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| Quand la survie se tir à bout portant. | |
| | Auteur | Message |
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L'Arlequin
Messages : 35 Date d'inscription : 07/11/2011
| Sujet: Quand la survie se tir à bout portant. Mar 21 Fév - 18:27 | |
| Vous démarrez alors à vive allure pour éviter les cadavres ambulants qui essaient de vous attraper tant bien que mal. La route n'est pas forcement dégagée mais ce n'est pas un zombie par ci et par là qui vous freinera dans votre course pleine d'adrénaline car oui, ce n'est pas tout les jours qu'une pareille chose arrive. Les rues s'enchaine, les cris et les suivant aussi, cela dit vous ne freinez pas pour autant, bien trop pressé de sortir de ce calvaire et de vous dirigez faire un petit stock d'arme à feu, chose qui pourrait bien être un atout. Mais alors que votre route continu, un petit contre temps arrive, une voiture en train de brûler en plein milieu de la route et des voyous bien armé avec couteau, batte, tuyaux à gaz et j'en passe sont en train de saccagés et de piller les différentes vitrines.
- Yihaa les mecs, on est les roi, profitez touuus !!
Celui là avait pas l'air commode, il était au centre de tout et tirait une fois en l'air avec une arme de poing qu'il avait surement trouver sur un des policier mort non loin. Vu tout le raffut, les zombis ne tardèrent pas à venir de toute pars, vous encerclant aussi par la même occasion alors que vous remarquez que vous n'êtes vraiment pas loin du stand en question, deux cent mètre tout au plus.
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| | | Lorryflamme Hawkwolf
Messages : 25 Date d'inscription : 11/11/2011
Etat de Survie Age du Perso: 20 ans Groupe de RP: Pas encore.
| Sujet: Re: Quand la survie se tir à bout portant. Mer 22 Fév - 15:09 | |
| - Spoiler:
Pas de panique, je contrôle parfaitement la situation... =)
Quelle bande de ploucs... Mais quelle bande de ploucs... Et quelle absence de cervelle, nom de Dieu... Et qu'est-ce que je fait ici, moi? pensa l'albinos, en désespérant sur l'avenir de l'humanité. Puis il se dit que zut, il fallait encore penser à sortir de ce guêpier, et il analysa la situation.
Derrière lui, des zombies, une bonne dizaine. Trop nombreux pour lui.
Devant lui, une dizaine de voyous, bien armés mais pas très intelligents, dont un avec un pistolet. Trop dangereux.
A gauche, des murs et des bâtiments, sûrement infestés de cadavres mouvants. Trop risqué.
A droite (et là c'était le pompon) des vitrines cassées et quelques voyous en train de piller les téléphones portables et autres matériels extrêmement chers qui ne servent à rien. Trop con, tout simplement.
La situation n'était pas reluisante. Pas du tout. Mais des fois on n'avait pas le choix. Il fallait être con. Ou faire semblant...
Il dirigea son scooter vers la droite, passant à travers une grande ouverture qui avait autrefois contenu une vitre, s'arrêta au milieu du magasin de jeux vidéo et sortit ses armes tranchantes, choisissant un couteau long et solide.. Deux crétins avancèrent vers lui, visiblement ivres et peut-être même défoncés. Lorryflamme les ignora et se concentra. Il pouvait tuer. Il l'avait déjà fait.
Un souvenir lui revint... Un homme debout sur le balcon... Son beau-père, assassin de son frère... Il se souvint comment il l'avait poussé... comment il s'était accroché... comment il l'avait supplié... comment il l'avait laissé tomber...
L'imbécile le plus proche couina quand un couteau lui transperça le ventre. Il s'effondra dans une mare de sang et le second prit la fuite. Lorryflamme aperçut alors une petite issue, à quelques mètres. S'il pouvait...
Une détonation se fit entendre. Le chef des ivrognes l'avait prit pour cible et l'avait heureusement raté. L'albinos démarra son scooter, laissant son arme sur place. Une deuxième balle lui passa non loin du bras gauche, ratant son torse et frôlant le bras droit, déchirant son T-shirt et entraînant une horrible douleur. Il l'ignora et continua à rouler. Deux autres balles le ratèrent, pui il fut hors de vue.
A peine sorti du magasin, il s'arrêta, et regarda la scène. Le type au pistolet focalisait toute l'attention des zombies, qui n'avait pas l'air d'apprécier le uit du pistolet. Un d'entre eux tomba, mais la horde prit le dessus et l'idiot fut dépecé. Les autre n'eurent pas beaucoup plus de chance.
L'albinos resta transi devant l'horreur du spectacle. Puis il se reprit, éteignit le moteur de son scooteur et marcha vers la stand de tir, calme comme Néron devant l'incendie de Rome, sa fidèle monture à ses côtés, ignorant les zombies qui se dirigeaient vers les hurlements des autres. Il arriva au stand et ouvrit la porte... | |
| | | L'Arlequin
Messages : 35 Date d'inscription : 07/11/2011
| Sujet: Re: Quand la survie se tir à bout portant. Sam 25 Fév - 22:19 | |
| La porte était plutôt dure à ouvrir, en effet, plusieurs barricade étaient mis en place pour coincer la porte. Malgré tout vous réussissez tout de même à l'ouvrir en faisant tomber les différents meubles qui étaient sensé contenir les mort-vivants. Une odeur âcre régnait, celle du sang séché mêlée à de la décomposition de corps humain, odeur insoutenable pour n'importe qui et mortelle ou presque pour ceux ayant un odorat trop élevé. La pièce était sombre mais on pouvait tout de même voir parmi les pas de tir du stand couvert, le sang sur le sol montrait des traces de lutte. Une chose est sûre, des cadavres se cachent ici et d'ailleurs il y en a un sur le pas N°4, étendu sur le sol, et celui-ci semble bien mort. Les munition dispatché à tout les pas sont similaire à des plomb, en soit aucune arme à balle réelle ne se trouvent ici, étant tous au commissariat pour plus de sécurité, en comptant aussi que le stand sert pour les adolescent voulant apprendre l'art du tir. Les armes étant silencieuse il vous sera simple de vous déplacer ainsi. La porte renfermant tout ces bijoux se trouve au bout de l'allée principale, une trace de main ensanglanté s'y trouve mais pas de corps aux alentours, le sang sur la poignée montre aussi que quelqu'un à voulu rentrer. Depuis votre arrivé, un bruit d'objet cognant sur un autre frappe la porte métallique contenant les armes, qui sait ce qu'il s'y trouve dedans, même si la présence d'un zombie est imminente.
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| | | Lorryflamme Hawkwolf
Messages : 25 Date d'inscription : 11/11/2011
Etat de Survie Age du Perso: 20 ans Groupe de RP: Pas encore.
| Sujet: Re: Quand la survie se tir à bout portant. Dim 26 Fév - 13:00 | |
| Procéder par ordre.
Mission 1: Récupérer une arme potable. Les munition ici n'étaient pas réelles, mais elles devaient pouvoir faire illusion, au niveau du bruit, et donc servir à attirer des zombies ou à faire fuir des humains.
Mission 2: Récupérer des munitions (plein de munitions) et en bourrer son sac. Facile, facile.
Mission 3: Récupérer une arme secondaire, voire une troisième, et si possible une arme plus lourde qu'un simple pistolet. Il ne désespérait pas de trouver un fusil à pompe quelque part...
Mission 4: Essayer de trouver ce fichu commissariat pour dénicher des munitions réelles.
Mission 5: Aller voir derrière la porte qui était en train de faire tout ce boucan, et lui régler son compte s'il s'avérait hostile.
Ça faisait pas mal, mais Lorryflamme se dit qu'il pouvait sûrement ajouter la Mission 6: trouver l'armoire à pharmacie. Il avait toujours mal à la cheville, et sa main le lançait. Il devait trouver deux petits bouts de bois solide, et un bandage, pour se faire une attelle, et un deuxième bandage pour panser sa main. La cheville passait évidemment en premier. Il cherchait aussi des antidouleurs, mais seulement en cas d'urgence. Il pourrait les offrir à d'autres survivants en échange d'autre chose. Et il commençait à avoir faim... chercher de la nourriture et de l'eau devenait urgent.
Mission 7: trouver le bar.
Et, éventuellement, de l'argent. Au cas où il tomberait sur un distributeur automatique d'essence pour son scooter. Le niveau descendait trop vite, à moins d'être à moins de cinq kilomètres du commissariat, il ne l'atteindrait pas. Et il devait trouver de vraies balles.
L'albinos attrapa les balles qui jonchaient le sol, les jetant par poignées dans son sac. Une fois le ménage fait, il s'assit et compta les cartouches. 574 d'entre elles étaient en état de marche, 6 autres étaient abîmées, et près d'une centaine étaient déjà tirées. Peu d'effet sur les zombies, certes. Pour s'occuper de ces créatures, il utiliserait sa masse, ou planterait un couteau dans la tête du truc en question, ça marchait aussi.
Il procéda à l'exécution de la Mission 1, et ouvrit la porte du placard...
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| | | L'Arlequin
Messages : 35 Date d'inscription : 07/11/2011
| Sujet: Re: Quand la survie se tir à bout portant. Ven 16 Mar - 9:33 | |
| Le placard que vous venez d'ouvrir se situant au fond de la salle ne contient que des combinaisons adaptés pour le tir, elles sont résistantes et donne une grande mobilité, une d'entre elle semble être approximativement à votre taille. Le bar n'était pas très loin de l'entrée, il faisait le coin pour être plus précis. De nombreuse boisson étaient bien installé dans un distributeur automatique, simple à casser au vu de votre armement. Pour ce qui est de la nourriture, seul quelques barre chocolatée étaient exposé en libre accès. Une trousse de secours était en dessous du dit bar, quelques bandages, du désinfectant et de la pommade s'y trouvait pour les blessures mineures. Le temps que vous vous fassiez un petit magot, la porte métallique lâchât sous les coups effrénés de ce qui semblait être en tout point un zombie ayant entendu l'arrivée de son repas. Ce sont surement ses collègues qui l'ont mis la dedans pour qu'il ne nuise à personne, à moins qu'il ne se soit lui même enfermer pour ne nuire à personne. Alors que le mort-vivant s'approche de vous, vous pouvez remarquer qu'au fond de la pièce d'où il sort, accroché au mur, une arme non pas à plomb s'y trouve. Pour être plus précis il s'agit d'un ancien modèle de M14, certes une arme très ancienne mais qui peut s'avérer utile, surtout si vous trouvez le boite de vingt quatre munition dans le meuble en dessous. De nombreuses armes à plomb tel des pistolets où des carabines y sont aussi, mais aucun fusil à pompe.
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| | | Lorryflamme Hawkwolf
Messages : 25 Date d'inscription : 11/11/2011
Etat de Survie Age du Perso: 20 ans Groupe de RP: Pas encore.
| Sujet: Re: Quand la survie se tir à bout portant. Lun 19 Mar - 20:27 | |
| - Spoiler:
Pardon pour le retard, mais il fallait que je révise ma programmation...
[i]Lorryflamme regarda bouche bée le zombie qui s'approchait de lui, et usant des forces qui lui restaient, plongea derrière le bar. La créature le rata d'un petit mètre et il lui asséna promptement un coup de masse cloutée entre les deux oreilles. Le sang gicla, éclaboussa les murs et répandant le contenu de la boîte crânienne du monstre sur le sol. Aucun doute: la survie du mort-vivant = 0 chance . Facile. Mais il n'y en avait qu'un ici. Face à quinze morts, ce serait plus compliqué. L'albinos chercha dans le bar, ramassa cinq paquets de barres chocolatées et une dizaines de bouteilles d'eau, ainsi que quinze cannettes de soda en tout genre. Il but le Pepsi tant qu'il était frais, réservant les marques plus goûteuses pour une utilisation exceptionnelle, et dévora deux paquets de barres chocolatées, se rationnant pour le prochain jour. Il enfila également une combinaison de tir, rangea les autres pliées le plus possible dans un grand sac qu'il trouva dans le placard, et observa le placard métallique dont était sorti le zombie. Celui-ci fut une bénédiction. Une arme réelle, un vieux modèle de M14 plus précisément, un peu long et lourd, mais excellent. Il pouvait tirer en auto et en semi-auto, ce qui le rendait efficace en toutes situations. Parfait. Et il était chargé! Un imbécile touché par une grâce divine sans doute avait tiré quelques balles, mais n'avait pas retiré le chargeur. Ce qui était dangereux mais très bien pour l'albinos. Il trouva aussi une boîte de cartouches, ce qui l'arrangeait pas mal, car il en avait pile 40. Deux chargeurs pleins. Il récupéra aussi deux carabines qu'il glissa dan un holster de fortune qu'il cousit avec une aiguille fabriquée à l'aide d'un éclat de bois et de laine récupérée sur son vieux pull, laissant dépasser le canon, et quatre pistolets à plombs, parfaits pour faire illusion. Excellentissime! Un rayon de soleil dans cette sombre journée. En parlant de soleil, il était en train de se coucher, et il fallait bien passer un peu de temps à se barricader s'il voulait dormir ici tranquille. Il hâta de bloquer toutes les issues avec des débris, les armoire notamment, et de fermer les fenêtres. Comme elles étaient situées à plus d'1,80m. du sol, pas besoin de s'inquiéter pour ça. Il s'enroula dans une des combinaisons de tir restantes après avoir bandé se cheville et s'endormit, fourbu des événements de la journée... | |
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