Dean Costa [Finish]

COSTA, Dean.

Dean Costa [Finish] 3156910

Identité.

Nom :

Prénom :

Surnom :

Âge :

Sexe :

Orientation Sexuelle :

Statut :

Nationalité et Origine du personnage :

Langues Parlées :

Groupe Sanguin :

Casier Judiciaire :

Description.

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PS : Il correspond pas vraiment à mon perso, mais elle est tellement belle :3

Portrait Physique :

P

C

Portrait Psychologique:

D

N

Histoire :

I/ Vol au-dessus d'un nid de Gondoles

C

ourir, sauter, escalader, rire face aux adultes qui hurlent de crainte à ce que la blessure arrive... C'est ce que tout comme elle, j'aurais voulu faire.

Cette année, j'entame ma quatorzième année. Et comme chaque année, je partais une semaine en vacances pour participer à ce carnaval de la bella Venezia... Non, enfaite il serait plus juste que mes parents me trainent de force jusqu'ici. Mon père était célèbre en tant que maître d'arme dans toute l'Italie, et il m'avait d'ailleurs transmis sa passion pour l'escrime. Sans me vanter, je me débrouillais plutôt bien avec un sabre ou un fleuret... En tout cas, mon père ne m'avait pas transmis sa passion pour les fêtes : Eux adorait cette ambiance festive, moi trouvait tout cela ennuyeux. Non, je ne vous dirais pas que je ne suis qu'un gentil garçon calme, mais si je n'aimais pas tout ça c'est parce que chaque année, mes parents me laissait seul, parmi la foule, parmi de nombreux personnage qui dans l'ensemble, était assez... dérangé (Et ce n'était pas les femmes aux physique avantageux déguisé en courtisane ou encore les alcooliques en apothicaire qui allaient me contredire). Toute fois, il y avait quand même du bon dans tout ça. Chaque année, j'avais l'occasion d'observer une fille, pas loin de mon âge. Cette dernière étant doté d'une grande agilité escaladais un peu tout ce qu'elle voyait. Ce n'était bien entendu pas aussi impressionnant que ce que l'on pouvais voir dans des films, mais je rêvais de faire pareil. Les feux d'artifice explosaient de plus belle, et lorsque mon regard se posa sur un curieux personnage (qui avait l'air bien joyeux, si vous voyez ce que je veux dire...), et lorsque je compris qu'il regardait celle que j'admirais, je compris également qu'une intention pas très catholique se cachait derrière sa tête. La jeune femme de mon âge se trouvait au bord d'un toit sur lequel elle observait la fête, tandis que l'homme ivre se trouvait prêt des fusées d'artifice... Ma crainte ne fut que plus grande lorsque je le vis se saisir d'une allumette...

La fusée siffla et fusa vers la jeune femme, l'homme ivre hurlait de rire. Je suivais cette maudite fusée du regard lorsqu'elle explosa quelques mètres au dessus de l'acrobate de mon âge. Cette dernière, légèrement étourdit et aveuglée par l'artifice n'eut d'autre choix que de tomber... Dans l'eau. C'eut été une chance qu'elle ne heurte pas une des gondoles qui flottaient... Mais une idée me frappa la tête : Avec l'alcoolo qui venait de la sonnée grâce à sa fichue fusée, était-elle encore consciente ? Sans plus attendre, je me précipitais vers le rebord d'un pont en la cherchant du regard. Rien à l'horizon... Allais-je devoirs sauter dans l'eau pour la chercher ?

_Tu vas rester là longtemps, ou tu vas m'aider ?

Me lança une voix féminine d'un ton amusée.

A gauche, à droite... Rien. Ma tête se baissa instinctivement, et je la vis suspendu à bout de bras sur le pont sur lequel je me tenais. Malgré la situation, je ne pus m'empêcher de faire un petit sourire en signe de soulagement, puis lui attrapais la main pour la hisser. Une fois en sécurité sur le pont, elle s'adossa contre la rembarre essoufflée, je fis de même. Nous restâmes tout les deux silencieux pendant quelques instants, car il fallut du temps pour que je remarque du coin de l'œil que la jeune femme était trempée... En même temps, le «plouf» qui avait suivis sa chute n'avait pas été là pour faire jolie. J'hésitais un peu, puis au risque d'avoir l'air d'un gosse-de-riche-bien-élevé, retirait ma veste pour la mettre sur le dos de l'acrobate trempée.

Fis-je un peu plus détendu en souriant.

Elle me renvoya le sourire avec un petit rire, puis m'invita à la suivre. Un petit saut sur une caisse, puis une escalade sur un mur... Je la suivis du mieux que je le pus, puis me hissait finalement à coté d'elle, sur un toit. D'ici, nous avions la vue sur toute la fête.

C'est ainsi que passa la nuit, nous parlâmes et firent connaissance jusqu'au alentour de cinq heure du matin après quoi nous sommes partie chacun de notre côté, après tout même si nous nous entendions plutôt bien, nous avions quand même nos parents...
Néanmoins, elle était aussi venu parce que ses parents l'obligeait, et elle aussi allait resté quelques jours à Venise... Aussi, nous nous promirent de se revoir avant la fin de nos « vacances ».

II/ Il n'y a que les idiots qui ne changent pas d'avis...

Mes vacances étaient passée, ma rencontre avec la jeune femme avait finalement été la seule chose positif. Actuellement, je me trouvais en voiture, dans notre belle et luxueuse voiture... Et tandis que mon regard balaya le paysage, je repensais à cette fille.

//Flash Back//

-Quoi, tu n'as jamais essayé ? S'écria t-elle.
_C'est pas très commun en même temps, encore moins à notre âge ! Répondis-je comme excuse.
-Mouais... Dit-elle pas très convaincue. Bon bah c'est pas grave, je vais t'apprendre ! Rajouta t-elle d'un air joyeux en se levant.

Elle se mit devant à quelques centimètres du vide, ferme les yeux, puis sauta avec grâce sur un toit à environ deux mètres de là ou nous nous situions.

-Allez, à toi ! Me lança t-elle.

Moi ? Était-elle folle ? Contrairement à elle, je ne pratiquais pas l'acrobatie moi ! Je pratiquais le beau sport qu'était l'escrime.

-J'n'y crois pas, un homme qui se dégonfle ! Me lança t-elle d'un ton provocateur.

Provocation réussit, après avoir prit mon élan, je m'élançais dans les airs... Pour lourdement sur l'autre toit. Un petit gémissement sortit de ma bouche, suivis d'un rire. Nous rîmes tout les deux, puis continuâmes de sauter de toit en toit...

//Flash Back//

Elle m'avait appris beaucoup de chose, et même si je n'étais pas aussi douer qu'elle, je me sentais plus endurant, plus agile... L'idée de la revoir au prochain carnaval aurait pu me faire sourire, mais non, car je ne serais pas présent au prochain carnaval : Mes parents allaient monter au Japon, pour le boulot de mon père. Je ne leur avais bien entendu pas parler de ma rencontre, car ma mère avait beau ne pas êtres très attentif avec moi, c'est le genre de truc qui m'aurait attiré des « Et elle est comment ? Elle s'appelle comment ? Elle a ton âge ? » et autres questions typique des parents. Je me contentais donc de répondre par un grognement à chaque question qu'ils me posaient, pour ne pas trop leurs montrer mon énervement...

Les heures passèrent, et nous arrivâmes finalement dans notre casa da firenze. A ma grande surprise, les camions de déménagement étaient déjà là, ma maison presque vide... Je me sentis trahis : Cela voulait dire que mes parents avaient prévu de partir de l'Italie depuis bien longtemps... Rien a dire, mon avis ne compte pas de toute façon... Petit soupire, je me dirigeais instinctivement vers ma chambre. Ici, rien avait bouger, ça allait donc être moi qui allait choisir ce que je gardais, ou pas. J'attrapais de suite mon épée, car ne l'oublions, même si mon père m'avait imposé se sport, c'était aussi une passion. Je fis quelques mouvement dans le vide, lorsque mon regard se posa sur de vieux trophées et photos. Eh oui, en plus d'aimer ce sport, je dois admettre que je ne me débrouillais pas si mal ! Mais trêve d'enfantillage. Avec précaution je l'emballais, puis la portais avec un carton assez imposant jusqu'à la camionnette. Dedans se trouvait un trophée, un tas de photos (notamment des photos du dernier carnaval) ainsi que quelques jeux-vidéos... Bref, des trucs banal pour un gosse-de-riche-escrimeur-de-quatorze-ans...

La soirée arriva à une vitesse folle, le départ était prévu pour demain. Je n'éprouvais même plus de déception quant à se départ, je l'avais presque accepté car le contraire ne changerais rien...

III/ Épilogue...

D

eux ans était passé depuis mon arrivé au Japon. Je parlais maintenant plus ou moins bien la langue, même si mon accent italien attirait de temps à autre quelques moqueries. Rien de bien méchant bien sûr, car je n'avais peut-être pas une réputation de brute, mais je me défendais bien. Désormais, je ne vivais plus pour grand chose, je dois bien vous avouer que je trouvais la vie assez ennuyeuse par moment. Il ne se passait jamais rien, tout était banal. Je séchais donc de temps en temps les cours, pour échapper à cette banalité et rajouter quelques piments dans ma vie. Que faisais-je pendant que je séchais ? Rien du tout. De temps à autre, j'essayais de grimper sur les toits comme mon amie d'enfance me l'avais appris, mais l'on me prenais vite pour un fou et j'étais forcé de redescendre. J'étais donc cloué au sol, comme un oiseau à qui on aurait coupée les ailes...

Bien entendu, si j'avais su ce qui allait arrivé cette matinée là, je n'aurais sûrement pas sécher les cours...

Vous.

Âge :