonore va totalement faussé leur seul moyen de repéré des cibles car ici, elle est dans une boutique où malgré tout on trouve du matériel assez cher. Et qui dit matériel assez cher dit alarme. Elie a tout simplement le trousseau de clef et si elle ne connait pas le code, elle peut très bien brancher l'alarme et la faire gueuler avant de partir. Peu importe le nombre de zombies, si ils s'en prennent plein les tympans, ils ont plus de chance à mordre l'un de leur collègue que la jeune fille. Moralité, tout ce qui se trouve dans le rayon de 50 mètres risque de se jeter sur un malheureuse alarme pendant qu'Eléonore discrètement peu importe si elle passe à côté de contaminer. Après tout c'est plus facile de faire gueuler une alarme que de la faire taire!

Fouillant dans sa poche, elle ouvrira le boitier de l'alarme non loin de la porte d'entrée puis de tourner la clef et l'enclencher. Ceci fait, elle se contentera de tapper à plusieurs reprises un code faux... Qu'elle a bien fait de les confisquer ses clefs! Comme quoi c'est toujours utile!

L'alarme enclenché, elle se décala doucement tout en gardant son calme pour passer par la nouvelle sortie pendant que les nouveaux zombies foncent tout droit vers le lieu où se trouve cette sirène. Même si elle s'échappe, il faut dire qu'Elie commence à un peu pété les plombs, elle qui comptait souffler un peu pour se remettre les idées en place c'est raté là!

Une fois dehors, elle tenta de se repérer. A défaut de ne pas pouvoir aller voir la police, il va falloir trouver un lieu pour se cacher tout en s'équipant convenablement. Des armes à feu? Niet ça serait plus utile contre un humain s'abonnant au pillage et au chaos que contre un zombie où elle aurait plus de chance de rameuter ses petits copains que de le tuer. Et puis au Japon les armureries ne sont pas légions et les commissariats surement bondé. Nul doute que c'est les premiers lieux où la foule se réfugierait et pillerait. Non, ce qu'il lui faut, c'est un endroit où elle pourrait se barricadé, un endroit où la foule ne va pas systématiquement se réfugier et où elle peut se barricader correctement. Comme un magasin de sport? Ô que oui c'est ce qu'il lui faut! Elie a déjà la nourriture pour plusieurs jours, il ne lui manque plus qu'une bonne arbalète ou ce genre de "babioles" entre les mains pour pouvoir se sentir en sécurité. En tout cas plus qu'avec des otakus c'est certains!
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MessageSujet: Re: Lycéens versus zombis   Lycéens versus zombis I_icon_minitimeMer 3 Aoû - 1:24

Vous avez fuit de cette boutique en proie aux zombis avec brio et vous vous dirigez vers un magasin de sport tout prêt. C'est un magasin de grande enseigne, vaste et qui a du être bien organisé avant la fuite des clients. Ceux-là avaient été prévenus par le biais d'un énorme écran suspendu dans le couloir principal. Vous pouvez constater que toute la planète cède à la panique et que les journalistes et leurs équipes ont bien du mal à échapper aux zombis, mais tiennent le coup pour informer la population.
Comme vous êtes à présent dans un magasin de sport plus ou moins sans dessus-dessous , vous pouvez trouver toute sorte de choses qui vous seront utiles par la suite. Mais malheureusement pas d'arbalète. Cette arme n'est vendue qu'en boutique spécialisée ou sur internet au titulaires de licences. Cependant, parmi tout ce bric-à-brac, il est possible de trouver un arc et une bonne réserve de flèches de tailles et de diamètres divers, un sabre en bois, une batte de baseball, une crosse de hockey, un club de golf et bien d'autres choses.
Pour l'instant, les zombis ne présentent plus aucune menace dans ce large cocon sportif. Après tout, vous avez bien mérité un peu de repos. Même si, bien sûr, ce repos sera momentané.
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MessageSujet: Re: Lycéens versus zombis   Lycéens versus zombis I_icon_minitimeJeu 4 Aoû - 14:55

Un des rares magasins à ne pas avoir cédé à la panique et s’être contenté de suivre le protocole d’une alerte à incendie lors de la crise. Une organisation d’une grande enseigne avec comme avantage des rayons longs et bien éclairés, ça limitera les risques à Éléonore de se faire surprendre pendant les emplettes.

Pas d’arbalète, ici on est au Japon, pas aux « States », grand pays défenseur de la liberté où on peut se procurer un permis de port d’arme peu importe si on n’a pas grand-chose dans le citron. Bon, il y a quand même un arc et les flèches qui sont tout aussi mortel mais où Élie n’a jamais vraiment brillé. Elle sait tirer correctement mais ça ne se limite qu’à ça, ce n’est pas pour rien qu’elle aurait préféré une arbalète. Elle prendra quand même un carquois plein et ce n’est pas pour rien qu’elle prendra un arc avec un de ses viseurs pour débutant là où elle aurait pu choisir de quelques choses de plus précis pour les compétition.

En revanche elle assure de la batte ! Elle sait renvoyer des balles, s’entraine parfois dans des stands pour décompresser quand elle est énervée. Loin d’avoir le niveau national mais là elle peut se venter de savoir bien jouer ! Par contre elle opta pour la batte en aluminium. Plus légère à transporter, plus solide et plus pratique pour faire des swing avec des têtes de zombies. Un joueur pro dirait le contraire mais ici pour frapper du zombie en pleine boite crânienne.

Bizarrement, on pourrait croire qu’elle se limite qu’à ça la petite Élie mais une occasion comme ça ne se présente que très rarement deux fois. Si elle est armée à proprement dit, elle préfère éviter du zombie qu’en fritter (c’est moins dangereux parait-il) et donc fera le tour du magasin pour des choses certes bêtes mais ô combien utiles et surtout pas lourds et encombrants parce que se promener avec un cadis, il y a plus discret.

Commençons par deux tubes de balles de Tennis (10 balles) où leurs utilités peuvent paraitre inutile mais où il serait malheureux de ne pas laisser des zombies jouer à la baballe pendant Éléonore passe discrètement à deux mètres d’eux. Petit détour au rayon « escalade » où elle subtilisera une corde de dix mètres. Suivra en suite le rayon « camping » où mettre la main sur une lampe torche et ses piles ne devrait qu’être une formalité. Tiens d’ailleurs, la grande question est de savoir si dans ce rayon il n’y a pas un pistolet de détresse et les fusées qui vont avec… Ce genre de matos ça serait nickel ! Et si il y a un petit accessoire de survie avec quelques outils basiques sous forme de petites sacoches (quelques cruciformes et autres clefs pour réparer un vélo), elle prend aussi mais c’est moins sûr de trouver ça ici. Ça peut se trouver mais on n’est pas dans un magasin de bricolage !

Normalement tout cela en main elle ne devrait pas être charger comme un mulet où seul l’arc et la batte sont plus encombrant que lourd, le reste atterrissant avec les boites de conserve dans un sac à dos de sport plus large que celui récupéré quelques heures avant. La batte dépassera du sac car elle ne compte pas repartir à pied. Car c’est le VTT qui suivra, parfait pour éviter les embouteillages sans bruits.

Tout cela en main, la jeune fille commencera à réfléchir sur sa prochaine destinations. Quand on a une belle-mère riche, on peut se permettre d’avoir une propriété privée. Avec un peu de chance elle n’est pas occupée par des zombies. De toute façon ce n’est pas en restant là qu’elle aura sa réponse.
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