Un cauchemard éveillé

Le grand décida d'aller jeter un coup d'oeil dans les escalier ,tant qu'il ne descendait pas sa pouvait encore aller ,tout ce qu'il fallait espérer c'est qu'il ne meurt pas car sa carrure imposante pourrait surement m'aider a me protéger .Il est vrai que je ne paraissais plus très humain a utilisé mes semblable d'une telle façon ,mais aucune autre porte de sortit ne m'était attribué pour le moment .L'épicier pris en otage allait me donner des indication mais le petit agresseur lui coupa la parole avant qu'il n'eus le temps de terminer sa phrase .Mais le petit excité de service perdis patience et lui trancha la gorge aussi simplement que le fait de le dire ,quel être ignoble ...Et il se croyait maitre de la situation avec ça ,il va causer notre perte si il continu à agir comme ça ...Le corps presque inerte de l'épicier tomba à terre puis arrêta de frissonner ,je compris sans grande peine qu'il était mort malheureusement .Mais au moins il m'aura donné une nouvelle porte de sortie ,car même si il n'avais pas fini sa phrase je ne vois pas quel autre mot que "cuisine" désignant une pièce qui puisse commencer par "cuis-" .Au moins je pourrais autant me sauver d'eux que des choses qui trainent en bas ,sauf que le petit me regardait en me menaçant de son couteau .Je le regardais en soupirant ,même ci cela n'était pas a mon avantage ,il continuait de déblatérer comme tout le temps en essayant de fixer des règles ,mais il va vraiment finir par avoir notre mort sous les bras celui là ,point final .Le plus réfléchi des deux revins alors en disant que le store tenait encore ,j'allais pousser un soupire de soulagement quand j'entendis un autre bruit métallique bien plus violent ,des bruit de pas et de choses bousculer sans oublier des gémissement agonisant se faisaient de plus en plus entendre .C'était évident que ces monstruosité commençait leur ascension vers l'étage où nous nous trouvions .Le grand homme revint alors et semblait attendre quelque chose ,je regardais le plus petit en poussant un long soupire ,il ne semblait vraiment pas avoir compris .

- Sans rire si tu te calme pas tu va tous nous faire sombrer et la je peux te dire que tu aura moins l'air fin .Pas de chef ici ,si on commence comme sa et vu ton attitude on est pas sortit de l'auberge alors tu me suis sans broncher si tu veux vivre ,sinon tu reste là !!

Je gonfla alors les joue ,surement que j'allais mourir pour ce que j'avais dit mais surement que mon air énervé l'avait quelque peu intimider ,mais du fait que j'avais hausser la voix les choses m'avait peut-être entendu et se ramenaient en grand nombre ,mais il fallait se fier a ma déduction ,j'ouvris alors une porte qui était fermée .Derrière celle-ci se trouvait une salle de bain ,ce n'était donc pas la cuisine malheureusement ,mais par un coup de chance la prochaine porte que j'ouvris ,celle juste en face ,était celle de la cuisine .Il y avait une grande fenêtre dans le style baie vitrée .Mais la dernière porte m'intriguait ,le grand balèze m'avais pris mon cutter et je ne savais pas quoi prendre d'autre et je doute qu'arracher la paume de douche soit rentable et surtout rapide ,et j'avais le sentiment que quelque chose pouvait se cacher derrière cette porte ,même un simple manche de balais me suffirait .Je me retourna pour faire face à mes deux compagnons d'infortune .

- La grosse fenêtre de la cuisine vous permettrait de vous en sortir ,je regarde un coup la dedans et je vous rejoins .

Je suppose que le petit dirait encore que c'est lui le chef et tout ce qui suit ,mais avais-je vraiment le choix ?Je posa alors ma main sur la poignée et tenta de l'ouvrir pour trouver quelque chose derrière .


|hrp : excusez moi pour le retard]

Spoiler:

La cuisine n'avait rien d'exceptionnel, elle était assez grande compte tenu de la taille de l'appartement, mais cela compensait la salle d'eau plutôt exigüe. En son centre trônait une table en tournée de quatre chaises tandis que sur un côté se trouvaient le réfrigérateur et les autres meubles essentiels d'une cuisine. Au fond de la pièce, une fenêtre assez haute permettait de voir un immeuble situé juste de l'autre côté d'une petite rue. Juste en face d'eux il y avait une autre fenêtre pourvue d'une petit balcon avec une rambarde métallique.

La dernière pièce était une petite pièce encombrée de cartons, une sorte de réserve pour les produits vendus au rez-de-chaussée. Tandis que le lycéen inspectait brièvement la pièce du regard, l'homme au poignard s'approcha discrètement dans son dos et tenta de planter son arme dans sa nuque. Il fut arrêté en cours de route par un violent coup de poing de son acolyte qui l'envoya heurter violemment le mur de sa tête, le sonnant pour de bon. Son couteau s'échoua sur le sol tandis que des bruits caractéristiques des créatures provenaient d'en bas, semblant se rapprocher.

Dans la salle, mis à part les nombreux cartons, se trouvaient également quelques objets peut-être utile : une bouteille d'un litre de produit d'entretiens dont l'étiquette indiquait explicitement de ne pas mettre en contact avec du feu, un balai, un seau, une serpillère et un annuaire téléphonique.