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 Déjeuner de la Mort...

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Alekseï Divanov
Le Rêveur
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Le Rêveur

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MessageSujet: Déjeuner de la Mort...   Déjeuner de la Mort... I_icon_minitimeMer 13 Avr - 18:24

Jour J - Un peu avant 10h...

Hirado est une petite ville Japonaise agréable, où, malgré les tensions existantes, propres à toutes les villes ordinaires, il fait bon vivre. Situé au Sud de l'île, reconnus pour son magnifique château, c'est un lieu qui attire un nombre important de touriste. Le centre-ville, Tanenashi, regroupe la plupart des lieux essentiels au développement de l'agglomération, et à l'accueille de ces fameux touristes. Lycée, commissariat, hôpital, hôtel, jardin... La ville possède également un grand centre commercial, regroupant de grandes chaînes de magasin de tous les domaines : nourriture, jeux, bricolage. Dans les couloirs du grand centre, plusieurs restaurants rivaux se livraient bataille pour la place de premier, pour être celui qui fera le plus de chiffre d'affaire, qui attirera le plus de client. Ils avaient tous des styles différent, restaurant asiatique, fast food, ou haute gastronomie, il luttait à coup de rabais et de nouveaux plats. Parmi ce petit regroupement, et la rivalité qui s'accentuait de jour en jour, un restaurant ce distinguait des autres. Et, l'un de ces cuisinier allait devenir le témoin du déploiement de l'enfer sur terre. Alors que chacun des habitants de la ville Nipponne étaient attelées à leurs travaux quotidiens, études et métiers, les ombres commençait à s'étendre pour frappait massivement la population de la ville, du pays, du monde. Et ce fameux cuisinier n'allait pas tarder de voir de ses propres yeux les dégâts provoqués par cet assaut... il n'en sait rien, mais il lui reste plus que quelques minutes à vivre tranquillement, sa vie d'avant. Le Destin le laissera t-il survivre assez longtemps pour voir l'humanité renaître de ses cendres ?... Encore faut-il qu'elle puisse se relever par la catastrophe qui approche. Le Rêve allait sombrer dans le Chaos.


[Pour bien commencer votre sombre aventure, je vous prierais de faire une petite visite sur cette partie du Forum : Click]
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Alekseï Divanov
Le cuistot paresseux
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MessageSujet: Re: Déjeuner de la Mort...   Déjeuner de la Mort... I_icon_minitimeMer 13 Avr - 19:08

C'est donc dans le centre commercial bondé de gens, venant acheter jouets, outils, nourriture et j'en passe. De l'ouverture à la fermeture, du matin au soir, le bâtiment regroupant les différents et rès nombreux magasins étaient toujours plein à craquer de monde. Les odeurs de parfum, de viandes, de pâte et autre envahissait els narines des gens, jeune et vieux. Mais bon, passons sur tout la description d'un centre commercial que la majorité des gens pouvent décrire sans problème. L'histoire se passait justement dans un restaurant, spécialisé dans les mets de la mer, en particulier les sushis, qui faisaient fureur depuis qu'un jeune adulte étranger occidental était arrivé en tenant son CV, bien rangé dans un porte document. Sur la première page était inscrit en Japonais le nom Alekseï Divanov, un jeune Russe passioné de cuisine et du Japon, arrivé à Hirado il y a un mois. Il avait été engagé après qu'il ai cuisiné une nouvelle recette de sushi qui avait tout de suite fait fureur au restaurant. Le chef avait engagé le Russe et l'avait regretté de par son comprotement surtout. Un petit paresseux qui se couchait tard en inventant diverses excuses plus ou moins bonne et qui dormait jusqu'a très tard dans la matiné, mangeant de temps en temps le poing ou le pied du chef dans la figure ou dans un autre endroit qui fait très mal. Bref, revenons en à ce bon vieux Alek'. Il était penché sur une feuille d'algue qu'il enroulait progressivement et soigneusement autour du poisson et du riz qui constiturait son meilleur plat qui était presque toujours commandé. Il le posa ensuite dans la boîte de plastique avec les autres sushi et met de la mer qui était déstiné au client qui voulait un repas pour emporter. Alex venait de se lever, il y a a peine une trentaine de minutes et c'était son dixième sushi qu'il faisait. Il avait encore des cernes autour des yeux mais souriait malgré ça, aimant mieux paraître bien au travail que grognon. Il en aurait des raisons d'être grognont dans quelques heures ou même minute.

Le couteau en main, Alekseï secoua la tête pour continuer son travail, le boss à la face rogue l'avait presque remarqué pendant le trentaine de secondes où il avait arrêté son travail pour réfléchir. Il déposa donc le fameux couteau et se saisit ede la bouteille de sauce d'assaisonement, avec laquel il versa une mince couche de ce liquide mystérieux mais délicieux sur le sushi que son compagnon de cuisine avait poussé vers lui. C'était un des cinq sushis commandé par un assez gros homme sans barbe et avec le crâne chauve et qui brillait comme un miroir, bien que c'était surtout son front qui brillait car on n'allait pas regarder le crâne des gens plus grand que soi, ce n'était pas très subtil et pas poli non plus. Puis il recommença sa besogne, coupant un poisson qu'Alekseï identifia comme un thon rouge en une vingtaine de morceaux égales. Il posa ensuite chacun des morceaux sur une feuille d'algue pour chacun. Puis, il ajouta diversn autres morceaux avec le thon, puis il ajuta une poigné de riz qui termina le tout. Il enroula les vingt sushis dans les feuilles d'algues et laissa son compagnon faire le reste pendant qu'il déposait cinq sushi dans chacune des quatre assiettes posé devant lui. Puis il continua...
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Le Joker

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MessageSujet: Re: Déjeuner de la Mort...   Déjeuner de la Mort... I_icon_minitimeVen 13 Mai - 1:34

Un cri de panique raisonna dans le centre commercial, puis deux, puis trois, puis toute une cacophonie de cris dissonants et atroces. En tendant un peu l'oreille on pouvait entendre des gens, hurlant, supplier qu'on appelle une ambulance pour certains, la police pour d'autres. Les plus curieux allèrent voir ce qu'il se passait tandis que les moins farouches préféraient se diriger vers la sortie opposée. Certains quittèrent la file d'attente du restaurant marin pour se diriger d'un côté ou de l'autre, il s'agissait bizarrement principalement des plus loin dans la file, les plus proche, comme le grand homme au crâne luisant, ayant soi déjà commandé, soit étant tout près de le faire, n'avait pas vraiment envie d'aller voir ailleurs.
Le patron du restaurant beugla son mécontentement de voir l'ensemble de ses employés distrait par quelques éclats de voix et lança une flopée d'ordres et de rappels à l'ordre, couvrant presque totalement les cris qui n'avaient pas cessé pour autant.
Autant quelques cris pouvaient être considérés comme "normaux" ou compréhensibles, autant leur persévérance et le fait qu'ils semblent se rapprocher pouvait réellement laisser penser que quelque chose de pas normal du tout était en train de se passer. De plus en plus de gens se bousculaient vers l'autre sortie du centre commercial et un homme passa en hurlant à tue-tête quelque chose d'incohérent et de ridicule comme quoi tout le monde allait se faire dévorer... Le monde ne tourne vraiment plus très rond de nos jours...
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Alekseï Divanov
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MessageSujet: Re: Déjeuner de la Mort...   Déjeuner de la Mort... I_icon_minitimeSam 14 Mai - 20:26

Puis, le Russe sursauta. Des tas de gens se mettaient à crier partout dans le centre commercial et sa devenait insuportable pour les pauvres oreilles du cuisinier. Police, ambulance, pompier, des tas de demandes se faisaient partout et on pouvait déjà voir des gens courir devant le magasin, se dirigeant en sprintant vers la sortie, les larmes aux yeux ou des taches humides sur leurs vêtements. Certains allèrent voir dans la direction d'où tout étaient partit, mais si ils avaient su ce qui était en train d'arriver, ils auraient rebroussé chemin ou auraient été se caché. D'autre quittèrent les magasins près de là et se dirigèrent rapidement vers les portes coulissantes en verres, rejoignant le groupe assez nombreux de criard ou de braillard. Et pour cause, une grande partie des clients dans la file quitta le commerce, faisant sourire Alekseï, qui savait déjà que le boss allait se mettre à crier comme un con, se prenant pour un roi. Mais ceux, comme les premiers clients, qui étaient sur le point de recevoir leurs commandes demeurèrent la, soit pour leur commande soit parce qu'ils avaient la trouille.

Et le chef commença effectivement sa rimbambelle d'ordre, surpassant comme d'habitude tout sons présent, donnant à tels personnes tels commandes, faisant doubler el rythme auxquels les aliments étaient préparés. Et pour cause, Divanov manqua de se faire une entaille sur le poue droit en coupant un thon en une dizaine de parties. La cacophonie devenait de plus en plus forte et de moins en mois de gens apparaissaient devant le restaurant, mysterieusement. Le total de gens aux portes du centre commercial doubla, puis tripla avant d'arrêter de monter, si on ne se préoccupait pas des quelque retardataires qui, encore plus étranges, avaient pour certains des traces de sang sur les vêtements et d'autre, des traces de dents, bienn qu'Alek' n'en aperçu que trois. Ça tournait pas rond içi. L'agent de sécurité surveillant le restaurant sortit pour voir et reçu un ordre incompréhensible à la distance où le petit insolent se tenait. Il continuait à couper els sushis, de la sueur coulant sur ses joues et son visage, dans son dos et sur ses cuisses.

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Le Joker

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MessageSujet: Re: Déjeuner de la Mort...   Déjeuner de la Mort... I_icon_minitimeSam 14 Mai - 22:55

Spoiler:


Un jeune homme d'une quinzaine d'année ouvrit les portes du restaurant et hurla quelque chose de peu crédible comme "On va tous crever" avant de sortir à toutes vitesses, repartant d'où il venait dans sa précipitation, avant de rebrousser chemin plus blême que lorsqu'il était arrivé. Peu après lui un groupe de quelques personnes passèrent d'un pas lent et peu assuré devant le restaurant. Ils étaient visiblement très pâles et la plupart étaient blessés, que ce soit à la jambe, au bras ou au cou pour certains, pourtant cela ne semblait pas les déranger outre mesure ni les presser vu qu'ils continuaient de marcher. Une exclamation de voix d'une dame âgée dans la file d'attente, qui en laissa tomber le sac contenant les sushis qu'elle venait d'acheter, attira vers les portes du magasin un des hommes qui passait. Celui-ci ce cogna contre les portes en verre du restaurant et ne sembla pas comprendre comment les ouvrir puisqu'il continua d'essayer de passer au travers. L'agent de sécurité de l'établissement, revenu à l'intérieur peu après en être sorti, ouvrit la porte à cette homme et lui demanda s'il allait bien, avant de se faire violemment sauter au cou et mordre par cet étrange individu. Tandis que le pauvre vigile hurlait sa douleur en tentant de se débattre, la panique monta dans le restaurant, et plusieurs clients crièrent à l'unisson, formant une chorale tout à fait singulière.
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Noriko Satsuke

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MessageSujet: Re: Déjeuner de la Mort...   Déjeuner de la Mort... I_icon_minitimeSam 21 Mai - 21:10

En cette fin de matinée relativement banale, la vie suivait son cours dans ce petit sushis-bar de Hirado comme partout ailleurs. Les nombreux clients allaient et venaient dans le centre-commercial et quelques un d'entre eux avaient fait le choix, comme Mme Satsuke de s'arrêter manger quelques poissons crus dans ce petit restaurant sans prétention.
Néanmoins pour le cas de Mme Satsuke, ce choix n'avait pas vraiment été fait au hasard... Cela faisait dix minutes qu'elle était installée et une main avait glissé dans sa poche un petit mot quelques minutes plus tôt. Elle déplia une troisième fois ce petit message, un rictus au coin des lèvres et le referma après avoir bien lu.

Noriko était venu ici justement dans le but de recevoir ce message, message sur lequel était inscrit un lieu et une heure : celle de la mort d'un homme. en vraie professionnelle, Noriko avait d'abord étudié bien des moyens pour mettre u terme à la vie de sa cible : en dégustant ces sushis, elle avait envisagé le versement de quelques gouttes de quelques goutes de poison sur des aliments de ce genre destinés à la consommation de son "client" mais cela ne lui plaisait guère : Trop difficile de s'introduire dans la cuisine et de verser le poison précisément sur le plat qui lui était destiné. Difficile aussi, malgré le matériel qui lui était fournit, de s'introduire dans sa villa par l'effraction pour lui trancher la gorge pendant son sommeil : trop de risques de devoir faire des dommages collatéraux (car on ne laisse jamais de témoins) et surtout trop de risques de simplement foirer la mission c'est à dire de se faire abattre par les gardes du corps qui n'étaient pas sensés être des guignols même si elle n'était pas une tendre.

Finalement c'était le recours à un indic' pour lui trouver un poste de tir qui avait été retenu : tous les mardis, il venait manger dans un des restaurants d'une rue marchande et retournait chez lui en passant en permanence par la même petite rue assez déserte. Pas de risques de dommages collatéraux, pas de témoins, pas de problèmes... elle irait louer une chambre dans un des hôtels de cette rue et attendrait patiemment le jour fatidique avec son PSG-1. Balles subsoniques et silencieux rendraient le tir indétectable et un tir bien ajouté dans la tête aurait sûrement raison de lui, même si elle avait déjà prévu de vider tout son chargeur de 5 cartouches. Une ordure de moins sur terre et quelques zéros de plus sur son compte en banque, quel plaisir de servir son Pays en joignant l'utile à l'agréable? La dératisation à un salaire confortable.

En plus de ses sushis, Noriko avait aimablement demandé à ce jeune garçon (occidental, étonnamment) de lui apporter une de ces bouteilles de saké artisanales proposées à la vente pour leurs clients. Sa faisait longtemps qu'elle avait promit à son chef un petit cadeau de son pays natal, elle pourrait faire déguster à tout le bureau une fois de retour à Langley, ils devraient apprécier le geste, depuis le temps qu'elle leur avait promis...

C'était au moment où elle arrêtait de penser au boulot, désirant simplement déguster ses sushis que des voix pour le moins en panique se firent entendre dans le centre commercial. Certes ce genre d'endroit était toujours bruyant mais là, il y avait un rien d'hystérie qui agaçait pour le moins Noriko : les adolescentes sont les mêmes partout dès que des soldes sont annoncées...
Elle ne prêta pas vraiment attention au massage des clients à l'extérieur du bar et continua à avaler son poisson cru qui lui laissa un désagréable arrière goût : était-ce elle ou est-ce que ce mec était en train d'hurler sur ses clients pour qu'ils se remettent à table? Non mais pour qui se prenait-t-il?
Fortement incommodée par ce petit être ridicule et tonitruant, Noriko avait ouvert la bouche pour lui demander de bien vouloir la fermer quand une voix relativement catégorique se fît entendre derrière elle :

- On va tous crever!!

Là, l'espionne fronça les sourcils... Étant donné qu'il était peu probable que les auteurs des précédents cris et ce jeune garçon soient tous sous LSD, il devait effectivement se passer quelque chose... Instinctivement, elle porta la main à son dessous de bras avant de murmurer un "fuck" de dépit... Quelle mauvaise idée d'avoir laissé son Glock à l'hôtel... En même temps dans un pays possédant l'une des lois les plus strictes de la planète en matière d'armes à feu, comment aurait-t-elle pût prévoir qu'elle aurait pût avoir besoin de son arme contre un "danger mortel" comme l'avait dit ce jeune garçon à l'instant.

Quelques secondes plus tard arriva dans le restaurant un homme l'air effectivement perdu et apparemment blessé si on en jugeait la chair découverte à certains endroits... Décidément, la situation ne sentait vraiment pas bon et Noriko se leva de son tabouret tout en demanda à un des serveurs derrière le bar :

- Cet homme est blessé, allez chercher une trousse de secours!
Et comme d'autres badauds, se rapprocha un peu de la scène avant de se joindre à l'hystérie collective.
Ce n'était pas tant un cri de surprise qu'un cri d'horreur que la femme poussa : elle en avait vu des trucs dégueulasses, des trucs violents dans sa vie mais là... Il venait de lui sauter à la gorge quand même! Pour le dévorer avec ses dents!!

Hagarde deux secondes, comme le reste de la foule à regarder l'homme se faire boulotter la carotide, Noriko reprît ses esprits et ne chercha pas à comprendre : ni une ni deux, elle saisit par les pieds le tabouret sur lequel elle s'était assise et le brandît en hurlant.

- Écartez-vous!!
En une seconde, elle effectua un mouvement circulaire dans le but de frapper l'arrière du crâne du forcené. Le garde prendrait sans doute une sacrée onde de choc aussi mais tant pis, dans l'urgence de la situation c'était la seule solution qu'elle avait trouvée pour les séparer. En tout cas quoi qu'il arrivé, il était hors de question qu'elle le laisse s'approcher de qui que ce soit s'il tentait encore de le faire après le coup qu'il avait reçu.

hrp : alors oui, je parle d'armes à feu, mais on est d'accord, elle ne les a pas sur elle! C'est dans une chambre beaucoup plus loin et autrement dit pas facile d'accès!! J'peux éditer si ça convient pas mais bon, je pense pas qu'on demande aux agents de la CIA d'improviser avec ce qu'ils trouvent sur place en temps normal...
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Mihael Alephnor

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MessageSujet: Re: Déjeuner de la Mort...   Déjeuner de la Mort... I_icon_minitimeDim 22 Mai - 17:04

En théorie, la pause-déjeuner n’est pas avant au moins midi. Aussi, il n’y avait théoriquement rien qui puisse justifier le fait qu’un membre actif et travailleur de la société tel que Mihael soit en train de faire la queue dans un restaurant, attendant de passer commande. Même si Mihael était un amateur de produits de la mer, il était surprenant que son patron se soit montré suffisamment laxiste pour le laisser aller chercher un panier-repas à l’autre bout de la ville, le tout sur ses heures de travail. La vérité ? Il avait tout simplement décidé de ne pas aller bosser aujourd’hui, voilà tout !
N’importe quel employé normal se ferait virer pour quelque chose de tel, mais Mihael n’était pas un employé comme les autres. Du moins, pas aux yeux de son patron, qui semblait persuadé qu’il avait affaire à un criminel de grande envergure. Il l’avait embauché en sachant qu’il avait fait de la prison, pour la seule et unique raison qu’il avait eut trop peur de la réaction de Mihael si jamais le job lui avait été refusé. Quand à le renvoyer, ça ne pouvait même pas lui passer par la tête ! Aussi le patron fermait-il les yeux sur les petites frasques comme celle d’aujourd’hui. De toute façon, il n’y perdait pas au change : Mihael était un type réglo. S’il décidait de s’absenter un jour, il rattrapait presque toujours le boulot le lendemain.

Aujourd’hui était un jour particulier et c’était pour ça que le jeune homme avait plus important à faire que travailler. Il avait une liste assez monstrueuse de choses à préparer en prévision de ce soir. Il comptait organiser une petite soirée surprise avec Kula, rien qu’eux deux. Il le faisait sans raison particulière : il ne s’agissait pas d’un anniversaire ou d’une autre date importante, mais Mihael adorait la surprendre de temps en temps avec des petites attentions de ce genre. Mais les préparatifs ne pouvaient pas se faire tout seul : entre les courses à faire, l’excuse à trouver pour que Kula quitte l’appartement quelques heures et la préparation de la soirée, les prochaines heures s’annonçaient rudes. Pas grave, ça le changerait un peu de son train de vie quotidien !

Il devait être aux alentour de 10 heures. Et même à une heure aussi peu avancée de la journée, le restaurant était déjà bien rempli. Une bonne partie des tables étaient déjà prise et la file d’attente pour ceux qui désiraient emporter leur commande commençait à atteindre une taille respectable. Mihael attendait depuis déjà vingt minutes. Et pour tout dire, il en avait marre ! D’accord, la préparation de sushi est un art qui demande précision et concentration, mais il y avait des limites à tout ! Le restaurant n’était que sa première étape et il lui restait encore plusieurs choses à aller acheter.
Il réussit à se calmer en constatant qu’il ne restait que deux clients devant lui. C’était toujours deux de trop, mais il faudrait bien faire avec. Il coupa la musique de son baladeur et retira ses écouteurs, afin d’être prêt à passer sa commande. Ce fut à ce moment qu’il entendit les bruits. Des bruits de courses et de cavalcades qui retentissaient depuis la galerie commerçante. Et des cris, aussi. Pour avoir déjà été acteur de ce genre de scène, Mihael n’en fit pas cas. Il s’agissait sans doute d’une bande de petits branleurs venus jouer les gros bras. Ou alors, peut-être était-ce une altercation entre deux bandes rivales. Quoiqu’il en soit, ce n’était rien qui ne mérite son attention.

Par contre, le gars qui déboula en balançant un « On va tous crever ! » était déjà un peu plus surprenant. Mais comme il arriva au moment même où la cliente devant Mihael se décidait enfin à partir, l’ordre des priorités changea. Les sushis, d’abord ! Pour le reste on verrait après… Mais quand cette même cliente poussa un hurlement de terreur en lâchant sa commande par terre, il fallut bien se rendre à l’évidence. D’autant plus que tous les regards semblaient tournés vers l’entrée du restaurant. Suivant le mouvement, Mihael se retourna pour jeter un coup d’œil en direction des portes. Le spectacle qui s’offrit à lui l’intrigua au plus haut point.
Des blessés, il en avait vu. Des attardés aussi. Mais les deux à la fois, jamais. C’était pourtant ce que semblait être l’homme qui pissait le sang en essayant, sans succès, de traverser la porte vitrée. Mais heureusement, le vigile était en train de s’approcher et avait visiblement l’intention de mettre de l’ordre dans tout ça.


*Monde de dingue…*

Il allait enfin passer commande, quand le hurlement de douleur du vigile retentit dans tout le restaurant. Et immédiatement après, tout les clients hurlèrent à leur tour. De peur, cette fois. Du coin de l’œil, Mihael put distinguer que l’aliéné avait visiblement sauté à la gorge de l’agent de sécurité et était à présent occupé à en faire son repas. Mais le pire venait après : car derrière ce spectacle morbide, on pouvait distinguer que d’autres individus se massaient. Et ils n’étaient visiblement pas dans un meilleur état d’esprit que le premier.
Alors qu’il se demandait quelle était la meilleure chose à faire, Mihael vit une femme se lever brusquement pour ensuite se jeter sur l’agresseur, une chaise à la main. Apparemment, la donzelle semblait avoir besoin de satisfaire certaines pulsions primitives qui lui intimaient de tabasser à mort des personnes qui ne semblaient visiblement pas en pleine possession de leurs moyens. A côté de ça, le type en question était quand même en train de s’adonner au cannibalisme en public : ça faisait désordre ! On pouvait donc comprendre qu’elle veuille y mettre un terme. Seulement, on pouvait tout de même se demander si notre cinglé était le seul à éprouver ce genre de passion pour la chaire humaine bien fraîche ou si tous ses petits camarades qui était encore de l’autre côté des portes du restaurant avaient les mêmes goûts. En toute honnêteté, Mihael ne désirait pas faire le test. Il laissa donc l’héroïne du jour à ses petites affaires et héla plutôt un des cuisiniers.


« Hey, cuistot ! Elle est où, la sortie de secours ? »

Les sushis pouvaient attendre. Là, tout de suite, la situation sentait passablement mauvais. Et l’instinct de Mihael lui conseillait vivement de prendre la clé des champs. Après tout, il n’était pas là pour prendre part à une rixe, même si celle-ci était entre des aliénés et une forcenée.
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Le Joker

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MessageSujet: Re: Déjeuner de la Mort...   Déjeuner de la Mort... I_icon_minitimeJeu 2 Juin - 23:47

Tandis que la panique grimpait dans le restaurant, les gens se bousculant les uns les autres sans savoir où aller, la seule issue connue menant vers les créatures déambulant dans le centre commercial. L'agent de sécurité se tordait de douleur alors qu'il n'avait pourtant subi qu'une morsure. Son visage était crispé et il semblait user toute sa volonté pour ne pas hurler.

Quelques membres du personnel s'enfuyaient vers la sortie de service malgré les remontrances bruyantes du patron. Interpelé par un homme désirant savoir s'il y avait une autre sortie, le cuisiner russe désigna la porte à l'arrière des cuisines, les clients terrorisés faisant trop de bruit pour qu'il puisse se faire entendre distinctement. mais le patron du restaurant bloquait l'accès aux cuisine et ne semblait pas décidé à laisser passer qui que ce soit.

De leur côté, les créatures à l'extérieur tapait de leurs bras et de leurs poings sur les vitres. L'une d'entre elles parvint à faire un trou sans sembler nullement incommodée par les bouts de verre qui lui déchiraient la main et le bras, elle continua à frapper la vitrine du restaurant, tout comme ses congénères.
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Noriko Satsuke

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MessageSujet: Re: Déjeuner de la Mort...   Déjeuner de la Mort... I_icon_minitimeVen 3 Juin - 11:59

Le coup de Noriko ayant apparemment fait mouche, elle brandît le tabouret en direction du forcené maintenant séparé du gardien qui semblait se convulser plus que de mesure.
- Non mais vous êtes malade?! Restez à terre ou je frappe!
Balança-t-elle tout en allant s'enquérir de l'état du gardien qui, visiblement, ne sur-jouait pas son état... Ou alors si il le faisait elle tenait le nouveau DiCaprio Japonais...
Son attention fût bien plus vite attirée par les tas de personnes à l'air aussi hagard et dément que cet homme amassées à la vitre du restaurant. Ça ne sentait pas bon, au propre comme au figuré mais c'était plus le sens figuré de la chose qui préoccupait le plus l'espionne à ce moment précis.
A voir un des poings traverser le double vitrage sans douleur apparente, Noriko se dit que le combat n'était peut-être pas une bonne solution là... D'autant qu'il avaient un avantage du nombre absolument considérable.

Pendant une seconde, une idée traversa son esprit : ce regard hagard, des blessures, une couleur de peau si pale... Elle avait lût ce livre de Max Brooks là il y a quelques années, mais c'était un simple loisir! Se pourrait-il que? Elle resta immobile face à ces trucs, son esprit rationnel ne pouvait accepter une telle chose mais en même temps, comment pouvait-elle justifier ce genre de truc? Il n'y avait tout simplement aucune explication et même si elle se jurait d'en trouver une, elle reprît bien vite ses esprits en se rendant compte qu'elle ne viendrait pas en restant dans le bar à sushis entouré par des fous-furieux... C'était le nom qu'elle leur donnerait donc...
Elle lâcha son tabouret, jetant tout de même un rapide coup d'œil au gardien : il n'avait sans doute pas d'arme mais ne sait-on jamais! Réflexe ensuite purement matérialiste, elle attrapa son sac à main pour se diriger comme les autres vers la sortie de la cuisine... enfin si on l'a laissait passer...

Agacée par ce petit bonhomme, Noriko fît volte-face et déclencha l'alarme incendie la plus proche, tans pis s'ils se faisaient mouiller... L'étape suivante était de bousculer tout le monde en jouant des coudes et même en nageant la brasse si nécessaire et lâchant au passage des pardons pas très convaincus... Une fois face au patron, l'emploi de la force ne serait pas immédiat mais viendrait vite si le mec s'entêtait dans sa connerie. Comme ce mec semblait encore penser que tout allait bien dehors, autant le maintenir dans l'illusion ce qui serait plus rapide que d'essayer de lui expliquer la situation.

- Dites! Vous bloquez l'accès à une sortie de secours et pendant une évacuation de surcroît!!! Faites moi confiance, je ferais fermer votre établissement pour ça si vous vous écartez pas de suite!!!
Elle comptait donc sur sa maîtrise de l'art du mensonge pour faire passer la menace même si cela semblait ubuesque au vu de la situation. Mais de toute manière, si le mec connaissait un minimum sa législation, il saurait que Noriko avait raison car c'était bien le genre de règlement qui existait dans tous les pays du monde.
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Mihael Alephnor

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MessageSujet: Re: Déjeuner de la Mort...   Déjeuner de la Mort... I_icon_minitimeSam 4 Juin - 14:04

C’était la débandade, le sauve-qui-peut, le foutoir, le bordel, la grosse catastrophe ! Dans des instants comme celui-ci, la logique ou la réflexion n’ont plus vraiment d’existence et chacun utilise ses instincts les plus primitifs pour sauver sa propre peau. Voilà pourquoi les clients pouvaient se révéler encore plus dangereux que les malades qui tentaient tant bien que mal de défoncer les vitrines du restaurant. Car le but de ces derniers était clairement affiché : ils n’étaient pas là pour discuter, ni pour goûter aux spécialités de la maison ! Ils semblaient avoir très faim et être très difficile en matière de nourriture ! Donc, en résumé, plus on s’en éloignait, mieux on s’en portait.
Mais les clients étaient beaucoup plus traitres. Ils n’hésitaient pas à jouer des coudes ou à bousculer leurs voisins les plus proches afin de s’assurer une fuite plus efficace. Et c’était là le plus dangereux ! A l’entrée du restaurant, ils ne cachaient pas leurs intentions. Mais à l’intérieur, c’était le plus vicieux qui aurait les plus fortes chances de s’en sortir.

Mais bien sûr, c’était sans compter le patron du restaurant qui décida de défendre l’accès à sa cuisine avec autant de conviction que s’il s’agissait de Fort Alamo ! Et malgré la masse toujours plus importante de clients qui tentaient désespérément de sortir, il semblait bien décidé à ne pas laisser passer la moindre personne.
Aidé par une capacité musculaire bien au-dessus de la moyenne des clients, Mihael réussi à se frayer un chemin jusqu’au niveau du patron. Et il était bien décidé de lui exprimer sa façon de penser. Mais il ne fut cependant pas le premier : la forcenée qui s’était distinguée à grand coup de chaise quelques minutes plus tôt était déjà arrivé et tentait l’argument juridique, appuyée par le système anti-incendie qui venait juste de se déclencher. Nul doute qu’au bout de longues minutes de négociation, le patron aurait finit par céder, mais Mihael n’avait pas l’intention d’attendre jusque là. Il s’avança encore un peu et passa devant Madame Douceur.


« Permettez ? »

Sans même attendre de réponse, il s’approcha du patron et, sans la moindre sommation, lui colla un direct en plein visage. Vu la constitution du type, le coup ne l’avait probablement pas assommé, mais il l’avait tout de même bien fait reculer. Mais Mihael ne s’arrêta pas là : avant que l’individu n’ait eut le temps de se reprendre, il l’attrapa par le col et approcha son visage à quelques centimètres du sien.

« C’est mal fréquenté, ici. Il y a tout un tas de clients qui semblent vouloir faire des réclamations. Si tu ne vas pas vite les écouter, je ne donne pas cher de ton resto. Maintenant, dégage ! »

Et sans autre forme de procès, Mihael balança sa victime derrière lui, dans la masse grouillante de client qui tenta d’accéder à la sortie. Il en profita pour jeter un coup d’œil vers l’entrée du restaurant. Visiblement, le groupe de cinglés semblait toujours autant énervés, car ils en étaient rendus au martelage systématique de la vitrine. Si on prenait en compte la force des coups et le nombre de cogneurs, ils auraient accès à l’intérieur d’ici quelques minutes. Et comme Mihael n’avait pas spécialement envie de faire plus ample connaissance avec ce genre de malades mentaux, il était préférable de ne pas moisir ici.
Il s’engouffra alors dans les cuisines, en direction de la sortie de secours. Ici, c’était un bordel monstre. Et d’après les cris entendus un peu plus tôt, c’était également le cas d’une majeure partie du centre commercial. Qui que soient ces forcenés, ils semblaient être suffisamment nombreux pour que les services de sécurité soit dépassés par les événements. Bah, vu le nombre de clients à cette heure de la journée, la police était probablement déjà au courant. Les flics allaient bientôt intervenir et le calme serait revenu d’ici deux ou trois heures. Mais Mihael n’avait pas l’intention de rester sur place à les attendre. Surtout qu’il venait de mettre son poing dans la figure de quelqu’un. Juridiquement parlant, il valait mieux mettre un peu de distance s’il ne voulait pas que sa soirée finisse en un séjour au commissariat. En plus, il allait maintenant devoir courir dans toute la ville pour terminer ses préparatifs pour la soirée.

Oui, Mihael n’avait pas l’intention de reporter ce qu’il avait déjà prévu. Bien qu’il ait été légèrement impliqué dans cet étrange incident, il était hors de question d’inquiéter Kula avec ça ! Donc, je n’ai rien vu, je n’ai rien entendu, je n’étais pas là ou si j’y étais, je devais être endormi. Voilà l’attitude à adopter ! Avec un sourire satisfait, il avança la main pour ouvrir la porte de l’issue de secours.
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Alekseï Divanov
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MessageSujet: Re: Déjeuner de la Mort...   Déjeuner de la Mort... I_icon_minitimeDim 5 Juin - 22:23

*Définitivement, c'est le bordel içi. Je me croirait dans une guerre de gang à Moscou ou Saint-Pétersbourg. *

Hé bien oui! Notre cher cuistot blond, paresseux et venu de l'étranger pour se retrouver a travailler dans une boutique de sushi où aujourd'hui, mystérieusement et Dieu seul sais comment, des enfoirés évadés de l'asile frappait dans les portes vitrés du magasins et ils étaient plus que vingt-quatre (chiffre chanceux d'Alek', quand il a un chiffre plus bas ça reste de la chance ou de la neutralité, plus haut c'est de la malchance. Il utilise donc le terme plus que vingt-quatre pour signifier qu'Ils sont beaucoup). Mais remontons dans els sensations passé de Divanov.

Il en avait vu des choses en quelque minutes notre blondinet aux poumons qui ne tiendront pas longtemps si il fume trop. Premièrement, le chef toamte-rouge s'était enflammé pour devenir un piment fort quand les portes vitrés avaient fermés sous l'ordre d'un des agents de sécurité du centre commercial. Plus de clients avant qu'elles soiehnt de nouveaux ouvertes donc. Alors une plus longue pause! Enfin, jusqu'a ce qu'un con viennent marcher comme si il n'y avait pas de proet en direction du magasins, ne semblant pas se préoccuepr qu'il y ait une vitre. L'agent lui avait ouvert et pour cause, il s'était fait mordre par ce gros malade. Il s'était mit a hurler, pendant qu'une fille avait fracassé un tabouret sur le crâne du cannibale qu'on se demande ce qu'il fout à Hirado merde. Alekseï continuait de couepr le poisons et les légumes et à les rassembler avec le poissons dans des feuilles d'algues, donnant le repas aux quelque clients qui ne s'étaient pas défilés. Mais quelle conne. Bon, il mangeait un agent de sécurité en public, mais on était dans un restaurant là non? Sérieusement, ce fut surtout les yeux du paresseux Russe qui s'agrandirent de surprise et d'horreur à la vue de cette scène qu'il aurait regardé avec joie à la télé, mais pas en vrai. Les cris devenaient de plus en plus intense, un des clients lui demanda -ou le héla pour être plus précis- où était la porte de sortie, endroit qu'indiqua Alek', les jambes immobilisés par l'horreur, la peur et la surprise. C'est le chef, la panique et les cons qui savaient aps qu'il y avait une porte qui causèrent toute cette merde, épaisse et brune, tellement brune qu'on y voyait plus rien!

L'attroupement de clients qui voulaient passer par les cuisines devenaient de plus en plus grandes, la sortie de secours se trouvant là-bas, il était évident que els gens voulaient s'y rendre, sauf que l'ancien lutteur professionel maintenant patron d,une boutique de sushi ne l'entendait pas pareillement. La femme au tabouret qui avait attaqué le con cannibale affamé, pauvre petit gars, il se convulse comme si il faisait la danse du bacon sur le sol, prit son sac a main après avoir été voir le gardien de sécurité. Elle déclencha ensuite l'alarme incendie, ce qui fit tout de suite réagir le cusitot. Si elle voulait que ça soit le chaos, elle était bien partit. Il y avait déjà des dizaines de fous furieux qui tapaient dans une vitre de verre et qui semblaient vouloir dévorés les gens, imaginés ce qui arriveraient si les pompiers arrivaient. En plus, Divanov perdraient sa belle coupe de cheveux et ses sourcils retroussés seraient à repeigner.

*Le Japon semblait plus attrayant vu de ma barraque en Sibérie avec ma famille. La, c'est un vrai merdier composé de toute sorte d'engrais -vache, cochons, chiens, chats, humains, etc.- qui se déroule devant mes yeux. Si au moins le chef se décoinçaient un peu : Y'a un gars qui vient de se faire bouffer et d'autre qui lui ressemble étrangement, dont un qui vient de traverses la vitre avec son poing sans aucun signe de douleur. Tu ferais quoi à leur place, Mr. Rouge boss? *

Alekseï souffla un bon coup, mais eut grandement le goût de rire après le sois-disant sermont de la jeune héroïne faite au patron. Elle croyait vraiment qu'un gars comme lui se laissait intimidé par une histoire de règlements et de fermeture de magasin si patatatipatata. Il était fier de lui là, car c'était sa juridiction et son boulot. Après, l'historie de l'évacuation... Qui avait dit évacuation? Alekseï, lui avait, avait plutôt entendu "On voit un gros con cannibale au Japon sur une île perdu qui bouffe un agent, alors on cri comme des idiots et on se sauve par une sortie de secours". Bon, oui la grande, t'as déclenché une alarme incendie, ça ne veut pas dire nécessairement que c'est une évacuation. J'ai pas vu de feu, juste de l'eau qui me décoiffe. Bref, revenons en au principal. Alekseï revu le premeir type qui lui avait demandé où était la sortie de secours se frayant un chemin dans la foule de clients paniqués en direction de Madame je pète la gueule aux caniballes car je suis peut-être cannibalophobe et Mr. Boss Rouge Tomate viré au piment fort du Mexique. Dès qu'il arriva au niveau du lutteur boss de resto de sushi, il lui colla un direct dans la figure avant de lui murmurer quelque mots à à peine quelque centimètre de son visage et de le projetter dans la foule, entrant donc dans la cuisine. Bravo espèce de dérangé. Au lieu de juste attendre, tu frappe un ancien lutteur pro.

Un autre bruit de vitre, puis un autre, et ainsi de suite vint déranger la concentration du seul homme qui était resté derrière le comptoir, ressemblant à un gars qui va dire à des Mr. gris "Désolé, mon bras 'est aps bon aujourd'hui. Vous voulez un cuisse ou une COU...E à la place? " Mais Divanov ne comptait pas être le menu ce jour là. Il prit un donc le couteau qui lui servait à couepr les sushis et qui étaient particulièrement coupant, le rangea dans sa poche et se dirigea vers la foule qui s'engouffraient peu à peu dans la cuisine, pussant sans retenu et tant bien que mal les clients, mais réussissant tout de même à se frayer un chemin jusqu'au chef étendu par terre qui était en traine de se relever.

" Ah que je vais lui péter la gueule à ce petit con, je te le jure petit pare..."

" Au lieu de fulminer, on pourrait peut-être essayer de pas subir le même sort que le gardien de sécuriét, n'est-ce pas vieux rouge? "

Et une baffe sur la grande gueule Russe de Sibérie posé sur un crâne blond et avec des yeux monté par des sourcils retroussés. Il ne s'en plaignit pâs et suivit son boss à travers la foule qui se faisaient poussé sans difficulté par le patron des lieux qui ne tarda pas à rejoindre les cuisines. Quand il vit le grand panneau "SORTIE" écrit en rouge au dessus d'une porte, il s'empressa d'y arriver avant tout le monde. Alekseï le suivit, mais prit plus de temps avant d'arriver à la sortie d'urgence qui commençaient déjà à être entourée de gens. Le chef arriverait-il à temps? Alek' aura-t-il une petite ou grosse marque rogue? Les cons cannibales mangeront-t-ils à leurs faims? VOus le saurez, dans le prochain épisode!
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Le Joker

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MessageSujet: Re: Déjeuner de la Mort...   Déjeuner de la Mort... I_icon_minitimeMer 8 Juin - 20:18

La panique régnait dans le restaurant. Les plus grands et forts piétinaient sans scrupules les plus faibles tandis que les plus agiles essayaient de se faufiler sans se faire écraser un pied ou se prendre un coup de coude. Les clients et les employés passaient plus de temps à se bousculer les uns les autres qu'à avancer vers la sortie ce qui permit au patron des lieux d'arriver juste après celui qui l'avait frappé et de se venger de lui. L'ancien lutteur l'attrapa par le col et le tira vers lui avant de le saisir par l'entrejambe et de le soulever au dessus de lui. Il le lança ensuite dans le reste de la foule, faisant tomber plusieurs personnes aux passage.

Pendant ce temps, le cannibale qui avait fait un trou dans la vitre avec son poing décida de se servir de sa tête comme bélier pour passer au travers de la vitre. Il s'affala contre le rebord et bascula à l'intérieur. Dans le même temps, l'agent de sécurité avait arrêté de crier, ce que personne ne put remarquer à cause de l'agitation ambiante, et il se releva, chancelant, se dirigeant vers la foule agglutinée dans les cuisines.

Tandis que Mihael reprenait ses esprit, écrasant plusieurs personnes de son poids, dont l'agent de la CIA Noriko Satsuke, le cuisinier russe, lui, s'était retrouvé coincés entre deux de ses collègues, eux-mêmes bloqués par d'autre et il semblait que tout ce petit monde appliquait la même politique : "si je ne peux pas sortir personne ne sortira". Et pour l'instant l'ensemble des clients et employés réussissaient à la perfection leurs tentatives d'empêcher les autres d'avancer vers la sortie, dans le chaos le plus total.
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Noriko Satsuke

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MessageSujet: Re: Déjeuner de la Mort...   Déjeuner de la Mort... I_icon_minitimeJeu 9 Juin - 9:24

Noriko n'en croyait pas ses yeux : c'était totalement improbable, irrationnel, et pourtant... L'homme qui venait de se faire dévorer était manifestement mort : il s'était fait arracher la carotide... Et maintenant il se relevait, adoptant la même démarche archaïque que le reste des zombies.
Elle avait eu l'occasion de consulter les images prises par ce satellite espion à Khotan en 1987, comme tous ses collègues elle s'était simplement dit qu'elle avait affaire à un autre exemple de répression sanglante et violente du gouvernement Chinois contre son peuple mais ces images pixelisées t pourtant très claires lui revenaient en tête : celle d'êtres humains se jetant sur d'autres de manière à les immobiliser... Elle savait maintenant ce que faisaient ces êtres quand ils attrapaient un homme.
Elle fût sortie de sa torpeur par un impact relativement violent : celui d'un voyou s'écrasant sur elle ainsi que plusieurs autres clients. L'initiative du jeune homme qu'elle aurait d'abord saluée s'était en fin de compte révélée très stupide et elle avait donc perdu de précieuses secondes pour s'enfuir et pire encore : des gens lui étaient passés devant. Elle se releva donc en dégageant les jambes du jeune homme

- hurk, get off my way, you idiot!
Et dégageant donc vite les jambes de l'individu.C'est marrant comme dans les moments de tension, les êtres humains jurent naturellement dans leur langue maternelle! D'ailleurs i ne faut pas se voiler la face, malgré des origines Japonaises marquées, Noriko était largement plus Américaine que son passeport Japonais falsifié le prétendait.
C'était la folie devant la porte et tous utilisaient la meilleure méthode à appliquer pour tous y rester : tirer les gens en arrière pour sortir le premier, chose qui n'avait strictement aucun sens! Décidant donc de faire le contraire, Noriko commença donc à pousser les gens devant elle pour qu'ils sortent vite afin qu'elle même sorte plus vite. Quiconque tentait de s'y opposer recevrait sans doute un shuto sur le bras qui l'agripperait elle ou les personnes devant. Si elle finissait par arriver face au chef, elle prierait pour qu'il ait regagné la raison et sinon... Sans doute faudrait-il combattre, mais en restant prudent : malgré son entraînement intensif pour faire de son corps une véritable arme, Noriko n'avait pas la prétention de pouvoir balayer aussi facilement un ancien champion de lutte qu'elle ne balayait un Crips camé de L.A.
Le coup de genoux dans les parties s'imposerait pour lui faire baisser sa garde suivît d'un coup de boule dans le nez lui semblait donc le meilleur moyen de s'en débarrasser sans trop de risques : le front étant l'os le plus solide du corps, il était très facile de briser le nez de son adversaire sans avoir à forcer (auquel cas elle pourrait carrément le tuer) et sans se faire mal soi-même, tout le contraire de l'adversaire qui en général, si pas tordu de douleur pendant au moins 10 secondes était sonné et au bord de l'évanouissement pour un petit moment.
Néanmoins, tant qu'a faire, elle préférait éviter le combat contre des humains normaux, d'autant que cet homme semblait robuste et serait sans doute utile s'il les accompagnait (parce que Noriko n'avait absolument pas envie de se séparer d'autres personnes...), elle essayerait donc de le raisonner, n'utilisant la force qu'en dernier recours.

- Mais enfin réagissez!! Regardez ce qu'il se passe dans la salle! ils sont enter! Ils viennent de déchirer la carotide de votre gardien avec leurs dents! ILS L'ONT TUE!! Laissez-nous partir avant que quelqu'un d'autre ne soit blessé ou mort!!!
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MessageSujet: Re: Déjeuner de la Mort...   Déjeuner de la Mort... I_icon_minitimeSam 11 Juin - 15:17

L’enchainement des événements avait été un peu difficile à suivre. A un moment, Mihael avait la main sur la poignée de l’issue de secours et se tenait prêt à l’abaisser et à quitter cette maison de fous. Mais l’instant d’après, il était projeté dans les airs sans qu’il ne comprenne qui était le responsable, comment il avait fait ou pourquoi il l’avait fait. Il ne lui fallut cependant que quelques secondes pour retourner assez violement sur le plancher des vaches. Ou plutôt sur la foule qui ruait vers la sortie. Il écrasa deux ou trois personnes lors de sa chute, mais il n’en soucia pas outre mesure. Il n’avait aucune raison de le faire, étant donné que même ceux sur qui il était tombé n’en avait rien à faire de lui non plus : en effet, avant même qu’il n’ait le temps de reprendre ses esprits, l’une de ses malencontreuses victimes l’avait repoussé et il s’affala sur le sol.
La masse humaine se remit alors à avancer et lui passa littéralement dessus. Et ce fut tout sauf agréable ! Passait encore qu’on lui marche dessus et qu’on le piétine, mais les talons aiguilles dans la cuisse, ça énerverait même un moine bouddhiste ! Reprenant brusquement ses esprits sous le coup de la douleur, il se releva brusquement et joua des muscles pour ne pas se faire emporter par le flot continu des fuyards. Il aurait put adopter une méthode un peu plus diplomatique que la force brute, mais chacun avait bien vu que dans la situation présente, la retenue n’était vraiment pas la solution adapté.

Quelques instants plus tôt, Mihael était la personne la plus proche de la sortie. Mais maintenant, il y avait énormément de monde entre lui et cette issue. Et pour tout dire, il était beaucoup plus proches des cinglés, dans l’immédiat. Ce qui lui permit de remarquer que ces derniers avaient réussi à défoncer la vitre et qu’ils commençaient à pénétrer à l’intérieur. Et qu’un nouveau membre venait de rejoindre leurs rangs !
D’accord, il avait une démarche encore plus vacillante qu’un lendemain de cuite. D’accord, il avait un regard encore plus vide qu’un verre en face d’un ivrogne. D’accord, il lui manquait un gros morceau de carotide. Mais cela n’avait apparemment pas empêché l’agent de sécurité qui avait servit de casse-croûte quelques minutes auparavant de se relever et d’adopter la même attitude bancale que celui qui l’avait agressé.

Mihael n’était pas un expert médico-légiste. Ses connaissances en médecine se limitaient à soigner un rhume et à rester au chaud en cas de grippe. Malgré tout, il était quasiment certain qu’un être humain avec la gorge arraché n’était pas censé se relever sans être passé au moins plusieurs heures par un bloc opératoire. Et même dans ce cas, il ne se relevait pas toujours. On avait donc affaire à une véritable anomalie. Mihael se mit même à penser qu’il ne s’agissait pas de simples cinglés qui étaient en train de causer la panique. C’était beaucoup plus vicieux et beaucoup plus dangereux ! Et il y avait fort à parier que les médias allaient s’en donner à cœur joie avec des histoires de rituels vaudous ou de morts qui revenaient à la vie. Conneries ! Il y avait à coup sûr une explication beaucoup plus réaliste ! Mais là, tout de suite, Mihael n’avait pas envie de la connaître. Que ces tarés soit vivants, morts, les deux à la fois ou aucun des deux, il s’en foutait royalement ! L’important, c’était de ne pas se retrouver parmi la liste des victimes. Le reste, on pourrait toujours s’en inquiéter un peu plus tard.
La sortie était toujours bloquée. Et même si certain tentait de raisonner le patron, on était bien partie pour que les deux tiers des clients soit transformés en sushis avant que cette tête de mule ne réagisse. Le temps de la douceur et de la concession était définitivement passé : il fallait à présent employer des méthodes radicales. Peu être pas les plus orthodoxes, mais elles produiraient à coup sûr un résultat ! Mihael se rapprocha du plan de travail le plus proche. Il fouilla l’endroit du regard pendant quelques secondes avant de trouver ce qu’il cherchait. Quelques instants plus tard, une gerbe de flamme s’élevait dans les airs, suffisamment haute pour que tout le monde l’aperçoive. Pendant un court moment, tout les cris s’éteignirent sous le coup de la surprise. Il fallait profiter de ce bref moment de calme !


« Hey, cuistot ! C’était que l’apéritif ! Débarrasse le plancher, sinon c’est barbecue maison ! »

Mihael tenait à la main un allume-gaz. Et juste à côté de lui, les gazinières, vannes ouvertes au maximum. Le patron n’aurait jamais le temps de traverser la marée humaine avant que le niveau de gaz n’ait atteint un seuil suffisamment critique pour que Mihael mette le feu aux poudres. L’idéal aurait été qu’il ne cherche même pas à savoir s’il s’agissait d’un bluff ou pas. Mihael n’avait pas confectionné de feu de joie depuis des années et il n’avait pas envie de s’y remettre pour quelque chose d’aussi quelconque qu’un individu un tantinet obstiné.
De toute façon, il avait fait une promesse. Il ne se laisserait plus aller à la pyromanie. Mais jamais il n’avait promit qu’il ne feinterait pas une petite crise passagère !
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Alekseï Divanov
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MessageSujet: Re: Déjeuner de la Mort...   Déjeuner de la Mort... I_icon_minitimeVen 17 Juin - 15:37

Quand on dit qu'il y a une limite... La il n'y en avait aucune. Les gens se poussaient, se frappaient, se piétinaient, tout ça pour faire quoi? Sortir du restaurant de sushi. Alekseï était coincé entre deux de ses cons de collègues, eux-mêmes coincés par d'autre membres de la foule en panique. Le patron réussi à arriver a la porte avant monsieur coup de poing qui se fit prendre par le col, jeter dans la foule et humilié car étant tenu par l'entrejambe, tout ça grâce à l'ancien lutteur rouge-tomate-power. L'homme qui n'est pas capable de juste parler et qui lui avait demandé la direction de la sortie de secours écrasa donc plusieurs personnes dans la foule, dont madame je pète le crâne d'un cannibale et je fait ma diplomate, avant de se faire sauvagement piétiner par le reste des gens. La je parle de monsieurs coup depoing, madame je fait la diploamte ayant poussé les jambes du gars qui sais juste frapper et s'étant relevé, poussant les gens devant elle pour les faire sortir plus vite. Dans le chaos ambiant, Alek' entendit à peine les bruits de vitre cassé et, en se retournant, vit l'agent de sécurité avec un teint grisâtre comme les autres malades en dehors du resto, avançant avec les yeux vides et une démarche lente. Du sang dégoulinant de sa gorge complètement ouverte. Dégueulasse!

Finalement, madame diplomatie POWER arriva devant boss rouge frustré et lui lança un discours désespéré, espérant qu'il les laissent enfin passer. Ce le patron ne fit pas, pour des raisons connu de lui seul et de Divanov, qui le connaissait trop bien même si il était l'employé que le patron grondait le plus dans tout le personel. Peronne n'avait donc comprit? Personne n'avait comprit que, si un tas de bonhommes gris essayait d'entre par la vitre, il y en aurait tout autant ou sinon même beaucoup plus dehors? Ils allaient droit vers leur perte, mais le patron leur sauvait la vie. Si ils étaient sortit dès le début, les maniaques n'auraient pas été rassemblé en si grand nombre dans la vitre, ils auraient été dispersé. Maintenant, ils étaient tous où la vitre, ce qui leur donnait l'avantage suivant: Moins de cannibales dehors, plus à la vitre. Alekseï n'eut plus le temps de réfléchir qu'un con blançant une casserole et frappant tout ceux qui s'approchaient de lui balança un grand coup sur la gueule du cuistot Russe.

" C'était pas la moment pour toi de me frapper. Je vais me défouler sur toi."

Et il ne mentait aps sur ces paroles. Le paresseux blond envoya trois violent coups de poing sur le visage de l'idiot, avant de ramasser la casserole maintenant tombé au sol et de flanquer un grand coup sur le nez du connard. Puis, il réussit à sortir de l'emprisonnement de ses deux collègues et prit le gaillard désormais inconscient et avec le nez cassé par les aisselles et le traîna jusque dans un coin de la cuisine. Puios, il prit un couteau très aiguisé [J'ai maintenant acquis l'arme blanche de ma présentation décidé par lancer de dès.] et l'accrocha à sa ceinture. Puis, quand il allait retourner vers la foule, monsieur je donne des coups de poings s'approcha de l'espace de cuisson et prit une ribambelle d'objets, avant de faire flambé quelque trucs et de se faire s'élever une grosse gerbe de flamme, faisant taire tout le resto. Le feu fut immédiatement éteint par l'eau tombant des gicleurs déclenché par diplomatie-women. Puis, l'homme interpella "cuistot" et Alek' crut qu'il lui parlait, étant donné qu'il l'Avait apellé ainsi lorsqu'il lui avait demandé la direction de la sortie de secours. Il menaça de tout transformer en barbecue si il ne pouvait pas sortir.

" BAKA! Z'êtes con ou quoi? Il n'y a vraiment personne qui a comprit? Le boss vous sauves la vie depuis le début! Vous voyez le nombre de maniaques là-bas? Bah on est dans un centre commercial! On peut donc estimer qu'il y en a dix fosi plus dehors du resturant et peut-êtremême plus dans la ville! SI ovus êtiez sortit dès le début, pensez-vous vraiment qu'il y en aurait eu moins? Non! Leur nombre n'a cessé de grossir à l'entré, ce qui veut dire que si vous êetiez déjà partit, vous auriez croisés tout ceux qui viennent d'arrivé. Et toi, mister je fais flamber et je frappe, calme tes instincts de tueur et éloigne-toi de l'espace de cuisson. M'oblige pas à faire un acte que je regretterai toute ma vie mec. "

C'est sur ces derneirs mots qu'Alek' lança un regard supliant à l'homme, esperant ne pas être obligé de faire un acte terrible, mais lui montrant son couteau de la tête. L'assistance avaient l'air d'avoir entendu, mais ALekseï ne savait aps si elle écouterait, voilà le problème.
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MessageSujet: Re: Déjeuner de la Mort...   Déjeuner de la Mort... I_icon_minitimeSam 18 Juin - 1:38

Bien déterminé à ne laisser personne sortir, le patron du bar à sushis profita du moment de silence provoqué par l'intervention du pyromane et éleva la voix.

"Personne ne sort ! Si vous tenez à la vie vous ferriez mieux de dégommer les malades qui sont rentrés et de barricader les vitres en attendant les secours."

Personne ne bougea, en même temps personne n'avait envie d'aller dire bonjour aux cannibales. Pourtant ceux-ci étaient à moins de deux mètres de l'arrière de la foule. L'un des hommes attrapa une chaise et la brisa sur le crâne d'un des monstres qui tomba à terre, le cou brisé. Un autre homme se rua vers un des malades cannibales et lui brisa le genoux d'un violent coup de pied. Mais cela ne semblait pas changer beaucoup de chose pour ce... truc qui s'affala sur son agresseur et lui dévora l'épaule tandis que sa malheureuse victime criait son agonie. Les réactions furent très partagés : une partie des clients et du personnel décida de tenter à nouveau de sortir tandis qu'une autre partie se munit d'objets divers et se lança sur la dizaine de créatures qui étaient rentrés dans le bar tandis que d'autres passaient au travers des vitres brisées.
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Noriko Satsuke

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MessageSujet: Re: Déjeuner de la Mort...   Déjeuner de la Mort... I_icon_minitimeSam 18 Juin - 20:29

Noriko se mît à rire nerveusement de la réponse des deux cuistots. Au moins cela partait d'une bonne attention d'accord, mais en attendant un tel raisonnement était totalement stupide dans le sens où ils finiraient par être acculés tôt ou tard, c'était inévitable même si ces zombies (ou cannibales) étaient très lents et peu résistants...
Et quand bien même ils arriveraient à repousser tout le monde, se barricader d'une manière si archaïque dans un endroit si dangereux revenait à une condamnation à mort à plus ou moins long terme : l'armée ne viendrait jamais les chercher dans un endroit aussi infecté et ils finiraient par mourir de faim ou d'autre chose... C'était inévitable.
Ayant donc calmé son rire nerveux, elle se rapprocha des deux bonshommes avec une réponse très simple :

- On ne peut pas savoir si on ouvre pas la porte...
Sans donc vraiment chercher à obtenir une approbation, elle se dirigea vers la porte mais prête à tout : le premier qui essaierait de s'interposer prendrait un nukité relativement violent dans sa gorge... Technique d'étranglement de karaté mortelle si effectuée à pleine puissance. Elle saurait retenir son coup mais quand même, l'agent de la CIA qu'elle était ne voulait sûrement pas se laisser faire.
Arrivée à la porte, elle l'entrouvrirait pour simplement jeter un simple coup d'œil, prévenir les autres que la voie était libre ou pas.
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MessageSujet: Re: Déjeuner de la Mort...   Déjeuner de la Mort... I_icon_minitimeLun 20 Juin - 17:28

" C'est bien dit patron! Mais faites attention tout le monde, ces malades sont dangereux, vous faites pas manger!"

Mais malgré ces mêmes avertisements, aucun doute que quelqu'un serait mangé très bientôt. C'est ainsi qu'un homme explosa le crâne d'un des zombies d'un coup de chaise sur le crâne, alors qu'un autre brisait le genoux d'un bonhomme gris, avant de se faire dévorer vivant par ce cannibale de merde. Mais il y avait d'autre survivants qui persistaient à sortir du restaurant, malgré les très bons arguments des deux membres du personnel. C'est alors que Madame Diplomatie, une des "Je veux sortir par cette putain de porte et risquer de me faire bouffer" arriva devant le chef, venant apparement de rire. Le patron savait qu'elle était assez forte, alors il préférait garder cette fille comme allié contre les cannibales que comme ennemi dans cette apocalypse. Puis, elle lança une remarque de MERDE. Du genre qu'on ne pouvait pas savoir si on mourrait si on ouvrait aps la porte. Et alors? Elle voulait tester et risquer de mourrir pour savoir? Valait mieux ne pas prendre de risque, tout irait mieux ainsi alors. Et le pyromane devant Alek' ne lui permettait aps de détourner son attention. C'est alors qu'il eut une idée. Il fouilla dans toute la cuisine et, quand il eut terminé, il avait une vingtaine d'instruments de cuisines dangereux dans les mains.

" Que ceux qui veulent butter les connards prennents ces instruments de cuisine. Je vous rapelle maintenant où nous somems pour ceux qui auraient peur de mourrir de faim si on reste içi: Un restaurant! De sushi en plus, donc aps besoins de feu! "

C'est ainsi qu'Alekseï déposa tous les isntruments de cuisine au sol, les laissant à porté de ceux voulant être armée en cas d'urgence. Lui, il avait déjà son couteau de cuisine bien aiguisée. Puis, il se redirigea vers l'espace de cuisson et éteignit lentement tout les instruments de cuissont devant le pyromane, esperant que celui-ci ne ferait rien de malade. Puis, ils e tourna vers le patron et diplomatie-woman.

(DÉsolé si le post n'est pas long)
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Le Joker

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MessageSujet: Re: Déjeuner de la Mort...   Déjeuner de la Mort... I_icon_minitimeMar 21 Juin - 3:16

Tandis qu'une partie de la foule, principalement des hommes, se ruaient sur les ustensiles plus pour ne pas être désarmés que pour vraiment combattre les cannibales, Noriko s'approchait du patron. Celui-ci tenta de l'arrêter mais vu sauvagement repoussé d'un coup dans la gorge. Tombant à terre, le souffle coupé, il ne put l'empêcher d'ouvrir la porte grinçante et mal huilée. L'issue débouchait dans une espèce de "ruelle" à l'arrière du restaurant, toujours dans le centre commercial. La ruelle était déserte mais le bruit de la porte attira plusieurs créatures qui commencèrent à se rapprocher. Il n'y avait qu'une seule issue à cette ruelle : l'allée principale où étaient situé les créatures assiégeant le restaurant. Il aurait été possible de se faufiler plus ou moins discrètement dans leur dos, mais pas avec les 6 malades qui avaient décidé de venir voir ce qui avait causé le bruit aigu de grincement.

Pendant ce temps, dans le restaurant, des scènes incongrues et ridicules, pour peu que l'on puisse apprécié l'humour de la situation, s'enchaînait. Un homme lançait des assiettes comme des frisbee pour repousser un cannibale, sans que celui-ci ralentisse, même si un fragment de vaisselle lui avait crevé l'œil gauche. Dans le même temps, une femme armée d'une fourchette empêchait quiconque d'approcher son mari, pourtant mordu. Ce dernier ne tarda pas à se relever et à la dévorer à son tour. Tout deux purent ensuite être massacrés à coups de chaises.

Dans l'ensemble, les vivants gagnaient du terrain, malgré de lourdes pertes. De la cinquantaine de client et membres du personnel il n'en restait plus qu'une trentaine, et parmi cette trentaine une dizaine poussait Noriko, allant presque jusqu'à la piétiner, pour sortir par l'issue de secours en hurlant, ce qui ne pouvait qu'attirer plus de créatures dans la ruelle et ainsi leur bloquer définitivement une sortie par là.


Dernière édition par Le Joker le Mar 21 Juin - 19:59, édité 1 fois
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Noriko Satsuke

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MessageSujet: Re: Déjeuner de la Mort...   Déjeuner de la Mort... I_icon_minitimeMar 21 Juin - 7:58

Comme elle s'y attendait, le chef cuistot posa la main sur l'épaule de la femme afin de la retenir. Le coup qu'elle lui asséna donc du bout des doigts fût exécuté avec une grande vitesse et toucha sa pomme d'adam en l'enfonçant presque dans le cartilage. Noriko constata donc satisfaite qu'elle n'avait pas perdu la main puis ouvrît lentement la porte. D'abord assez soulagé de constater que la rue était relativement déserte, Noriko fut ensuite relativement excédé de voir que les gens continuaient à s'amasser et à se monter dessus au risque en fait de ne jamais sortir de là et surtout de la tuer elle!
Elle en avait vu au cours de sa vie, mais malgré tout elle ne se rappelait pas ne s'être jamais trouvée dans une telle situation de crise... Puisque se faire écraser ne résoudrait rien, elle s'écarta de leur passage et essaya d'attirer leur attention par n'importe quel moyen.

- For fuck sake fermez là! Ces trucs se dirigent à l'ouïe!
Après tout, les zombies n'étant pas sensés être réels, si ils l'étaient on pouvait présumer que ce qu'on disait sur eux était réel aussi non? En attendant, elle renonçait ce faisant à sortir dans l'immédiat, restait donc à repousser les zombies et elle demanda donc au cuistot toujours en état de parler.
- On va tous se faire bouffer si ça continue! comment on actionne le rideau de sécurité du restaurant? Vite!!
Ça ne les sauverait pas mai ce serait assez pour calmer certaines personnes et faire gagner quelques précieuses minutes nécessaires à l'évacuation... En espérant bien sûr que le système de fermeture soit automatisé et fait pour fonctionner en cas d'émeute.
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MessageSujet: Re: Déjeuner de la Mort...   Déjeuner de la Mort... I_icon_minitimeDim 26 Juin - 15:25

*Oh merde! Pourquoi il y a des cons qui ne veulent juste pas comprendre içi?*

Ouais, pouquoi? Bah, c'est dans la anture humaine de ne pas écouter les bons conseils et de faire les cons. Juste que certains avaient déjoués cette "nature". En faite, mademoiselle diplomatie semblait savoir frapper, ce que le chef put expérimenter quand sa grosse pomme d'adam renfonça dans son cartillage. Tenant son couteau dans sa main droite, le cuistot Russe vérifiait qu'il n'y avait aps trop d'émeute entre les clients et le personnel. En effet, avec trente survivants, il ne fallait pas gaspilelr les survivants et ne aps les laisser s'entre-tuer. Environ vingt se battait alors que dix con CRIAIENT en sortant du restaurant comme si ils voulaient attirer un maximum de connards. C'est alors que la dame qui voulait auparavant ardement sortir du resto s'approcha du cuistot et lui demanda comment on actionnait le rideau de sécurité. Alek' haussa un sourcil et, faisant comme si il se foutait de la gueule de tout le monde par son faux calme, s'alluma une cigarette et, en souriant, pointa un bouton sur le mur de fond de la cuisine. Il s'éloigna ensuite de la pile d'arme improvisé et se dirigea vers la foule de zombie. Le premier qui s'approcha de lui, Alekseï le poussa, ce qui fit à peine bouger le zombie qui continua à avancer. Divanov préféra alors reculer, pointant son couteau devant lui, mais, voyant que le zombie s'en foutait et que ces créatures semblait avoir le crâne MOU, le cuistot envoya un crochet avec son couteau, esperant avoir tuer le zombie.

Il se retourna alors et vérifia que le chef s'occupait de faire rentrer les idiots qui criaient mais qui, pour la majorité, risquaient de s'éloigner très vite. Les zombies arriveraient rapidement par la SORTIE DE SECOURS, qui ne servirait alors qu'a empêcher les zombies de rentrer. Il faudrait tout barricader. Mais, quand il se retourna, l'homme au crâne luisant lui tomba dans les bras, unne poêle à frire dans la main droite. Il ne semblait pas avoir été mordu, ce qui rassura Alek'. Il fit signe au client de reculer avec lui pour qu'ils aillent prêter main forte au chef. Qui sais ce qui allait maintenant arriver? Les zombies attaqueraient-t-ils par la sortie de secours? Les survivants seraient-t-ils prit en sandwich dans la cuisine par des hordes de mort-vivants pas beau? Vous le saurez... Au prochain épisode.
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MessageSujet: Re: Déjeuner de la Mort...   Déjeuner de la Mort... I_icon_minitimeMer 29 Juin - 16:19

Spoiler:


Tandis que le patron de l'établissement, se remettant tant bien que mal du coup qu'il avait reçu, barricadait la sortie de secours à l'aide d'une table, aidé de deux clients, un employé du restaurant, ayant entendu le cri de Noriko s'était jeté sur les commandes du rideau qui se baissait lentement.

La lutte humains contre zombies continuait dans le cœur du restaurant et, finalement, les humains s'en sortirent mieux que prévus. En revanche l'état des lieu était déplorable. Le sol, couvert de sang, était des plus glissant et on ne comptait plus le nombre de cadavres inanimés au sol. En enlevant les victimes supplémentaires et les six clients qui avaient préféré s'enfuir par l'issue de secours, malgré la présence des cadavres ambulants cannibales, il ne restait plus que 19 humains vivant et en non contaminés dans le restaurant. En revanche, les zombies était désormais en infériorité numérique. En effet, ils n'étaient plus que douze et le rideau, terminant sa descente, empêchait d'autres créatures de rentrer.

Le problème principal était que, parmi les douze créatures, l'une d'entre elle était... ou avait été... un homme à la constitution bien supérieur à la moyenne. Il faisait penser au patron de l'établissement, si l'on oubliait sa bouche dégoulinante de sang, ses yeux révulsés et sa main gauche arrachée par la morsure de la créature qui l'avait contaminée. Son uniforme indiquait que c'était un agent de sécurité du centre commercial... ou du moins qu'il l'avait été. Il avait déjà mordu plusieurs clients et n'était pas tombé au sol malgré les trois chaises qu'on avait brisé sur son corps et le coup de poêle qu'il avait reçu sur le devant du visage. Ce dernier coup avait au moins eût le mérite d'enfoncer son nez, lui donnant un air porcin qui ne faisait qu'accentuer l'impression de sauvagerie qui s'en dégageait.
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Noriko Satsuke

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MessageSujet: Re: Déjeuner de la Mort...   Déjeuner de la Mort... I_icon_minitimeJeu 30 Juin - 10:52

Noriko faillit, sur le coup de la colère, briser sauvagement la nuque du cuistot face à elle en train de se foutre de sa gueule. Réussissant à se contrôler et se raisonnant en se disant qu'ils auraient besoin de tous les bras disponibles, elle se contenta de l'insulter copieusement.
- You sorry son of a bitch... Don't you worry, I'll reap your fuckin' heart out! Dumbass!
Bon, d'accord, en vrai elle n'allait quand même pas lui arracher le cœur de la poitrine mais bon... L'envie ne manquait pas.
En tout cas puisque les 6 abrutis prenaient leurs jambes à leur cou dans la ruelle infestée de zombies (et en hurlant bien entendu), cette issue semblait du coup compromise... Il est vrai... Résignée donc à laisser les employés barricader le restaurant, Noriko s'empara d'un couteau de cuisine ou de n'importe quelle autre arme pour participer à l'effort de guerre.
L'objectif étant pour le moment de sécuriser l'endroit, ils penseraient à l'évacuation après... Noriko souffla donc un grand coup pour aller affronter cet espèce de géant mastodonte... Si l'on en croyait le folklore, il fallait viser la tête et c'est donc ce qu'elle tenta de faire en donnant des coups de couteau précis, mettant à l'épreuve son entraînement. Elle balança quand même au cuistot et au loubard :

- Yo! J'ai besoin d'un coup de main! Venez m'aider à les repousser au lieu de vous toucher!
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MessageSujet: Re: Déjeuner de la Mort...   Déjeuner de la Mort... I_icon_minitimeVen 1 Juil - 7:08

La situation était catastrophique. Vraiment ! D’un coté, on avait les types comme le patron et une majeure partie de ses employés qui exhortaient les clients à rester et à se battre, de l’autre on avait les individus comme Mihael ou la manieuse de chaise qui faisaient tout ce qu’ils pouvaient pour dégager un passage vers la sortie de secours. Et bien entendu, aucun des deux groupes n’avaient la moindre envie de laisser l’autre faire à sa guise. En conséquence de quoi le groupe de taré disposait d’un avantage très fort : ils étaient tous d’accord les uns avec les autres !
Le coup de bluff de Mihael n’avait pas marché. Le patron ne lui avait prêté qu’une brève intention et ce fut un des grouillots qui s’approcha pour dissuader Mihael de faire une grosse connerie. Mais comme il n’avait jamais eut la moindre intention de carboniser le restaurant, il se contenta d’un léger sourire et lâcha l’allume-gaz qui retomba sur le plan de travail. Il regarda le cuistot éteindre le gaz avec ce même sourire mi-amusé, mi-indifférent. Les menaces n’avaient pas marché : restait à trouver autre chose afin de sortir d’ici autrement que dans l’estomac de l’un ou l’autre des cinglés qui continuaient à avancer.

Cependant, un nombre non-négligeable de clients avaient décidé qu’il était hors de question de finir en casse-croûte bon marché et s’étaient donc emparés d’armes diverses pour repousser tant bien que mal les agresseurs. S’en suivit donc un simulacre de pugilat bien peu appétissant : les cannibales étaient certes lents, mais ils semblaient capables d’encaisser un bon nombre de coup avant de finalement rendre l’âme. Il n’était donc pas rare qu’on soit obligé de faire voler un bon paquet de chair avant de pouvoir asséner un coup fatal à ses bestioles. Très crade, donc. A l’opposé, il suffisait que ces fous furieux vous attrapent pour que vos chances de survies atteignent des profondeurs abyssales. A partir du moment où ils vous attrapaient, vous aviez encore moins de chances de vous en sortir qu’un verre de whisky à une réunion des Alcooliques Anonymes. Et vu que les gus se nourrissaient en faisant totalement abstraction des bonnes manières, il n’était pas étonnant de voir des bouts de leur repas s’éparpiller ici ou là. Donc, pour résumer, la scène qui se déroulait sous les yeux de Mihael était bien dégueu.
Il aurait put attraper une armes improvisés et se jeter dans la mêlé pour prêter main forte aux autres, mais il ne le fit pas. Après tout, il faisait partie de ceux qui avaient préconisé la fuite et, moins de deux minutes plus tôt, il avait menacé de transformer le restaurant en un tas de cendre. Donc, dans l’immédiat, il préférait s’éclipser plutôt que de se mettre bien en valeur au milieu du champ de bataille. Sans compter qu’avec tout les incapables qui avaient été prit d’un élan d’héroïsme, il était tout aussi dangereux de faire face à un des détraqué que de laisser son dos à la merci d’un des résistants. Direction la sortie, donc. Sauf qu’après une courte cohue pour décider qui sortirait le premier, la spécialiste du dialogue s’écarta et laissa le patron refermer la porte et la barricader. Décidemment, les femmes changeaient d’avis comme de chemise : un instant plus tôt, elle n’avait pas hésité à agresser le patron pour dégager la sortie et maintenant, elle choisissait de rester ici. Idiots d’indécis !

Ainsi, avec la sortie de secours étant condamné et le rideau de sécurité en train de se baisser, les survivants auraient droit à une protection sommaire, mais qui aurait le mérite d’exister. Restait à purger le restaurant des derniers détraqués qui continuaient à y semer le chaos. Et parmi eux l’ancien agent de sécurité qui était à présent beaucoup plus intimidant dans son uniforme sanguinolent. Un beau bestiau, qui avait visiblement encaissé le double des coups de ses congénères et qui semblait toujours d’attaque ! Et il faisait son petit carnage personnel, rien ne semblant être en mesure de l’envoyer ad patres. Déjà, les survivants se mettaient à renoncer à s’attaquer à ce colosse et commençaient à ré-envisager l’idée de la fuite. Du moins, c’est comme ça que Mihael voyait la chose, étant donné à quel point l’enthousiasme (ou tout du moins, la motivation) avait chuté.
Mais fort heureusement, un zeste de douceur typiquement féminine avait décidé de se charger de cette menace. Armée d’un couteau, elle s’était jeté sur le géant telle une furie sur sa proie. Et elle semblait bien décidée à le tailler en pièce, vu la vigueur avec laquelle elle portait ses coups. Néanmoins, elle prit quand même le temps de demander un coup de main de la part des quelques-uns qui restaient bien planqués en attendant que le combat se termine. Par manque de confiance en elle ou par fainéantise ? Bah, ça importait peu… Et puis, ça avait été demandé si gentiment…

Avec un soupir, Mihael se décida à se salir mes mains. Il chercha quelque chose qui lui permettrait de mettre le bonhomme knock-out et esquissa un sourire de satisfaction lorsque son regard se posa sur un plateau en métal. En théorie, ça ne ferait pas plus de dégât qu’une poêle à frire, mais Mihael n’avait pas l’intention de s’en servir comme d’une arme contondante. Il s’approcha de l’ancien agent de sécurité et, tout en profitant de la portée supérieure que lui conférait son arme improvisée, lui porta un violent coup au visage avec le tranchant du plateau. Sans même chercher à savoir si sa tentative avait réussi ou non, il commença à reculer pour se mettre à l’abri d’une éventuelle contre-attaque. Il en profita pour répondre à celle qui semblait savoir si bien y faire en matière de relationnel.


« Vous sembliez prendre tellement de plaisir à le charcuter que je m’en serais voulu de vous interrompre. Sinon, c’est si moche que ça dehors ? »

Oui, parce que malgré tout ce qui se passait, l’objectif premier de Mihael était encore et toujours de sortir d’ici. Il ne pouvait pas se permettre se terrer ici indéfiniment : il faudrait qu’il sorte le plus rapidement possible de ce restaurant ! Donc, autant se renseigner sur la situation à l’extérieur. Tout en attendant une éventuelle réponse, il repassa à l’attaque avec un coup vertical, cette fois-ci. Ca ne lui trancherait probablement pas la tête en deux, mais le coup était suffisamment puissant pour bien attaquer le cuir chevelu. Et peut-être même un peu plus !
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MessageSujet: Re: Déjeuner de la Mort...   Déjeuner de la Mort... I_icon_minitimeLun 11 Juil - 13:40

La situation était presque sous contrôle dans le restaurant. Les quatre derniers zombies affrontaient les dix-huit humains rescapés avec en fond sonore les cris d'agonie du dernier mordu qu'on ne tarda pas à achever en lui éclatant le crâne tant pour le faire taire que pour l'empêcher de se relever et d'agresser tout le monde.

Les issues avaient été barricadées et le rideau de sécurité baissé. Dans la lumière des néons du petit restaurant, le colossal zombie de prêt de deux mètre dix affrontait les deux seuls personnes assez folles pour tenter de l'arrêter. Le couteau de l'américaine était resté enfoncé sous son menton, ressortant par une joue, tandis que le plateau en fer avait été miraculeusement intercepté par le bras droit de l'homme, lui coupant la seule main qui lui restait au passage. Tentant d'agripper ses adversaires avec ses moignons, chose pourtant impossible, le mastodonte se décida à prouver son affection pour le genre humain en attrapant dans ses bras la jeune femme qui, ayant manqué de s'écrouler après avoir glissé sur le sol couvert de sang du restaurant, n'avait pu réagir suffisamment rapidement pour éviter l'étreinte. Il allait maintenant falloir réagir très vite, extrêmement vite, pour éviter qu'elle se face mordre.
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MessageSujet: Re: Déjeuner de la Mort...   Déjeuner de la Mort... I_icon_minitime

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