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 Trafic aérien suspendu…

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AuteurMessage
Lyam Maeto

Lyam Maeto


Messages : 8
Date d'inscription : 24/09/2010
Age : 39
Localisation : Saint-Hyacinthe, Quebec

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MessageSujet: Trafic aérien suspendu…   Trafic aérien suspendu… I_icon_minitimeMer 29 Sep - 18:53

<< MAETO.....MAETO...... LYAM, mais qu'est ce que tu fous bordel? On a plus beaucoup de temps. Ils arrivent et putain tu sais que s’ils parviennent à nous on n’est pas plus que mort! >>

Lyam à genoux sur le sol les yeux rivés sur un homme, un soldat gravement blessé, semble très concentré, mais à la fois angoissé. Il a une main sur le thorax de celui-ci à titre d'apuis et l'autre directement plongée dans son ventre. Autour d'eux, des bruits de mitraillette et de canon lourd se font entendre ainsi que des explosions de grenade et d'obus de mortier. Au loin des hommes crient et hurlent. Quelques uns crient de douleur et d'autres de rage. C'est la guerre.

<< Alors tu l'as ? >>

Cria sont partenaire

<< Est-ce que tu a cette foutu balle? >>

<< Non je ne l'est pas, je ne la trouve pas bordel. Et merde où est-ce
qu'elle est? >>


La colère de Lyam était étouffé par les cris de douleur et d'agonie du
blessé étendu par terre, mourant, dans une marre de sang. Son propre sang.

<< Putain de merde Lyam ils sont la, on ne peut plus rester. Laisse-le. >>

<< NON>>

Cria Lyam

<< Il n'est pas question que je le laisse mourir ici >>

Son partenaire le prit par le bras et le tira de pleine force. Ayant toujours la main dans le ventre du soldat, celle-ci dans l'action, en sortie violement trainant avec elle une gicler de sang qui alla terminer sa course sur le visage de son partenaire. Celui-ci sans aucune réaction de dégout continua de tirer en criant qu'ils devaient fuir.

<< Nous devons partir Lyam! Tu ne peux plus rien pour lui! Il est
déjà mort tu le vois bien bon sang! >>


<< NON! Trop sont déjà mort. Je me refuse d'en perdre un
de plus. Si tu veux partir alors part, mais moi je reste. >>


<< Et merde >>

Son partenaire, fit demi tour et parti à la course. Lyam ne se décourageant pas, il regarda le soldat gisant par terre et se dit au plus profond de lui-même que son partenaire avait raison. Mais, Lyam ne voulait pas croire en cette vérité. Le Soldat était encore conscient, mais semblait ne plus souffrir. Il tremblait tout en regardant Lyam. Il pouvait y lire la peur et le réconfort.

<< Partez Maeto.... Partez vite d'ici >>

<< il n'est pas question que je vous abandonne ici >>

<< Partez Maeto! C'est un ordre. >>

<< NON! Je ne vous laisserez pas ici, Capitaine. >>

<< Je suis déjà mort Lyam et tu le sais bien. Tu ne me laisses pas le
choix. >>


Le capitaine prit son arme à feu et d'un mouvement rapide l'appuya sur sa
tempe droite.

<< Pardonne moi >>

Après quoi, il appuya sur la détente.

<< NOOOONNNN >>

Il s’effondra sur le capitaine les deux mains sur ses tempes. La haine l’empara, mais il la contenait. Il se leva brusquement en criant et jetant par terre les compresses qu’il tenait dans ses mains. Puis pencha la tête.

<< Moi aussi je suis désolé. >>

Il ramassa son paquetage et se mît à courir en direction de son partenaire. Il arriva finalement à le rejoindre. Il l’apercevait au loin. Il cria son nom, mais celui-ci ne semblait pas l'entendre à travers les bruits de mitraillette et d'explosions. Soudain, une explosion se fit devant lui, celle-ci fut si brillante et tellement forte qu'il fut projeté sur le dos à quelques mètres derrière lui.


En sursaut Lyam se réveilla. Il regarda autour de lui tout en se serrant la poitrine comme si quelque chose s'y était encastré. Sa respiration était bruyante et rapide comme s'il avait couru le marathon. Il était dans l'avion. Le passager à sa droite, inquiet, lui demanda si tout allait bien.

<< Oui, oui, ça va bien, merci >>

<< Un mauvais rêve? >>

<< Très mauvais oui, le genre de rêve que l'on ne souhaite pas
revivre. >>


13 heures c'était passé depuis son départ du Canada. À travers la fenêtre de l'avion, il pouvait déjà apercevoir les îles du Japon. Une voix d'homme leur annonça le début de la descente et demanda aux passagers de bien vouloir attacher leur ceinture. Après quelques petites minutes de turbulences minimes et de petits rebonds, l'atterrissage fut terminé.

Suite à la sortie de l'avion et après avoir attendue près de 20 minutes ses bagages au tapis roulant, Lyam se dirigea vers les portes de sortie. Sur son chemin il aperçut, pas très loin de lui, deux agents de sécurité qui parlaient à voix haute à un homme, qui ne semblait en aucun cas les écoutés.

Sa démarche était des plus étrange. Il déhambulait comme s’il n'avait plus le contrôle de ses jambes, ses bras pendaient sur le long de son corps, inerte. Sa tête semblait lourde et sans tonus. Les gardiens continuèrent à lui parler d'un ton sec. Lyam ne comprenait pas trop se qu'ils disaient. Il prit son dictionnaire de traduction et tenta de déchiffrer se qu'ils pouvaient bien dire. Tout d'un coup, l'un des gardiens s'approcha de l'homme en tendissant le bras vers lui, comme pour en faire un mur. Celui-ci continua à s'approcher jusqu'à aboutir sur la main du gardien. L'homme s'immobilisa et lentement il leva la tête en gémissant silencieusement et d'un coup, mordit violament le gardien dans la chair entre le pouce et l'index. Le sang en jaillis et le gardien cria de panique. Son partenaire, quant à lui, s'approcha rapidement et d'un mouvement rapide il sorti son bâton de maîtrise et lui assena un violent coup derrière le genou de l'homme, se qui le fit tomber par terre. Les deux gardiens se reculèrent afin de mettre de la distance, pour mieux évaluer, rapidement, l'ampleur de la blessure. Mais entre temps l'homme se remit debout et continua à avancer vers eux. Le blessé resta derrière afin de maintenir une pression sur sa plaie qui continuait à saigner abondamment. L'autre quand à lui se rapprocha de nouveau tout en brandissant son bâton afin de lui donner un autre coup, mais son élan fut arrêter quand l'homme sauta d'un bon sur lui, le projetant par terre. Le gardien tentait de se débattre, mais l'homme sur lui semblait si lourd qu'il en avait de la difficulté à bouger. Il avait beau crier à son partenaire, mais celui-ci ne semblait pas trop réagir. Il était la, inerte à regarder sa plaie qui semblait par un heureux hasard avoir diminué de saigner. Puis lentement, il se rapprocha de son partenaire et le mordit violement dans le cou, lui arrachant ainsi un morceau de sa chair, faisant ainsi gicler une énorme quantité de sang partout autour de lui. L’autre quant à lui s’amusa à lui déchirer le ventre afin d’en sortir les organes. La scène était horrible. Lyam d'un aire étonné et dégouté avait tendance à vouloir s'enfuir, mais son esprit médical lui dicta de s'approcher afin de porter secours au pauvre gardien.

Il regarda autour de lui la foule paniquée, courant dans tous les sens comme des vulgaires poules sans tête, en criant comme des cinglés, mais Lyam quant à lui ne savait pas trop ou aller. Devait-il se risquer à aller tenter sa chance pour aller porter secours au gardien ou devait-il partir de cet endroit rapidement.Tout pour lui était étrange. Il ne comprenait rien à la langue japonaise et encore moins à son écriture, qui d'ailleurs ornaient tous les panneaux de la place. Il décida donc, de continuer son
chemin vers les portes extérieures comme il avait prévu de faire depuis le début. Il regarda une fois de plus la scène horrible de carnage sanguinolente. Ce qu'il vit était encore plus horrible. Maintenant, c'était les trois hommes qui s'attaquaient aux autres gens.

Lyam, dans sa clairvoyance d'esprit, se dit qu’il devait partir de cette endroit le plus rapidement possible et ce, par n'importe quel moyen. Il continua son chemin vers la sortie, mais avec difficulté car, tout le monde avait la même idée. Voyant que les portes étaient complètement saturées il regarda autour de lui et décida d'aller en hauteur. Il se dit que puisqu'il ne pouvait pas sortir tout de suite, il était plus prudent de trouver un endroit sure et en hauteur, là ou la foule y était moins concentrée.

De peine et de misère, il parvint à se frayer un chemin à travers la horde de gens apeurés souhaitant désespérément sortir de cet endroit morbide et surtout dangereux. Il réussit à monter au second étage à l'aide d'un petit escalier qui était situé non loin de sa position. C'est seulement du second étage qu'il pu prendre conscience de l'ampleur de la catastrophe. Les morts ne se comptaient plus en unité, mais en dizaine. Ses êtres immondes continuèerent sans cesse de s'attaquer aux gens, tels un virus. Ils les mordaient, les déchiraient et les mangaient. La scène était encore plus horrible que la première fois. Il y avait du sang partout, des membres étaient étendus dans les quatre coins. Les gens criaient et hurlaient de douleur. Le nombre de ces monstres ne cessait d'augmenter. Ceux qui avaient été tués se relevaient puis à leur tour tuaient d'autres malheureux.

<< Mon dieu, c'est une épidémie ou quoi? Mais qu'est-ce qui se passe
dans cette ville de fou. >>


En regardant les gens se faire attaquer sauvagement les uns après les autres et que les sorties ne menaient plus à rien, Lyam décida de s'enfoncer plus profond dans l'aéroport, loin du carnage, en se disant qu'il pourrait probablement trouver une autre issue pour sortir de ce terminal infernal.
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