Highschool of the Dead Rpg
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 Juste un verre, barman...

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Onimasarû Riuzoji

Onimasarû Riuzoji


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MessageSujet: Juste un verre, barman...   Juste un verre, barman... I_icon_minitimeDim 14 Nov - 4:07

Vous avez déjà remarqué comme la vie peut être, parfois, remplie de surprises ? Ou comment une journée que l'on croyait banal peut vite se transformé en un imprévu?
A vraie dire la journée était belle. C'est confiant qu'Oni mit pied en dehors de son lit, bien qu'une courte nuit avait dessiné ses cernes entourant ses yeux éclatant, faisant contraste à la noirceur du visage du réveil. Le meilleur des remède pour le cerveau encore embrumé, la douche froide. Après une demi heure sous l'eau, ses yeux se posèrent sur l'heure : 09h02. Tôt pour un "chômeur". Aujourd'hui, Oni' avait rendez vous avec un client intéressé par un investissement de la part d'Oni, mais tout était encore que de belles paroles, le plan en lui même ne devrait être fixé que cet après midi. 13H. Après l'heure de pointe des points de restauration. C'est à un bistrot d'une ruelle commerçante du centre qu'ils devaient se rejoindre. Peu importe, Oni' devait décrocher l'approbation de ce client potentiel, ce n'était pas dans ses habitudes de perdre son temps. Déjeuner habituel oblige. Du jus d'orange préalablement pressé, quelques tartines et un ou deux fruits pour compléter l'apport nutritif et garder la forme. Une matinée à ne rien faire... C'est seulement quand la routine s'installe qu'on comprend que, même dans son 100 mètre carré, quand on est seul... On s'ennuie. Et le temps parait fade. Et oui, même les gens louches s'ennuient parfois, et passe leurs matinée à regarder le plafond ou encore la télé.

11h30. Le temps est passé doucement. Oni' décida enfin de se mettre quelque chose sur le dos. Toujours classique, c'est un costume, noir, chemise blanche avec une cravate classique noir qu'il va parader aujourd'hui. Son paquet de cigarette, son Zippo, ses clefs. Tout est là, c'est l'heure. C'est sous les coups de midi qu'il arriva en ville. Les passants, l'activité sonore du centre ville, les oiseaux, la pollution, la fièvre des travailleurs qui courent d'un point à l'autre, tout paraissait normal. Vraiment; tout. Un sandwich à emporté qu'il grignota dans sa voiture en attendant que le temps passe, une boisson pour accompagné et il se remit à scruter l'horloge. Règle d'or pour Oni': Ne jamais arriver en retard, jamais trop tot. Être à l'heure. Il ne reste qu'une dizaine de minutes avant le rendez vous, Oni' quitta donc son moyen de locomotion pour entrer dans le bistrot. Tabac froid, alcool, des clients qui s'extasie en se rappelant des souvenirs, d'autres plus louches qui chuchotent au fond, tout paraissait encore normal. Oni' s'assit au bar et le barman s'approcha de lui :

-
"Martini. Rouge s'il vous plait."

U
n hochement de tête et il s'empressa de servir Oni' de ses mains habiles à manier le verre. Quelques gorgés, quelques regards à scruter le comportement des gens, quelques coups d'œils jetés à l'heure qui défilait peu à peu, le moment cruciale arriva. Enfin. Le temps parait long quand on n'est pas en activité et sa faisait longtemps qu'il ne l'avait pas ressentie.

13h30. Toujours personne.


- " Un autre s'il vous plait... Et un blanc cette fois. Avec une olive. "

E
ncore une fois, le barman s'exécuta. Le temps passait certes doucement, mais il passait, et l'attendu n'était toujours pas arrivait. Vous savez ce que déteste le plus Oni' ? Les gens qui donnent rendez vous mais n'y sont pas à l'heure. Oni' régla le brave homme et se leva, en rajustant sa veste de costume. Il se dirigea vers la porte de pas ferme, droit et impressionnant mais fut stoppé net. Il leva les yeux pour dévisagé l'homme qui lui faisait barrage. Le teint blafard. Un regard vide et une mine à faire retourné un mort dans sa tombe. Plongeait dans son regard, Oni' ne décrocha pas. Ce sont des cris apparut un peu partout dans les ruelles qui entourent le lieu de perdition qu'est ce bar en soirée qui le ramena a sa raison. Une odeur de cramé, des gens qui courent dans tout les sens, des passants qui jonchent le sol, qu'est ce qui se passe . L'inconnu s'approcha à grand pas d'oni avant de poser ses bras sur ses épaules et d'y amorcer un contact de sa bouche vers la nuque de ce dernier. Réflexe de combat, il prit son bras, le retourna avant de taper dans sa jambe et le faire s'agenouiller.


- " Un mouvement et j'te brise le bras. "


C'est les mots qui sortirent de la bouche d'Oni', à l'apparence calme, gardant son sang froid mais perdu par la situation. La, c'est tout le café qui s'embrasa. Une vitre explosa et un groupe d'une dizaine de personnes à la même démarche, a la même vitesse pénétra dans le bar. Oni' assista à la scène, éberlué, perplexe de ce qui se passait sous ses yeux. Et la, horreur. L'homme qu'il tenait en soumission se disloqua lui même le bras. Personne ne pouvait faire sa sans se tordre de douleur. On le sait tous, les douleurs osseuses sont les pires... Oni' fit un bon en arrière, lâchant le bras pendant de l'homme. Des coups de feu retentirent à l'intérieur, c'était le gérant de ce lieu qui essayaient de se défendre mais il fut vite débordé par le nombre. Le sang était présent, de partout, en faite, tout ceux qui ne c'étaient pas enfuit au début jonchaient actuellement le sol. Situation inexplicable, réaction inexplicable. Au grands moments les grands moyens. Il se jeta sur le troupeau pied en avant pour les écarter mais trop tard, le cou en sang, le barman était au sol à hurler de douleur le sang tachant son corps et un des hooligans tenait en son bec... Un bout de chair qui lui appartenait à la victime. Un dégout inexplicable envahi le corps d'Oni'. Rien de plus horrible. Qu'est ce qui se passait ? La raison d'Oni était embrumé. Une folie générale ? Rien n'expliquait les actes qui se passaient sous son regard. Il fallait vite qu'il reprenne ses esprits, peu importe quoi, peu importe qui, peu importe ou il fallait survivre. Et ses années au seins des forces spéciales, les escadrons noirs et les commandos lui ont bien apprit quelque chose : Comment survivre. Il parcourra à la vitesse de l'éclair la salle avec son regard vif et il vu le fusil a 2 mètre du corps se vidant de son sang du barman. Il se jeta dessus, braqua le fusil. Droit, calé contre l'épaule, les bras élargit il se mit contre les étagères emplie d'alcool. Certains se faisaient dévoraient, d'autres piétinaient, enfin. L'attention n'était pas vraiment sur Oni', sauf un... S'approchant avec gourmandise de notre militaire, son intention était très clair. Oni' le somma de s'arrêter, plusieurs fois, avec insistance mais c'est seulement a moins d'un mètre de lui qu'Oni fit feu, froidement. La munition partit aussi rapidement que la détonation. Le corps inerte n'avait plus de tête, fauché par la puissance du monstre que tenait entre ses mains Oni'. La par contre, la pièce entière se retourna vers lui marquant un temps de pause. Il était la CIBLE. Il cracha par terre, jura, leur cria d'arrêter, de ne plus bouger mais peu importe ce qu'il disait, ils semblaient sourds. Il fit feu encore une fois, en fauchant 2 ou 3 qui se relevèrent presque aussi rapidement qu'ils étaient tombés. Tout sa devenait de moins en moins cohérent. Une explication rationnel doit exister... Dans l'affolement, Oni' aperçut une chevelure. Rousse... Rose, ou peut être rouge même. Dur de vraiment le dire dans l'amas de sang qui avait giclé sur tout les murs de tel à avoir refait la tapisserie du restaurant gratuitement... Puis il comprit. Une femme, la vingtaine se tenait la, dans l'entrebâillement de la porte qui menait à l'étage au dessus. Peut être était elle aller au toilettes avant de redescendre et voir que sa vie venait d'être chamboulé ? Peu importe. Ils étaient quoi... Facile 20, 25 dans une pièce de 20 mètre carré au grand maximum. Il ne paniqua pas, les missions chaotique ou les foules voulaient la peau de son unité, il en avait déjà vécus quelques unes, et il était encore la. Oni' le savait, il ne s'en sortirait pas face à eux avec une confrontation direct. Il se retourna, prit a deux mains des bouteilles et les jeta sur les sortes de morts-vivants qui ne cessaient de s'approcher à petit pas. Il prit un bidon d'alcool quelconques et le versa par dessus le comptoir avant de le jeter plus loin. Il vida les étagères rapidement et tira quelques coups sur la foule pour les faire reculer. A pas sur mais rapide, il rejoignit la porte avec un autre bidon dans la main qu'il versa a ses pieds et le plus loin possible après avoir ouvert la porte ou il avait aperçue la jeune femme dans les escaliers. Il marqua une pose. Sortit une cigarette de son paquet, l'alluma et recracha la fumée :

- " On s'retrouvera en Enfer. "

C'est ce qu'il avait chuchoté froidement avant de laissé tombé la cigarette de sa bouche et de refermer brutalement la porte. Le bruit des flammes et le crépitement du bois commençait déjà à se faire entendre et les râlements des personnes restaient derrière ne cessaient pas, pourtant. Il se retourna et vu l'être qu'il avait aperçue précédemment face a face. Son regard émeraude la scruta de la tête au pied. Il avait raison. Une jeune femme, 20 à 25, 1 mètre 75 pour 55 ou encore même 65 kilos se tenait devant lui. Malheureusement, il n'avait pas le temps pour les présentations. Elle était propre, aucunes taches de sang, pas de blessures, elle ne pouvait pas faire partie d'eux... Il prit son fusil qui préalablement appartenait au maitre des lieux dans une main et monta quelques marches, jusqu'à son niveau avant lui de tendre la main, elle qui était assis sur les marches, surement en état de choc ou en réflexion des horreurs qu'elle venait de voir :


- " Montez, on a pas le temps pour les présentations, faut se tiré de la... "

D
it-il calmement, comme si la situation n'était pas assez traumatisante...



...


Dernière édition par Onimasarû Riuzoji le Mar 16 Nov - 22:49, édité 1 fois
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Viller Tsuki

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MessageSujet: Re: Juste un verre, barman...   Juste un verre, barman... I_icon_minitimeDim 14 Nov - 13:26

Les premiers rayons du soleil pénétrait doucement une chambre où l’occupante ne semblait pas encore là ou plutôt semblait absente du lit qui était déjà fait. Les oiseaux se réveillèrent et se mirent à chante, une jeune femme se mit près de la fenêtre, une tasse à la main et regarda la soleil se levé comme d’habitude, la routine, ennuyante, lassante qui ne veut pas se briser… Le regard de la jeune femme semblait mélancolique, un mélange de sa tristesse habituelle mais d’un sentiment de bonheur semblait se profiler à l’horizon avec ce beau temps qui promettait une bien belle journée.

6h30. Tsuki réveilla sa sœur qui dormait encore à point fermé. Elle ouvrit simplement la fenêtre, à peine pour laisser le soleil entrer lentement dans la chambre de Kaoru. Une légère brise pénétra la chambre cela fit frissonner cette dernière qui se réveilla lentement sous le regard de sa grande sœur qui était resté là à la regardé se réveiller, comme toujours, comme tout les jours… Kaoru se leva et Tsuki, qui était encore dans sa tenue de soirée, un débardeur blanc ainsi qu’un short blanc en coton. Elle les trouve confortable et bien chaud, de simple vêtement pour dormir en somme.

Kaoru prenait son petit déjeuner alors que Tsuki était partit se doucher, aujourd’hui elle n’avait rien de spéciale à faire, elle prit donc son temps. Sous la douche, l’eau coulait sur son corps frêle de jeune femme. Elle à beau apprécié la douche matinale, elle a tout de même du mal avec les réveils brusque, donc l’eau est chaude, très chaude et cela fait du bien. Elle se sent soulagé sous cette eau si chaude que parfois elle a l’impression de bruler dessous, mais la raison revient en générale et dit en riait « L’eau ne brule pas » avec un petit rire moqueur, ce qui fait sourire Tsuki, sauf les mauvais jour ou elle prends une douche froide qui la réveille et la remet sur le chemin de la bonne humeur journalière.

La douche fini, elle partit prendre son petit déjeuner à son tour, Kaoru avait fini de manger et était partit à la douche, la maison était encore bien sombre, Tsuki ne l’avait pas vu passé à côté d’elle. La maison n’est pas bien grande, cela pourrait être un grand appartement, une maison plein pieds avec une salle de bain, deux chambre et la cuisine salle à manger. Elles ne voulaient pas le grand confort juste le minimum pour un prix raisonnable, la meilleur offre qu’elles trouvèrent fut celle-ci.

Tsuki se coupa deux bout de brioches et les mit à griller, elle les beurra ensuite et les mangea avec un autre café, celui-ci était coupé avec du lait, un café noir par jour cela lui suffit, elle trouve cela bien trop fort. Kaoru avait déjà fini de se doucher alors que Tsuki venait de commencer à boire son café, elle en prit une gorgée bien chaude, et s’essuya les lèvres.


- Comme toujours, tu te presse…
- Le train part bientôt c’est pas ma faute non plus.
- Mais je te taquine ‘sœurette’
- J’aime pas que tu m’appelles comme ça… Tu le sais en plus !
- Et alors ? On est sœur, je t’appelle sœurette si je veux.

Tsuki lui tira la joue, comme l’on fait au bébé, elles souriaient toutes les deux, on pouvait considérer cela comme leur petit rituel des bonnes journées. C’était souvent comme ça le matin car elles étaient heureuse d’être ensemble, simplement…

7h10. Comme d’habitude, Kaoru se prépara doucement pour partir au train qui était à un quart d’heure de marche de chez elles. Tsuki lui souhaita bonne journée, et elles se quittèrent en se souriait l’une l’autres, comme tous les jours…


* J’espère qu’elle réussira ses études… *

Tsuki n’avait à présent plus rien à faire, sa sœur était partit, et d’un seul coup l’ennui s’installa. Elle déteste ces journées où elle ne peut rien faire, ou plutôt les journées où elle n’a rien à faire. Ses vêtements étaient tous posée sur son lit, elle les avait déjà sortit. Elle s’habilla avec son débardeur noir qui était plutôt moulant et qui laissait voir son nombril, il y avait un sorte d’ouverture en triangle qui va du bas de son débardeur au haut ainsi qu’un jean déchirée à peu près partout à l’avant qu’elle avait fait elle-même avec des ciseaux. Il y a des jours ou elle regrette de l’avoir troué des jours ou elle trouve que cela fait plutôt bien. Le pantalon était lui aussi plutôt moulant mais elle mit tout de même une ceinture avec pour le style, celle-ci était noir avec des sortes de trou mais avec du métal autour des trous, cela lui donnait effectivement un certain style qui lui allait plutôt bien.
Elle enfila tout cela et se dirigea vers la station de train pour aller vers le centre ville, elle prit seulement son portable ainsi que son porte feuille, ou il n’y avait que ses papiers ainsi qu’un peu d’argent.


* J’ai vraiment rien d’autre à faire, c’est affligent… *

Elle avait de nouveau son air mélancolique sauf qu’il y avait de l’ennui qui s’était rajouté à ce regard. Le train partit direction centre ville, zone commercial. Tsuki se disait que se balader en ville pourrait lui casser son ennui, peut être…

Il était maintenant neuf heures et demi et elle était en plein centre ville à présent, et la seule chose qu’elle trouva à faire ce fut de se balader, au moins le temps de trouver quoi faire mais rien ni fit, elle s’ennuya fermement jusqu’à ce qu’il soit 12h30 environ, l’heure à laquelle où elle prends son repas d’habitude. Elle partie vers une boulangerie et se prit un sandwich tout préparé, il était végétarien, il y avait de la salade, de la tomate et du thon dedans. Elle s’était assise sur une table dans un café - bar et mangea tranquillement son sandwich. À peine l’eut elle fini qu’elle alla au comptoir chercher un café au lait.

Cela faisait à présent une heure qu’elle était dans ce café - bar et elle se dit qu’il était peut être temps d’y aller. Elle partit donc se laver les mains mais dans les toilettes il y avait une tache de sang et des éclats de verre qui venait du miroir et elle se demandait si elle devait ignorer ça ou voir ce qu’il y avait derrière la porte qui semblait bloquer. Tsuki prit un grand éclat avant d’enfoncer la porte d’un coup de pieds, il y avait là une personne qui était livide, on pourrait croire à un cadavre mais la femme se releva, elle avait les yeux blanc, il n’y avait plus de pupille et s’il y en avait une Tsuki ne l’a pas vu.


- Vous allez bien ?

À peine Tsuki demanda cela que la femme se leva et l’attrapa par les épaules et essaya de la mordre au coup tel un vampire. Par réflexe Tsuki lui mit un coup de genou dans le ventre, cela lui fit lâcher prise et reculer légèrement mais elle n’avait pas l’air de vouloir arrêter. Tsuki avait l’éclat de verre dans la main, il devait être aussi grand qu’un couteau, et la menaça avec mais avec calme pour ne pas attirer l’attention dans les toilettes mais cela ne changea rien, la femme se jeta à nouveau sur elle mais Tsuki avait pointer l’éclat en avant et la femme fonça dessus la tête la première ce qui lui transperça le crane et la tua sur le coup. Elle avait du sang sur les mains et sur le visage, elle se nettoya rapidement et n’en avait plus sur elle…

* C’était quoi ça ? Putain, y se passe quoi là… *

Tsuki sortit, son bout de verre à la main et tout l’étage semblait vide, la seule chose que l’on entendait était des cries qui venaient de toute part, de dehors comme de dedans. Elle eut envie de crier, sur le moment c’était la seule chose qu’elle voulut faire mais elle ne put le faire, de peur, peur de cette situation tout bonnement inimaginable. Tsuki se dit qu’elle devrait avoir une vue d’ensemble de la ville pour savoir quoi faire, elle devrait monter sur le toit pour cela, et seule elle n’arriverait à rien. Elle chercha des survivants du regard et vit un homme qui se battait et qui tirait des coup de feu avec un fusil sur ‘eux’ qui cherchait apparemment à le bouffer. Elle partit derrière la porte de secours qui conduisait au toit. Elle jetait de bref coup d’œil derrière la porte pour voir s’il tenait le coup et apparemment oui. Mais soudainement, une image de sa sœur qui se faisait bouffer par ces choses commença à germer dans son esprit, aujourd’hui elle finissait tôt les cours, elle devait être à la maison à cette heure ci. Tsuki sortit son portable pour l’appeler mais il n’y avait apparemment plus de réseau.

* Et merde! Je dois rentrer! *

Elle était énervé et soudain comme pour l’accompagner dans son excès de rage, une bruit de flamme et de crépitement des meubles du café - bar se faisait entendre derrière la porte. Tsuki l’ouvrit et vit l’homme tenant son fusil sur un bras devant le feu, l’on pouvait distinguer les cris des personnes qui vivaient encore mais qui se sont fait surprendre par le feu ainsi que l’odeur de la chair bruler de ces choses. L’homme qui arrive à la hauteur de Tsuki lui tendit la main pour la relevé, elle s’était assise, elle était désespéré mais surtout énervé de ne pas pouvoir être à la maison tout de suite.


- Montez, on a pas le temps pour les présentations, faut se tiré de la…

Il dit cela très calmement, pour le moment elle était soulagé de ne pas être seule même si elle préférerait être avec sa sœur. Tsuki sourit de soulagement et avait toujours son bout de verre entre les mains, elle faisait bien attention de ne pas se coupé tout en monter les escaliers qui mènent au toit.

- Je vous suis mais vous pensez qu’il y a d’autre personnes qui ont… survécu ?

Elle dit cela en hésitant et d’une voix tremblante, elle faisait ce qu’elle pouvait pour ne pas s’effondrer en hurlant mais elle se coupa finalement les mains avec son bout de verre, et elle le fit tomber par mégarde…
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Onimasarû Riuzoji

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MessageSujet: Re: Juste un verre, barman...   Juste un verre, barman... I_icon_minitimeDim 14 Nov - 18:42

Au premier abord, elle semblait faible, c'est ce que se dit Oni', mais on y prêtant un peu plus attention, on pouvait percevoir une certaine force de caractère. Oni' est un fin analyste des situations. Des jambes et des cuisses sveltes mais musclés, une ossature plutôt développé tout comme les épaules, Oni' avait face à lui une sportive. Tant mieux, elle ne le ralentira pas et si c'était le cas... Il verra à ce moment là quoi faire. Il reporta son attention le long de son corps à scruter la moindre blessure qui saignerait, devenu un peu trop paranoïaque, faire confiance pour ensuite finir comme ses macchabée titubant. Jamais, il en était hors de question. Analyse finie, il reporta son regard dans celui de son interlocutrice, tremblante, encore sous le choc, mais son esprit paraissait ailleurs, tel une chose qui la préoccupé plus que sa vie même. Elle murmura quelques mots quasi inaudible étant donné le pouls d'oni qui résonnait tel un purin qu'on martèlerait contre un Gong dut à l'adrénaline mais il prêta oreille attentive :

- Je vous suis mais vous pensez qu’il y a d’autre personnes qui ont… survécu ?
Quel question inutile pour le moment, mais il valait mieux mettre les points sur les i pendant qu'il était encore temps, lui mettre une bonne gifle pour la réveiller, pour qu'elle comprenne l'ampleur des choses :

- " Écoutez. Imaginez qu'on est en zone de guerre. Votre seul objectif c'est de survivre. Oubliez ces... Choses. J'ai mit le feu à la pièce et survivants ou pas, ils dansent tous autour du même feu. Si vous avez trop de pitié ou si vous êtes trop faible pour comprendre que c'est soit eux soit vous, alors je vous laisse. Mais j'ai une dinde qui m'attend dans mon frigo, chez moi, et je compte y retourner peu importe le bordel qui se passe. Alors soit vous réagissez rapidement pour rejoindre les gens qui vous sont chers pendant qu'il est encore temps, soit vous finirez à défiler dans les rues avec le même pas de danse dépravant et monotone. "

Elle avait l'air d'avaler avec vivacité les mots, et Oni' ne serait pas étonné de prendre une gifle à la volée pour la dureté de ses mots mais les bonnes manières devaient être oublier pour le moment, la fumée commençait à traversé les parois fines de la porte et il fallait monté et trouver un moyen.

Un bruit d'impact crispa Oni', qui braqua son arme. C'était simplement le bout de verre de quelques bons centimètres qui a échappé des mains de l'inconnue en la blessant. C'est à la vue de son sang qu'il relâcha la pression. Voyant la blessure plutôt profonde, et ayant lui même quelques bouts de verres des bouteilles, au préalable cassés dans le tumulte de la "bagarre" dégénéré plus bas, incrusté dans sa chair notamment le dos et les bras. Sa chemise qui était blanche avait un teint rouge nacre et son costard a 800 $ avait été salopé. Il ne parla pas, le gout du sang le mettait dans un état d'adversité monstrueux et c'est ses pulsions, ses réflexes et son agressivité d'ancien Commando qui prenait le dessus. Il prit par la main rapidement, mais avec un minimum de douceur et d'élégance, la main de la jeune femme et l'entraina en haut des marches et s'engouffra a droite. Il pénétra accompagné de l'inconnue dans un bureau, ferma la porte et la bloqua avec une chaise. Il l'a fit s'asseoir sur un fauteuil et s'engouffra derrière le bureau en chêne qui décorait avec élégance la pièce. C'était le bureau du gérant... Et un gérant de bar a toujours une bouteille de sotch caché quelques part...

Bingo, sous le bureau, derrière la tour de l'ordinateur. Il l'a prit et l'ouvrit tira un fauteuil près de celui de l'inconnue. Il prit sa main, une fois de plus avant d'y serrer un verre d'alcool sur sa main et la serra fort, très fort. Oui, sa fait mal, vraiment mal. Mais il faut désinfecter avant que la blessure ne prenne de l'ample ure. Il posa la bouteille sur la table et enleva sa cravate. Il enleva sa chemise, taché de sang maintenant debout, dévoilant son dos, ses cicatrices et le grand tatouage du phœnix qui l'orne.

- " Ce serait presque gênant... Si vous pouviez juste faire mine de vous retournez, j'ai pas pour habitude de me déshabiller comme sa. "


A
vec sa veste, il frotta son dos pour enlever les bouts de verres les plus gros qui s'y étaient enfoncés avant d'y verser quelques centilitres d'eau de feu. La douleur fut vive mais il plissa les yeux et serra les dents, ne remuant même pas. Laissant couler quelques minutes et laisser les choses se faire, il remit sur le dos sa chemise ainsi que la veste de son costume, un tant soit peu déchiré. Il se retourna vers la femme qui l'accompagne, avant de s'asseoir en face d'elle, la bouteille d'alcool a la main. Il but une longue gorgée avant d'entamer la discutions :

- " Tu devrais boire un coup, pour faire passé tout sa. Sa peut aider. On va rester confiner quelques instants ici, voir si les choses se calmes. Il doit me rester 2 cartouche dans mon fusil et faudra donc faire ce qu'on trouver... Maintenant, avant qu'on continue... "


Il lui tendit raffinement sa main, comme si le démon qui combattait précédemment avait disparu pour laisser place à un gentleman sans complexe

-
" Onimasaru... Mais pour faire simple, Oni'. Et vous ? "

S
on regard d'émeraude froid, se posa dans les siens. Il aimait voir le regard des gens,y sentir le mensonge ou la sérénité, la confiance ou la peur...

(Fais sa rapidement et a la vavite désolé, j'dois m'absenté jusqu'à demain. Fais à ton rythme je te suivrais Smile )

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MessageSujet: Re: Juste un verre, barman...   Juste un verre, barman... I_icon_minitime

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